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  • Les États-Unis font planer la menace militaire contre l’Iran si la diplomatie échoue

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

     

    Les États-Unis de Joe Biden ont fait planer mercredi la menace d’un recours à l’option militaire contre l’Iran en cas d’échec de la diplomatie pour empêcher Téhéran de se doter de l’arme atomique, faisant pour la première fois clairement écho aux avertissements israéliens. À la veille d’une visite cruciale du négociateur de l’Union européenne jeudi à Téhéran, l’impatience monte côté américain mais aussi européen, et le changement de ton est manifeste.

    Washington pense « qu’une solution diplomatique est la meilleure manière » d’éviter que la République islamique devienne une puissance nucléaire, a déclaré le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken lors d’une conférence de presse avec son homologue israélien Yaïr Lapid dans la capitale américaine. Mais il a jugé peu « encourageants » les signaux émanant de Téhéran, qui n’a toujours pas fixé de date pour la reprise des négociations visant à sauver l’accord international de 2015 sur le nucléaire iranien, à l’arrêt depuis juin. « Il faut être deux pour dialoguer et nous n’avons pas constaté, à ce stade, de volonté d’en faire autant de la part de l’Iran », a déploré le secrétaire d’État, estimant une nouvelle fois que la « fenêtre de tir » se refermait à grand pas.

    « Nous sommes prêts à nous tourner vers d’autres options si l’Iran ne change pas de direction », a-t-il prévenu alors qu’il était interrogé sur la possibilité du recours à la force. « Nous envisagerons toutes les options. » À ses côtés, le ministre israélien a enfoncé le clou, sans être contredit. « En disant “d’autres options”, je pense que tout le monde comprend », a-t-il lancé, dans une allusion claire à l’option militaire. Yaïr Lapid a d’ailleurs été encore plus explicite au nom de l’État hébreu, opposé de longue date à l’accord de 2015 qu’il juge insuffisant.

    « Le secrétaire d’État Blinken et moi sommes des enfants de survivants de l’Holocauste. Nous savons qu’il y a des moments où les nations doivent avoir recours à la force pour protéger le monde du Mal », a-t-il déclaré. « Israël se réserve le droit d’agir à tout moment, et quels que soient les moyens », a-t-il martelé.

    Lire l’article entier sur lefigaro.fr

  • Guerre d’Algérie : Macron, 1er président à commémorer en personne l’anniversaire de la manifestation du 17 octobre 1961

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

    Emmanuel Macron présidera ce samedi à Colombes (Hauts-de-Seine) la cérémonie commémorant le 60e anniversaire de la répression sanglante d’une manifestation d’Algériens, le 17 octobre 1961, en présence de familles des victimes.

    […]

    Présent ce samedi à la cérémonie du 60e anniversaire au Pont de Bezons à Colombes (Hauts-de-Seine), par lequel passèrent des hommes, femmes et enfants habitants du grand bidonville voisin de Nanterre pour aller à la manif, Emmanuel Macron sera le premier président à commémorer en personne cette date funeste, en présence notamment de familles de victimes. 

    Le chef de l’État, qui ne prononcera pas de discours mais publiera un texte à l’issue de la cérémonie, « ira plus loin », promet un conseiller de l’Élysée sans en dire plus… Le même assure cependant qu’il n’y aura ni excuses ni demande de pardon, contrairement au récent geste à l’endroit des harkis. Explication ? « La manière dont les harkis ont été traités résulte d’un choix politique mis en œuvre par les organes de l’État, il y a donc eu demande de pardon — acceptée de bon cœur — pour ce que la République leur a infligé. Le 17 octobre 1961, il s’agissait de faits de violences dans le contexte du couvre-feu imposé aux Français musulmans d’Algérie : le préfet de police Papon avait certes la main mais pas l’ordre de tirer sur les manifestants », justifie l’Élysée. Le texte écrit par Macron pourrait d’ailleurs mentionner le rôle de la préfecture de police de Paris.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Pescara (Italie) : un migrant camerounais viole une Italienne qui l’hébergeait chez elle

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

    Une jeune fille de 23 ans a été violée par un jeune homme de 27 ans originaire du Cameroun qui a été arrêté. Il aurait battu la jeune fille de 23 ans et l’aurait forcée à avoir des rapports sexuels. La jeune fille l’hébergeait dans sa maison en attendant qu’il trouve un autre endroit où loger. Une troisième personne vit également dans la maison.

    La police de Pescara a arrêté le jeune homme, qui avait obtenu un permis de séjour pour protection subsidiaire quelques jours auparavant et vivait avec la jeune fille et sa colocataire depuis quelques semaines. Après l’incident, l’étranger s’est enfui par la fenêtre de l’appartement et a disparu.

    Le matin du 12 octobre, cependant, la famille de la victime a signalé la présence de l’homme dans les rues du centre ville. Le jeune homme de 27 ans se trouvait non loin du lieu de travail de la jeune fille et une descente a été lancée, ce qui a conduit à son arrestation.

    Leggo via fdesouche

  • 50 ans du Variétés Club de France : Les 50.000€ récoltés partiront à Kaboul, capitale de l’Émirat islamique d’Afghanistan

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

    Jeudi à Poissy, Emmanuel Macron a chaussé les crampons avec le Variétés Club de France pour disputer un match de football caritatif contre une sélection du personnel soignant du centre hospitalier de Poissy/Saint-Germain-en-Laye. Devant 2.000 spectateurs au stade Léo-Lagrange, le président de la République a joué 75 minutes et a inscrit un but sur penalty. Son équipe, composée de nombreuses anciennes gloires du ballon rond (Christian Karembeu, Robert Pirès, Marcel Desailly, Alain Giresse, Dominique Rocheteau…) s’est facilement imposée (6-1).

    Après la rencontre, l’ensemble des acteurs de ce match, qui a permis de récolter 50.000 euros à destination de l’Institut médical pour la mère et l’enfant de Kaboul, se sont retrouvés à l’Élysée pour un dîner.

    […]

     

    Le Figaro via fdesouche

  • Du Nord au Sud, l’Italie bloquée

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

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    Impressionnante image du port de Trieste bloqué par une foule innombrable, plus de 6 000 personnes, en ce 15 octobre 2021, le D-Day, jour de l’entrée en vigueur du passe sanitaire pour tous les travailleurs italiens.

    Rappelons-nous Solidarnosc : les protestations des dockers de Danzig firent tomber le régime communiste de Pologne.

    L’histoire se répèterait-elle ? Le régime sanitaire du banquier Mario Draghi, dictature néo-communisme des financiers capitalistes dont il est un digne représentant, fait face à d’immenses contestations du nord au sud de la péninsule.

    Le port de Trieste a lancé l’assaut contre l’obligation du Green pass, le port d’Ancone a répondu présent, ainsi que ceux de Ligurie dont le grand port de Gênes, et d’autres, Gioia Tauro, Civitavecchia aux portes de Rome : le blocage des ports entrainent des perturbations logistiques conséquentes, les camions ne peuvent ni entrer ni sortir, ni charger ni décharger.

    La catégorie des dockers n’est pas la seule sur le pied de guerre. De fortes protestations sont également en cours devant les usines turinoises. « Il n’y a que dans ce pays qu’il faut payer pour travailler, je suis ici depuis trente-deux ans et ce matin je ne peux pas entrer car je ne suis pas vacciné, ils nous privent de liberté », tonne un ouvrier de Fiat Avio à Rivalta Torinese qui conteste le laissez-passer vert obligatoire depuis l’aube avec des dizaines de personnes devant la porte 10 de l’usine aérospatiale.

    « Le travail est un droit, des tests gratuits », lit-on dans un manifeste des travailleurs. « Ici parmi nous il y a aussi des gens vaccinés, expliquent-ils, mais nous ne croyons plus en ce gouvernement. Les citoyens sont exaspérés, la violence n’est jamais justifiée mais on n’en peut vraiment plus. Ils ont touché les fondements, l’article 1 de la Constitution, en oubliant que les gens survivent avec le travail ».

    Les camionneurs, d’autres salariés, de simples citoyens, beaucoup d’étudiants ont rejoint les manifestations un peu partout : à Florence, à Turin, à Milan devant le tribunal, l’université et le siège de la télévision d’Etat, la Rai, dans les petites villes et dans la capitale Rome, au cirque Maximus. Les préfectures et la police sont en alerte. Les initiatives contre le Green pass ont lieu devant les « entrées des entreprises » et « aux aéroports, ports, nœuds routiers, autoroutes et voies ferrées, visant à créer des désagréments pouvant entraver la régularité des services et des activités de la production », écrit dans une circulaire le ministère de la Sécurité publique.

    Les yeux sont rivés sur les travailleurs du port de Trieste, qui ont rejeté l’offre du gouvernement des tests gratuits pour eux : 40 % des 950 salariés ne sont pas vaccinés, et à partir d’aujourd’hui ils bloqueront les opérations jusqu’à la suppression du laissez-passer sanitaire. En attendant, l’Association nationale des Transporteurs italiens, Trasportiunito, annonce qu’ « environ 80 000 chauffeurs de camions et autres véhicules répartis sur 98 000 entreprises manqueront à l’appel ». Les syndicats des transports calculent des chiffres qui, s’ils étaient confirmés, conduiraient à la paralysie de secteurs entiers et pas seulement de la logistique. Le Green Pass conduira à une catastrophe économique affirme le syndicat Serviziounito. Les coûts plus élevés proviendront du manque de productivité des chauffeurs suspendus et ne pourront être remplacés par manque de personnel. Cela pourrait également entraîner « des retards de livraison, environ 320 000 heures par jour de plus que la norme quotidienne ». De son côté, le syndicat Coldiretti souligne qu’« avec 85 % des transports commerciaux effectués sur la route en Italie, l’arrêt des camions et des camions met en péril les dépenses des Italiens. Surtout pour les produits les plus périssables comme le lait, les fruits et légumes qui ne peuvent pas atteindre les rayons des marchés ».

    Une autre situation critique est celle des transports publics, où le pourcentage d’employés non vaccinés varie de 10 à 20 %.

    Le secteur agricole est impacté lui-aussi : l’activité agricole est liée aux cycles saisonniers et ne peut être arrêtée et il y a au moins 100 000 ouvriers agricoles non vaccinés travaillant dans les champs.

    Au sein des Carabinieri, les gendarmes italiens, le passe sanitaire provoque également des remous : plus de 5 000 d’entre eux ne sont pas vaccinés. Le syndicat La Nouvelle Union des Carabiniers (Nsc) dénonce que des militaires sans passe sanitaire soient contraints de quitter leur logement dans la caserne. Comme on le lit sur la page Facebook du syndicat, il a été ordonné « à tous les carabiniers logés dans la caserne de quitter leurs dortoirs s’ils ne sont pas en possession du laissez-passer vert à minuit ». « Le commandement général aurait donné la disposition d’ordonner à ceux qui occupent les chambres de les quitter, en comparant le logement à un lieu de travail » ajoute le syndicat qui souligne : « aucun décret n’a jamais imposé une telle action qui soit sans précédent dans l’histoire de l’arme. » A ces « carabinieri » s’ajoutent quelques 7 000 policiers non-vaccinés. » Des forces de l’ordre dont le gouvernement a pourtant besoin pour imposer son passe sanitaire.

    L’Armée de l’Air italienne, et c’est une première, manifeste aussi contre le Green Pass : le SIAM (Union Aeronautica Militare) a annoncé pour le vendredi 15 octobre 2021 à 07h00 le premier “sit-in” historique de l’histoire aéronautique devant les grilles d’entrée de la base militaire de Sigonella contre l’obligation du pass vert “payant “.

    Si aujourd’hui le chef du gouvernement italien Draghi, ancien numéro un de la Banque Centrale Européenne, « l’un des personnages les plus influents de la gouvernance mondiale au service du « Grand Reset » » rappelle le blog Le courrier des stratèges, ne semble pas vouloir faire de concessions, demain est à haut risque et pourrait le faire reculer : l’agitation sociale et anti-passe-sanitaire ne fait que commencer en Italie…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info