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  • La Marche pour la vie lance une pétition contre la loi Gaillot

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

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    Il y a tout juste un an, en octobre 2020, le député Albane Gaillot présentait à l’Assemblée nationale une proposition de loi visant, au lendemain de la crise sanitaire, à allonger le délai de l’avortement de 12 à 14 semaines.

    « J’ai été alertée par de nombreuses femmes ainsi que par le Planning familial sur les difficiles conditions d’accès à l’IVG pendant l’épidémie de Covid-19 expliquait-elle à l’époque, nous nous sommes rendues compte que le problème n’était pas conjoncturel mais structurel ».

    Validée par l’Assemblée, cette proposition de loi avait ensuite été présentée par la socialiste Laurence Rossignol au Sénat avant d’être rejetée.

    Comme un train peut en cacher un autre, il en est de même pour les génies ou les barbares. L’ancien Ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, désormais chef de file de la majorité LREM à l’Assemblée nationale, encouragé par le Ministre de la Santé, Olivier Véran, vient d’annoncer l’inscription à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale dans le cadre d’une niche parlementaire, d’une nouvelle proposition de loi pour allonger le délai de l’IVG.

    « En France, l’avortement n’est pas menacé en droit, mais il l’est dans la pratique », affirme t-il. Pourtant 222.000 avortements ont été réalisés en France en 2020 soit plus de 600 par jour ! Faut-il encore et toujours ajouter de la souffrance à la souffrance, de la mort à la mort ? N’y a-t-il pas meilleure idée pour protéger les femmes que les encourager à avorter de plus en en plus tard, quitte à ressentir dans leurs chairs la dissection d’un petit être vivant ?

    Nous rappelons que l’avortement à 14 semaines implique une dissection afin de faire sortir le bébé du ventre. L’enfant a un cœur qui bat dès six semaines ; à 14 semaines son visage est déjà bien dessiné, il a ses empreintes digitales… Il commence même à sucer son pouce !

    Le Syndicat national des gynécologues-obstrétriciens de France (Syngof), affirme pour justifier son opposition à cette proposition, que l’ossification de l’embryon à ce stade de la grossesse impose une dilacération des chairs.

    Ne les laissons pas faire ! 

    Signez, diffusez, faites tourner cette pétition pour ordonner le retrait (sans délai) de cette proposition de loi.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le rapport Sauvé : la trahison de l’épiscopat français

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

    Le rapport Sauvé : la trahison de l’épiscopat français

    De Marion Duvauchel, paroissienne catholique :

    Le Rapport Sauvé est une imposture et un pseudo travail fondé sur une méthodologie frauduleuse.

    Comment a t-on calculé l’ampleur des crimes sexuels commis par des religieux français ? Comment a-t-on pu parvenir au chiffre de 216 000 victimes en quelques semaines ?

    On l’a obtenu en interrogeant 243 personnes directement et 2819 par courrier, soit un total de 3602 témoignages directs (si l’on admet qu’un courrier soit un témoignage direct). Il reste donc 212 938 témoignages tenus pour autant de victimes. Ce chiffre, comment l’a-t-on obtenu ? Par une simple extrapolation.

    La méthodologie est à suffoquer d’ahurissement. Dans un premier temps l’IFOP institut de sondage privé grassement nourri par Macron et tous les précédents présidents de la Cinquième République, a organisé un sondage. On est en droit de douter de l’indépendance politique d’un organisme qui, de notoriété publique, a fait preuve d’une grande imprécision dans un nombre impressionnant de sondages politiques.

    C’est donc par sondage qu’on a obtenu des « témoignages » pour ce qui s’apparente à un procès public orchestré par des médias dont la liberté n’est plus un secret pour personne.

    Pour ce rapport Sauvé, le travail de l’Inserm a été mené par Nathalie Bajos, sociologue et démographe, qui y est responsable de l’équipe Genre. Autrement dit, une idéologue dont on peut lire le credo sur le site de l’IRIS :

    « interroger les inégalités sociales de santé en croisant la sociologie de genre et la sociologie de la santé et en convoquant une perspective inter sectionnelle d’articulation des rapports sociaux de domination, de classe, de genre et de race ».

    La cuistrerie du vocabulaire ne saurait tromper personne.

    L’enquête sur les crimes de l’Église a donc été synthétisée par une féministe d’extrême-gauche, une adversaire déclarée de l’éthique sexuelle de l’Église, voire de l’Église. Dans une vidéo dont on trouvera le lien ci-après (cette vidéo), Nathalie Bajos explique que les parents ont tort d’être angoissés à l’idée que leurs enfants regardent du porno et que les changements dans l’éthique sexuelle n’ont rien que de très normal, que les parents doivent accepter et se conformer aux nouvelles normes sexuelles des adolescents. Normes programmées et massivement diffusées par les medias : JT, cinéma, publicité… Tout concourt à la nouvelle programmation sexuelle.

    Que des membres de l’Église aient commis des fautes, et des fautes intolérables, nul n’en doute. Qu’une droite appréciation du phénomène fût nécessaire, cela aurait été non seulement nécessaire mais juste. À la condition que ce soit dans une société déterminée elle-même à lutter contre la pédo-criminalité.

    Or, après que des faits de pédophilie avérés aient été établis pour des personnalités littéraires (Frédéric Mitterrand, Gabriel Matzneff..) aucune poursuite n’a jamais été entreprise. Mieux encore, des justifications liées à l’époque, à l’esprit du temps ont encore aujourd’hui cours pour excuser ces comportements et ce prosélytisme.

    Une société qui encourage et valorise la délinquance sexuelle juvénile, qui organise l’avortement de masse, qui non contente de n’avoir jamais puni ses pédophiles notoires absout la pédophilie parce que sociologiquement considérée comme normale, une société qui se fait l’ardent prosélyte d’une éthique sexuelle perverse (celle-là même que défend Mme Bajos), ses membres n’ont aucune légitimité à produire ce type de rapport.

    Une société dépravée qui dégrade l’amour, méprise l’honneur et le courage, disqualifie les aspirations les plus élevées en l’homme doit demander pardon pour les lois scélérates qu’elle défend, pour l’éthique sexuelle perverse qu’elle justifie et pour l’Himalaya de mensonges que sa presse obséquieuse relaie depuis un demi-siècle.

    Mais que l’épiscopat français ait commandité ce travail aux ennemis mêmes de l’Église, à ceux qui se font les prosélytes de l’avortement de masse et de tout ce qui soutient l’idéologie du genre, voilà qui invite à ne pas prendre au sérieux non pas la question, mais les chiffres établis par ce rapport. Que ce même épiscopat ait l’insolence d’inviter aujourd’hui les fidèles à financer ces réparations, voilà qui dépasse les bornes.

    Le Rapport Sauvé n’est pas seulement l’enfant malade des ennemis du catholicisme. Il est une vaste opération de manipulation idéologique destinée à faire douter les derniers fidèles de leur Église et à finir de vider les paroisses. Avec la complicité active des évêques de France.

    On a demandé récemment leur démission collective. L’épiscopat n’a pas à démissionner pour avoir couvert des actes criminels mais pour avoir confié à des ennemis de l’Église une recherche qui réclamait la raison prudentielle, le temps, des vérifications difficiles et délicates, une objectivité sans faille envers les victimes comme envers les coupables présumés. Et puisqu’il s’agit d’accusations d’une extrême gravité, qu’elles fassent l’objet de vérifications soignées et contradictoires, comme notre justice le réclame.

    Non seulement depuis plusieurs années, les évêques de France n’ont pas défendu ce qu’il était de leur devoir de défendre : une éthique sexuelle digne de la nature humaine, les droits des plus fragiles, (les enfants conçus non nés, pas seulement les migrants musulmans), mais ils ont abdiqué toute parole qui soit le reflet de la Parole dont ils sont les Serviteurs.

    C’est à leur Christ que les évêques ont à demander pardon car c’est Lui qu’ils ont trahi, avec leurs choix mauvais, leur couardise, leur lâcheté et leur pleutrerie qu’ils ont l’insolence d’envelopper sous la dorure de la raison prudentielle.

    Le rapport Sauvé est le signe visible de la trahison de l’épiscopat lui-même qui prend aujourd’hui le triste masque de Judas.

     

    Source : lesalonbeige

  • Un député britannique poignardé à mort dans une église

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

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    Le député conservateur britannique David Amess, 69 ans, marié et père de cinq enfants, a été mortellement poignardé vendredi dans l’église méthodiste de Leigh-on-Sea, dans le Sud-Est de l’Angleterre. La police a annoncé l’arrestation d’un suspect. C’est un Somalien de 25 ans.

    Membre du Parti conservateur du Premier ministre Boris Johnson, David Amess, député depuis 1983, était un fervent défenseur du Brexit.

    David Amess était de confession catholique et fermement opposé à l’avortement. Il fut aussi favorable au rétablissement de la peine de mort. L’archevêque de York Stephen Cottrell, a souligné la “foi chrétienne profondément ancrée” de celui qu’il considérait comme un “ami”.

    David Amess soutenait aussi le mouvement d’opposition iranien en exil les Moudjahidine du peuple.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’English Touring Opera licencie des musiciens sur la base de leur couleur de peau

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

    L’English Touring Opera licencie des musiciens sur la base de leur couleur de peau

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    Le racisme dans toute sa splendeur :

    Une fois de plus, l’Angleterre est un leader mondial, cette fois-ci en poussant à l’absurde l’agenda de la diversité. Au nom de la diversité, l’English Touring Opera vient de se séparer de près de la moitié des membres de son orchestre parce qu’ils sont blancs.

    Selon son site Internet, l’English Touring Opera (ETO) produit depuis 1979 “des productions en direct exceptionnelles et des projets éducatifs et communautaires à fort impact dans plus de villes que toute autre compagnie d’opéra britannique. Au cœur de notre éthique, il s’agit de rendre des expériences artistiques exceptionnelles disponibles et accessibles à tous.”

    Peut-être pas à la portée de tous, du moins pas si vous êtes un Blanc travaillant dans l’orchestre de l’ETO. L’ETO a envoyé des lettres à près de la moitié des membres de son orchestre – qui sont tous blancs – leur annonçant que leur contrat ne sera pas renouvelé en raison de l’engagement de l’opéra en faveur de la diversité. Dans la lettre envoyée aux membres licenciés et publiée dans le Daily Mail anglais, le directeur de l’ETO a déclaré :

    “Je vous écris pour vous informer que l’English Touring Opera va connaître d’importants changements au cours des prochaines saisons… Il semble probable que l’ETO ne sera pas en mesure de vous proposer un engagement en freelance pour la saison printemps 2022, même si nous souhaitons laisser la porte ouverte à des engagements en freelance à l’avenir…. L’English Touring Opera s’est engagé à accroître toutes les formes de diversité au sein de son équipe, et bien que des progrès appréciables et réguliers aient été réalisés sur scène dans ce domaine, nous avons donné la priorité à l’accroissement de la diversité au sein de l’orchestre.”

    En plus d’être blancs, tous les musiciens non reconduits avaient entre 40 et 66 ans. Certains travaillaient pour l’ETO depuis vingt ans.

    Il convient de noter que l’ETO a licencié ces musiciens non pas parce qu’ils avaient fourni de mauvaises prestations. Non pas parce qu’ils avaient eu un comportement raciste ou autre comportement immoral. Pas même parce que l’ETO elle-même s’était engagée dans des pratiques d’embauche discriminatoires. Mais plutôt uniquement parce que les musiciens concernés sont blancs.

    Le Syndicat des Musiciens a rapidement attaqué cette action raciste flagrante de l’ETO. Dans une déclaration intitulée “Le Syndicat des Musiciens est consterné d’apprendre la récente action de l’English Touring Opera”, le syndicat n’a pas mâché ses mots :

    “Bien que le Syndicat des Musiciens salue les efforts déployés pour accroître la diversité sur le lieu de travail, cet objectif doit être atteint de manière équitable et légitime, et non en “licenciant” la moitié d’un orchestre”.

    Le syndicat a ensuite souligné le haut niveau et la loyauté des membres de l’orchestre de l’ETO :

    “L’orchestre de l’ETO a reçu des éloges dans la presse année après année, certains des musiciens (y compris ceux qui n’ont pas été reconduit) étant mentionnés personnellement pour le haut niveau prestation. Bien qu’il s’agisse d’un orchestre indépendant sans sécurité de travail, les membres de l’orchestre ont été loyaux envers la compagnie et envers chacun d’entre eux en tant que collectif.”

    Le Syndicat a ensuite prédit que cette action raciste finirait par se retourner contre ses promoteurs :

    “Le Syndicat des Musiciens croit fermement que cette décision n’a absolument rien à voir avec la diversité et qu’elle fera reculer les programmes de diversité et d’inclusion dans l’ensemble du secteur orchestral. Le licenciement de la moitié des musiciens va à l’encontre de la création d’un environnement inclusif pour des musiciens plus diversifiés.”

    “Si l’ETO souhaite réellement recruter une main-d’œuvre plus diversifiée, elle devrait s’attacher à créer un orchestre où les musiciens sont appréciés, respectés et encouragés à participer pleinement. Licencier la moitié de l’effectif sous prétexte d’”améliorer la diversité” est un manque de sincérité et une mauvaise pratique.”

    Une fois de plus, les guerriers gauchistes de l’idéologie “woke” mettent en avant un programme raciste au nom de la “diversité”.

     

    Source : lesalonbeige

  • Testament de Marie-Antoinette, reine de France assassinée par les républicains un 16 octobre

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

    Le 16 octobre 1793, à 4h30 du matin, soit 8 heures avant son exécution, la Reine rédige sa dernière lettre, à l’adresse de la sœur de Louis XVI, Marie-Elisabeth.
    Ce sera son émouvant testament.

    « C’est à vous, ma sœur, que j’écris pour la dernière fois : je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère, comme lui, innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments.

    Je suis calme comme on l’est quand la conscience ne reproche rien ; j’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants : vous savez que je n’existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur. Vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse! J’ai appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n’ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre ; je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra : recevez pour eus deux ici ma bénédiction. J’espère qu’un jour, lorsqu’ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous, et jouir en entier de vos tendres soins.

    Qu’ils pensent tous deux à ce que je n’ai cessé de leur inspirer : que les principes et l’exécution exacte de ses devoirs sont la première base de la vie ; que leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur. Que ma fille sente qu’à l’âge qu’elle a elle doit toujours aider son frère par des conseils que l’expérience qu’elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer; que mon fils, à son tour, rende a sa sœur tous les soins, les services que l’amitié peut inspirer ; qu’ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union. Qu’ils prennent exemple de nous : combien, dans nos malheurs notre amitié nous a donné de consolation; et dans le bonheur on jouit doublement, quand on peut le partager avec un ami ; et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille ? Que mon fils n’oublie jamais, les derniers mots de son père, que je lui répète expressément :  » qu’il ne cherche jamais à venger notre mort. »

    J’ai à vous parler d’une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine; pardonnez-lui, ma chère sœur ; pensez à l’âge qu’il a, et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu’on veut, et même ce qu’il ne comprend pas : un jour viendra, j’espère, où il ne sentira que mieux tout le prix de vos bontés et de votre tendresse pour tous deux. Il me reste à vous confier encore, mes dernières pensées ; J’aurais voulu les écrire dès le commencement du procès ; mais outre qu’on ne me laissait pas écrire, la marche en a été si rapide que je n’en aurais réellement pas eu le temps.

    Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j’ai été élevée, et que j’ai toujours professée ; n’ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s’il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop, s’ils y entraient une fois, je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j’ai pu commettre depuis que j’existe. J’espère que, dans sa bonté, il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps pour qu’il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais, et à vous, ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j’aurais pu vous causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu’ils m’ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J’avais des amis; l’idée d’en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j’emporte en mourant ; qu’ils sachent, du moins, que, jusqu’à mon dernier moment, j’ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur; puisse cette lettre vous arriver! Pensez toujours à moi; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfans : mon Dieu ! qu’il est déchirant de les quitter pour toujours. Adieu, adieu, je ne vais plus m’occuper que de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m’amènera peut-être un prêtre ; mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot, et que je le traiterai comme un être absolument étranger. [1]»

    Notes

    1. La reine désigne ici les prêtres « assermentés », c’est-à-dire qui ont prêté le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, condamnée par Rome,  et qui sont considérés comme ne faisant plus partie de l’Eglise catholique.