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  • Nice : la présence de prédicateurs musulmans aux abords d’une école provoque le confinement des élèves et l’émoi des parents

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2021

    Leur barbe et leur djellaba ne sont pas passées inaperçues. La présence de quatre prédicateurs tabligh à proximité des écoles de Falicon et de l’aire Saint-Michel, à Nice, a alimenté la rumeur d’un possible attentat en préparation. En fait, ces individus avaient été contrôlés dans les jours qui précédaient par les gendarmes comme par les policiers municipaux alors qu’ils faisaient en réalité du démarchage publicitaire.

    Les faits se sont déroulés jeudi dernier. Dans la matinée du 14 octobre, quatre prédicateurs musulmans en djellaba ont été repérés alors qu’ils circulaient à bord d’une Clio, à faible allure, aux abords des écoles de Falicon et de l’aire Saint-Michel, distantes de moins d’un kilomètre à vol d’oiseau l’une de l’autre.

    (…) Nice Matin via fdesouche

  • Armement : les Rafale pour la Grèce n’effacent pas la rafale de notre allié américain.

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2021

    Dans le  pernicieux créé par l’annonce de l’arrêt du projet d’achat de douze sous-marins par l’Australie, une bonne petite nouvelle, cependant, pour l’exportation d’armement « made in France » : la Grèce annonce son intention d‘acquérir six Rafale supplémentaires, ce qui portera à 24 le nombre de chasseurs français en ligne.

    allié américain,armement,grèce,rafaleCertes, les enjeux et montants de contrats ne sont pas comparables.

    Les 56 milliards d’euros du contrat australien font passer celui des avions helléniques pour de la petite monnaie. Rien de comparable entre ce petit courant d’air frais et la tornade engendrée par la défection surprise de Canberra !

    Au plan stratégique et des relations internationales, c’est aussi un coup rude porté par nos soi-disant alliés, qualifié à juste titre de « coup de couteau dans le dos » par notre ministre des Affaires étrangères.

    Selon les informations qui sont diffusées, ce sont les Américains, Biden en l’occurrence, qui auraient torpillé ce « contrat du siècle » pour Naval Group.

    La création d’une nouvelle alliance de sécurité baptisée « AUKUS » – Australie, United Kingdom, United States – rejette la France et ses intérêts dans la zone Indo-Pacifique. Une grosse baffe, alors qu’Antony Blinken, secrétaire d’État – francophile et francophone – proteste, à l’occasion, de l’amitié de son pays avec la France . Le 14 juillet dernier, lors de l’installation d’une copie de la statue de la Liberté dans les jardins de l’ambassade de France, il déclarait même : « Les États-Unis n’ont pas d’allié plus grand ou plus durable que la France. »

    Tout est dit !…

    Curieusement, le rôle technique de la Grande-Bretagne dans la fourniture de sous-marins à propulsion nucléaire n’est absolument pas expliqué dans les communiqués et révélations des médias. Motus total dans tous les commentaires.

    De même, notre voisin est épargné des sanctions symboliques immédiates de Paris avec le rappel des ambassadeurs à Washington et Canberra ? Aurions-nous quelque accord secret avec Albion ?

    En revanche, qualifier de « lourdes pénalités » les 400 millions d’euros qui devraient être versés pour cause de rupture de contrat, comme le font les  français qui relaient la presse australienne, paraît exagéré au regard de son montant ?

    D’ailleurs ce seront sans doute les nouveaux vendeurs qui prendront cette modeste sanction à leur compte, à titre de ristourne ?

     

    Henri Gizardin

    Ancien pilote de chasse
  • Un jeune sur deux aurait succombé au matraquage de l’idéologie inclusive.

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2021

    La propagande entre-t-elle dans les  cerveaux comme un couteau dans une motte de beurre ? 20 Minutes a établi un contrôle technique du phénomène au travers d’un  Opinionway effectué auprès des intéressés.

    jeunes cerveaux,matraquage de l'idéologie inclusiveSur la base du cahier des charges inclusif et de ses dadas obsessionnels opéré par Netflix, un jeune sur deux présenterait une certaine similitude avec la motte de beurre.

    Paranoïas du racisme, homophobie,  et autres « -ismes » n’ont eu aucune difficulté à pénétrer la matière encéphalique de la moitié des sujets. À la pointe du bourrage de crâne, la série Sex education de la chaîne payante américaine serait un modèle du genre.

    Pour illustrer son article, le journal publie une image extraite de ce spot de pub pour l’idéologie dominante : un garçon et une fille assis respectivement sur un bidet dans des toilettes sales. Hmmmm… De l’action, du romantisme, de la  d’eau. Peut-être des cascades… Le spectateur est appâté par cet univers magique. Comme précisé par 20 Minutes, « la série est devenue le porte-drapeau des teen-shows progressistes et inclusifs ». La fonction du drapeau en des toilettes si peu entretenues laisse envisager les pires extrémités… Les héros vont-il se débrouiller avec les moyens du bord ? Le suspense est à son comble. La lutte contre les stéréotypes sévit en toutes circonstances. C’est tout le charme de la série.

    Après les convaincus de l’utilité d’un tel matraquage, arrivent les sceptiques. Ceci dit sans aucune allusion à l’univers précédent. Quoique… L’entrée en matière d’un interviewé nous ramène inexorablement sur le terrain peu glorieux du transit intestinal : « C’est chiant de devoir systématiquement mettre chaque minorité dans tous les films/séries. Netflix abuse avec ça, ça en devient ridicule. » « Chiant », le mot est lâché. « Emmerdant » eût très bien convenu également. Les partisans de cette litanie de sujets qu’ils qualifient de « sensibles » ne semblent pas avoir pris conscience de l’ennui qu’elle générait. « Du coup, c’est toujours un peu les mêmes histoires », remarque une jeune fille au cerveau encore intact.

    Dernier détail avant fermeture de ce petit coin d’inclusivité : « 77 % des femmes de 18-30 ans ont un avis positif sur l’inclusivité dans les séries contre seulement 53 % des hommes ». Les fictions Netflix produiraient-elles sur les femmes le même effet que les romans-photos à l’eau de rose des années 60-70 ? La disparition dans la désuétude de magazines tel que le sirupeux Nous deux laisse bon espoir sur le devenir de cette ambiance littéralement nauséabonde.

     

    Jany Leroy

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • L’euthanasie infantile a nettement progressé en Belgique

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2021

    Une étude publiée dans le British Medical Journal montre que la « douce mort », euphémisme utilisé pour parler de l’euthanasie, concernant les enfants est en nette augmentation en Belgique : 10 % des enfants décédés en Belgique entre 2016 et 2017 ont reçu des médicaments avec « une intention explicite d’écourter leur vie ».

    L’étude intitulée End of Life Decisions in Newborns and Infants: A Follow-Back Study of Population-Wide Mortality concerne l’euthanasie des enfants en Belgique, pays dans lequel il est légal de tuer un enfant à partir de zéro ans.

    Les savants prétendent que 10% des enfants décédés de 2016 à 2017 en Belgique, jusqu’à l’âge d’un an, ont reçu des médicaments de leurs médecins avec « une intention explicite d’écourter leur vie ». L’étude commente que « bien que les décisions d’interrompre les traitements pour prolonger la vie soient courantes, le pourcentage d’enfants qui meurent après qu’on leur a administré des médicaments avec l’intention explicite de raccourcir la vie est surprenante ». Plus précisément, les chercheurs rapportent que « la suspension du traitement [par ex. réanimation] est plus fréquente chez les nourrissons qui décèdent au cours de la première semaine de vie (18 %) et chez les nourrissons qui décèdent de complications de la grossesse ayant des répercussions sur la santé du fœtus (23 %) ».

    Face à ces données, les chercheurs, au lieu de demander l’arrêt de l’euthanasie infantile, demandent une plus grande attention dans les protocoles d’euthanasie. Cependant, ajoutent-ils, cela ne devrait pas conduire à lier les mains des médecins qui veulent pratiquer l’euthanasie infantile. Les auteurs de l’étude s’expriment ainsi : « Le taux d’incidence [de l’euthanasie infantile] pose un problème à double sens : une évaluation et un suivi plus poussés de la pratique peuvent réguler et orienter une pratique éthiquement significative, mais, aussi, ils pourraient limiter les néonatologistes dans la prise de décisions qu’ils jugent justifiées et dans l’intérêt supérieur de l’enfant ». La novlangue est d’usage : l‘intérêt supérieur de l’enfant consiste, en réalité, à le tuer…

    Les craintes des opposants à l’euthanasie se confirment : autoriser l’euthanasie pour une toute petite minorité de grands prématurés ouvre la voie à l’euthanasie d’un bien plus grand nombre d’enfants.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Déserts médicaux en zone rurale : 13 départements ne comptent aucun gynécologue

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2021

    Les campagnes resteront-elles des « zones blanches de l’égalité » ? Une femme sur trois vit aujourd’hui en zone rurale, soit 11 millions de Françaises, qui pour la plupart d’entre elles, accumulent isolement, moindres opportunités professionnelles et difficulté d’accès aux services publics. Après près d’un an de travaux et d’auditions, un rapport « Femmes et ruralités » dévoilé jeudi par la délégation aux droits des femmes au Sénat, passe en revue les difficultés persistantes que celles-ci rencontrent sur leur territoire.

    […] Treize départements en sont totalement dépourvus. On compte parmi eux les Hautes-Alpes, le Cher, la Corrèze, la Creuse, ou encore la Haute-Marne. « Dans ces territoires, les patientes n’ont d’autre choix que de recourir à des sages-femmes implantées près de chez elles pour leur suivi », déclare Annick Billon, rappelant par la même occasion toute la «légitimité» du combat mené par ces professionnelles pour l’obtention d’un meilleur statut et salaire.

    Autre observation, les maternités sont de plus en plus nombreuses à fermer leurs portes. Leur nombre a été divisé par trois en 40 ans, avec 1369 établissements en 1975, contre 518 en 2014. Ces fermetures en série ne sont toutefois « pas nécessairement dues à l’absence de gynécologues obstétriciens », note le rapport. […]

    Le Parisien via fdesouche