Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2021
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Source : fdesouche
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Suisse : En 2020, 61% des hommes qui ont tué leur conjointe, sont des étrangers : « Les influences culturelles jouent un rôle et ne pas en tenir compte est une erreur »
Publié par Guy Jovelin le20 novembre 2021
La «Schweiz am Wochenende» consacre ce samedi une large place au féminicide et au débat autour de l’importance de l’origine migratoire des auteurs. Pour le PS, il s’agit d’un problème 100% masculin et le contexte migratoire n’est pas pertinent. L’UDC au contraire trouve qu’il s’agit à 100% d’un problème lié aux étrangers. Les deux partis sont unanimes sur une chose: l’Office fédéral de la statistique ne dispose pas de données suffisantes sur ce sujet. Or, en se penchant sur les chiffres des statistiques comme l’a fait le journal alémanique, on remarque qu’en 2020, il y a eu 28 cas qu’on peut qualifier de violences domestiques. En comparaison avec d’autres années, on constate que ce chiffre n’a guère évolué en dix ans. Mais qu’il n’a pas baissé non plus. Sept crimes sur dix sont commis par des hommes et trois par des femmes. Reste que le contexte migratoire ne peut pas être occulté. 61% des auteurs d’homicides dans le contexte familial sont des étrangers. À noter qu’en Suisse, la proportion de la population étrangère est de 25%.
Les scientifiques et chercheurs qui étudient le phénomène ne cachent pas que l’origine des auteurs de tels crimes a une influence. Ils pointent du doigt également les facteurs économiques. Les étrangers vivraient plus souvent dans des situations précaires, ce qui pourrait conduire à davantage de violence.
Frank Urbaniok, médecin-chef du service de psychiatrie et de psychologie du canton de Zurich, a participé à l’une des études les plus complètes sur la violence domestique. Parmi les auteurs de ces crimes, les personnes originaires d’Afrique du Nord, des Balkans et de Turquie sont massivement surreprésentées. «Les influences culturelles jouent un rôle et ne pas en tenir compte est une erreur», explique-t-il. Mais ce critère n’est pas le seul pour expliquer le phénomène car la plupart des étrangers ne commettent pas de délits. L’empreinte personnelle est également déterminante, indique le médecin. Certaines personnes présentent très tôt dans leur personnalité certains profils à risque comme une susceptibilité accrue ou un problème de domination.
20 Minutes via fdesouche
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Collage en occitanie pour dénoncer la tyrannie politico-sanitaire mise en place par nos gouvernants
Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2021
Ce matin le Parti de la France d’Occitanie rajoute une "dose" contre la tyrannie politico-sanitaire mise en place par nos gouvernants
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Sables d’Olonne : les laïcistes en guerre contre une statue de saint Michel archange
Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2021
Suite à une plainte des laïcards de la Fédération de Vendée de la Libre Pensée contre la mairie, le rapporteur public a préconisé au tribunal administratif de Nantes, jeudi 18 novembre, d’ordonner à la ville des Sables d’Olonne de démonter la statue de Saint-Michel qu’elle avait fait installer sur le parvis de l’église éponyme suite à la destruction de l’école Saint-Elme (ex-Saint-Michel).
Pour sa défense, la commune met en avant la « pluralité de significations » de cette statue : Saint-Michel est « le saint patron des troupes aéroportées ». Un « détachement de parachutistes » avait d’ailleurs été convié lors de l’inauguration de la statue en octobre 2018.
L’avocat de la commune, Me Vincent Horeau, a déclaré :
« Jusqu’où va-t-on aller ? La Fédération de la Libre Pensée ne s’attaque plus seulement aux statues, mais désormais aussi à leurs socles »
L’association avait déjà attaqué en justice la crèche de Noël installée dans le hall du conseil départemental de la Vendée.
« Cette statue a été installée dans le quartier Saint-Michel, que tous les Sablais connaissent, à côté de l’auditorium Saint-Michel, sur la place Saint-Michel, qui est le parvis de l’église éponyme ».
« C’est un symbole local important, et en aucun cas un acte de prosélytisme de la commune. »
L’avocat a considéré que la place Saint-Michel constitue bel et bien une « dépendance » de l’église Saint-Michel, et que la statue peut donc être légalement installée sur son parvis.
Le maire Yannick Moreau ne semble pas intimidé :
Source : lesalonbeige -
Le jeune Américain patriote qui avait abattu deux antifas violents relaxé par la justice
Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2021
Le 23 août 2020, alors que les Etats-Unis étaient traversés par une vague de manifestations violentes cornaquées par l’extrême-gauche contre les Blancs (mouvement « Black lives matter« , des tirs résonnèrent dans la ville de Kenosha (région des Grands Lacs).
Un peu plus tôt, alors âgé de 17 ans, Kyle Rittenhouse s’était équipé d’un fusil semi-automatique et avait rejoint des groupes de citoyens armés venus protéger les commerces, face aux dévastations des émeutiers noirs et gauchistes, qui avaient déjà pillé et incendié, les nuits précédentes.
Dans des circonstances présentées comme confuses, il avait ouvert le feu, tuant deux hommes et en blessant un troisième. Les médias de gauche (presque tous, donc) en avaient fait un symbole d’une droite sanguinaire.« Je n’ai rien fait de mal, je me suis simplement défendu » avait plaidé le jeune homme, lors de son procès, assurant avoir tiré après avoir été pris en chasse et attaqué par ces trois hommes.
Les douze jurés d’un tribunal de l’Etat du Wisconsin viennent de lui donner raison et de le déclarer « non coupable » des cinq chefs d’accusation qui pesaient sur lui, au quatrième jour de leurs délibérations. La justice a été rendue.
En France, il eût droit au pire (cf les jeunes patriotes qui se sont défendus face à l’agression de Clément Méric et ses compères, et qui se retrouvent ignoblement incarcérés).
« Les démocrates [gauche américaine – NDCI] avaient accusé le jeune homme d’être un suprémaciste blanc, et d’avoir tiré sur des manifestants tout en bénéficiant de la complaisance de la police à cause de sa couleur de peau. » (source) Tandis qu’une bonne partie du camp républicain l’avait défendu.Le tribunal, s’appuyant sur les preuves et témoignages, a reconnu que le jeune homme s’était légitimement défendu face à trois agresseurs, trois « antifas » : Joseph Rosenbaum, le premier à avoir été abattu – qui avait poursuivi Rittenhouse et essayé de lui arracher son arme, probablement pour lui tirer dessus –, le deuxième, qui le frappait à la tête avec une planche à roulettes, et le troisième qui pointait vers lui… un pistolet.
Sur la video ci-dessous, on voit Rittenhouse poursuivit par des antifas. Il tombe à terre et on entend parmi ses poursuivants « Kill that dude ! « (« tuez ce mec ! ») :
Pour le profil de ces trois-là, on précisera, car les médias français ne le font pas, que Joseph Rosenbaum avait été condamné pour le viol de cinq enfants de 9 à 11 ans…
Le second, Anthony Huber, avait été condamné plusieurs fois pour violences conjugales et détention de drogue.
Le dernier, Gaige Grosskreutz, qui n’a été que blessé et qui pointait une arme sur le gamin, a aussi plusieurs condamnations, entre autres pour avoir tiré après usage de drogues.
Bref, des « antifas ».La justice américaine est tout de même moins pourrie que la française
Source : contre-info