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Le Premier ministre, Jean Castex, a été testé positif lundi soir au Covid19 et “son agenda sera aménagé ces prochains jours afin qu’il poursuive ses activités tout en étant à l’isolement” pendant dix jours.
Est-ce à dire que les 2 doses du vaccin qu’il a reçu sont inefficaces ?
Ou qu’il aurait du respecter les gestes barrières qu’il impose à toute la France ?
Ca y est, les complotistes l’avaient prédit sous les quolibets de la bien-pensance, c’est arrivé plus vite que prévu : Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, vient d’ annoncer que le vote électronique va être mis en place pour la présidentielle. Raison invoquée par le freluquet de Macron: la crise sanitaire. La décision macronienne de maintenir le passe sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022, à cheval sur l’élection présidentielle trouve là une explication.
Nous attendons les paroles fortes de tous les grands esprits de gauche : Sur le vote électronique, la triche assurée et la fin de la démocratie. La tyrannie sanitaire où ils sont toujours inaudibles. https://t.co/iGDuTEVTbu
Pire que le vote par correspondance, le vote électronique permettra des fraudes massives, invérifiables.
Rappelons qu’en 1975, le gouvernement de l’époque supprima le vote par correspondance pour réduire la fraude électorale. Macron le restaure peut-être bien pour favoriser cette fraude électorale… à son profit…
Quatre personnes de 15, 16, 17 et 25 ans, se trouvaient toujours en garde à vue ce lundi, après un épisode d’une rare violence contre des gendarmes, samedi soir à Lesparre-Médoc (Gironde). Pas moins « d’une centaine de coups de feu » ont été tirés à leur encontre, indique le parquet de Bordeaux à 20 Minutes ce lundi. Il n’y aucun blessé chez les militaires, qui ont été choqués par la « détermination des tireurs ». Les gendarmes n’ont fait, « à aucun moment », usage de leurs armes, compte tenu de leur protocole
Samedi soir vers 22 h 40, deux équipages de la brigade territoriale de Lesparre (Gironde) étaient appelés « sur un incendie volontaire de véhicule survenu sur un terrain situé au lieu-dit “Connau” à Lesparre-Médoc » raconte le parquet. Le premier équipage s’engageait sur un chemin de terre qui longeait le terrain où avait eu lieu l’incendie et menait à des habitations, tandis que le second stationnait son véhicule sur la route de Connau. Parallèlement, une patrouille du PSIG (Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie), également alertée, suivait le convoi non loin de là.
A l’arrivée des gendarmes, la situation était calme. « Puis des coups de feu retentissaient provenant d’une petite zone boisée située non loin de l’habitation » indique le parquet. Le quotidien Sud Ouest précise que le site est partagé en deux campements de fortune, distants d’une centaine de mètres où vivent, chacun de leur côté, deux frères avec leur famille respective, dans des caravanes et masures en bois.
L’un des membres des familles vivant sur place arrivait alors en camionnette en klaxonnant, et mettait fin à la fusillade. « Celle-ci avait duré sans discontinuité plus d’une heure, et près d’une centaine de coups de feu avaient été tirés » précise le parquet. Le véhicule des gendarmes avait reçu de nombreux impacts de plombs mais aussi un impact de balle. […]
Au 1er janvier 2020, le dispositif national d’accueil comptait environ 43 600 places autorisées de centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA). Le parc est principalement situé en Ile- de-France, Auvergne-Rhône-Alpes et Grand Est. Cependant, ce sont les régions Pays de la Loire, Bretagne, Nouvelle Aquitaine et Occitanie qui ont connu le plus grand nombre de créations.
Pour pallier le manque de places de CADA, un dispositif d’hébergement d’urgence des demandeurs d’asile (HUDA) s’était développé au cours des décennie 2000 et 2010.
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Selon la circulaire du 31 décembre 2018, ce dispositif est destiné à accueillir des personnes en procédure accélérée ou Dublinées. 36% des places sont des nuitées d’hôtel notamment à Paris, à Lyon, à Marseille ou à Nice.
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5 351 places ont été créées dans le cadre d’un programme d’accueil et d’hébergement des demandeurs d’asile (PRAHDA). Lancé par appel d’offres en septembre 2016 remporté pour tous les lots par ADOMA, il consiste en grande partie en des places situées dans d’anciens hôtels formule 1, rachetés au groupe Accor.
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4 500 PLACES DE CAES
Dernier dispositif mis en place en 2017 mais destiné aux personnes qui souhaitent solliciter l’asile, les centres d’accueil et d’étude de situations (CAES) comptent environ 4 500 places.
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PLUS DE 8 700 PLACES DE CPH POUR LES BÉNÉFICIAIRES DE PROTECTION INTERNATIONALE.
Historiquement, première forme de lieu d’accueil lié à l’asile, le centre provisoires d’hébergement accueille des réfugié·e·s et des bénéficiaires de la protection subsidiaire. Limité pendant vingt ans à 1 083 places, le dispositif a connu un doublement avec la création de 1 000 places supplémentaires en 2017. 3 000 places supplémentaires ont été créées en 2018 et 2000 autres en 2019 soit 8 710 places. 400 places supplémentaires sont prévues en Ile de France en 2021 et 800 en 2022.
Sa maison est squattée à Villeveyrac dans l’Hérault et elle en paye toutes les charges.
Depuis le premier confinement, le logement de Marie-Christiane est squatté par quatre personnes. Elle est fonctionnaire de l’Etat, œuvre à Montpellier mais habite sur le Biterrois.
La date de son départ à la retraite arrivant, Marie Christiane a acheté une demeure à Villeveyrac afin de créer deux chambres d’hôtes. Tout son projet est en suspens, et malgré un jugement qui serait rendu en sa faveur, rien ne bouge.
Sans nouvelles de la justice
“Je n’ai pas de nouvelle de la justice. Le tribunal de Montpellier les aurait condamnés à quitter les lieux mais rien ne bouge, explique-t-elle. Je suis à bout financièrement et c’est la même chose, côté santé. Dans cette affaire, ces squatteurs ont tous les droits et moi rien.”
De par sa fonction, Marie-Christiane se doit d’être exemplaire. Pas question de sortir des clous pour reprendre son bien.
“Nous avons employé les moyens légaux, nous avons changé les serrures des portes à deux reprises, ils les ont brisées et sont revenus tous les quatre dans ma maison.”