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  • La scandaleuse dissolution par Macron et Darmanin d’une association patriotique locale à Angers

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2021

    Le Régime continue à s’enfoncer dans le totalitarisme le plus crasse, dans l’indifférence générale.

    Depuis quelques années (il y avait déjà eu une vague sous De Gaulle), il dissout de façon particulièrement arbitraire les associations et groupements qu’il juge politiquement incorrects.

    Sous les prétextes d’« incitation à la haine » ou « à la discrimination », on peut dissoudre n’importe quelle structure, condamner n’importe quel citoyen agaçant.
    C’est ce qui s’est fait à l’encontre de l’Alvarium, association gérant un bar à Angers et organisant des distributions de repas aux pauvres, des conférences et quelques activités militantes classiques (affiches, etc.).

    Cette répression grossière semble une passion pour le traître Darmanin.
    Notez le « conformément aux instructions du Président » ! En pleine période de crise, ce lamentable individu est obnubilé par le moindre îlot de dissidence.

    Les agressions ou tentatives d’intimidation d’antifas angevins– ne supportant pas qu’un lieu de droite existe –, qui se sont soldées par des débandades pour ces idiots haineux, ont par ailleurs fourni un (piètre) prétexte au gouvernement pour accuser l’Alvarium de violence.

    Les antifas, bénéficiant d’une impunité ou d’une large complaisance de la part des ministères de l’Intérieur et de la Justice, se dévoilent encore comme des alliés, des serviteurs du Système.

    Pour lire la pseudo-argumentation du décret, on peut cliquer ici et .

    Le Régime, dont les écoles osent parler des méchantes « lettres de cachet » des rois de France, ne s’embarrasse plus de rien pour bafouer les libertés de ceux qui ne sont pas d’accord avec lui.
    Mais cette frénésie, cette fébrilité sont bons signes : il a peur, il arrive à bout de souffle.

     

    Source : contre-info

  • ET SI LES ANTILLES FRANÇAISES AVAIENT CONNU LE SORT D’HAÏTI ?

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2021

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    La Guadeloupe vient de vivre et vit encore, les heures agitées d’une véritable insurrection dont le prétexte, - la vaccination obligatoire pour les soignants -, est un commode « cache-sexe » à la volonté violement exprimée par des racailles, de casser, de détruire, d’incendier et, surtout, de piller. On a même assisté à des scènes frisant la guerre civile, avec des tirs d’armes à feu effectués contre les forces de l’ordre.

    Mais quand on a dit cela, on n’a pas tout dit. Derrière ce qui ressemble à une révolte, voire même à un mouvement révolutionnaire, il y a du carburant pour alimenter la machine. Depuis des lustres la Guadeloupe, - les Antilles françaises en général, à l’exception d’îles privilégiées comme Saint-Barthélemy -, subissent les inconvénients de leur insularité : prix supérieurs à ceux pratiqués en métropole, taux de chômage plus élevé (1), angoissante crise sanitaire liée, en plus du virus chinois, aux conséquences de l’utilisation de chlordécone, un produits chimique nocif pour l’humain, utilisé jadis dans les plantations bananières. Ajoutez à cela une immigration concurrentielle (2) et une mauvaise distribution d’eau potable par exemple, vous avez derrière la carte postale de rêve, une plus triste réalité.

    La Martinique voisine s’est lancée dans un mouvement de grève générale, et le pouvoir parisien pour enrayer les violences, a même dû dépêcher  dans les deux îles, des renforts de gendarmerie, y compris des effectifs du GIGN. Le président LREM de la région de Guadeloupe, Ary Chalus, a déclaré le 20 novembre sur France-Info, « Nous avons plus de quarante ans de retard par rapport à l’hexagone concernant notre développement économique ». Pourtant, de nombreux îliens fournissent en métropole des cadres dans la fonction publique, comme hier les Corses qui s’expatriaient dans les ex-colonies de la République. Apparemment, cela ne suffit pas à refroidir la température de cette marmite exotique française…

    La France est  à la croisée des chemins. Ou elle entend conserver son rang de première puissance  moyenne mondiale, et dans ce cas, - comme pour son arsenal nucléaire -, son outre-mer lui est indispensable, ou elle écoute les sirènes du renoncement et elle doit conduire  à l’indépendance  tous ces confettis qui ne sont plus que les miettes d’un grandiose festin impérial. Mais si la France veut garder le deuxième domaine maritime au monde, et la présence de son drapeau sur tous les océans, elle a l’impérieuse obligation d’élever le niveau économique de ses ressortissants ultra-marins. Sous deux réserves : d’abord  qu’ils le veuillent, et qu’ils y mettent bien sûr, un peu d’ardeur ! (Je n’oublie pas les slogans en créole peints sur les murs, du type « Fwansé deho », dont la traduction ne s’impose pas, tellement c’est clair !)

    Le prochain référendum en Nouvelle-Calédonie et les leçons qu’en tirera le pouvoir macronien, nous donneront une petite idée sur les orientations de l’Élyséen par rapport à notre outre-mer. En attendant, nos concitoyens des îles feraient bien de méditer sur le sort de la plus vieille République noire au monde, Haïti, libre depuis 1804. Une indépendance pour elle qui n’est synonyme que de misère, car la République haïtienne, n’est hélas qu’un cloaque à l’air libre …

    (1) Un planteur m’avait dit, lors d’un court séjour à la Martinique, que « les locaux ne voulaient plus travailler dans les bananeraies, et qu’il devait avoir recours à de la main d’œuvre issue de l’immigration.

    (2) Une immigration venant essentiellement d’Haïti et des ex-colonies britanniques des Antilles, - Dominique, Sainte-Lucie, Antigua, la Barbade etc. -, qui ont eu la… « malchance » de devenir indépendantes. (Pas folle la « perfide » Albion !)

     

    Source : synthesenationale

  • Montpellier : 4 hommes armés de barres de fer pénètrent dans une école et tabassent un animateur puis le père d’un élève, venu s’interposer. Une centaine de parents en colère manifestent

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2021

    Ces quatre hommes ont frappé un animateur avant de s’en prendre à un père de famille.

    Les parents de cette petite école maternelle de Montpellier ne décolèrent pas, après cette scène de violence inouïe dans l’établissement Jeanne-Deroin. Comme le rapporte France Bleu Hérault, lundi vers 17h30 quatre hommes sont entrés dans cette école alors que la classe était terminée, munis d’une barre de fer. Leur cible, un animateur de 35 ans, a reçu des coups de poing, puis a été entraîné par ces individus hors de l’école pour être de nouveau violenté, tout comme le père d’un élève, qui a essayé de lui porter assistance. Tous deux ne souffrent que de légères blessures, assure la radio, mais des enfants ont assisté à cette pluie de coups.

    (…) En réaction, une centaine de parents se sont rassemblés mardi, tandis que des animateurs ont décidé de ne pas travailler. La présidente de l’association des parents d’élèves a indiqué vouloir marquer « le coup parce qu’il est complètement intolérable de laisser entrer la violence au sein de l’école ».

    De son côté Fanny Dombre-Coste, la première adjointe au maire chargée des Affaires scolaires à Montpellier, a évoqué le déploiement de plusieurs psychologues, ainsi qu’un renfort de policiers municipaux aux heures d’entrée et de sortie des enfants devant l’école.

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Saint-Omer (62): handicapée, Martine a été violemment agressée à son domicile, son agresseur et voisin, condamné, a été remis en liberté

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2021

    Une femme violemment agressée chez elle par un faux agent de l’eau témoigne: «J’ai peur»

     

    […]

     

    Le volet de la porte d’entrée est complètement fermé, celui des baies vitrées l’était à moitié, ce lundi 22 novembre, pour voir et surveiller ceux qui s’approchent trop près de cette petite maison, située dans la rue Jean-Baptiste-Lebas à Blendecques. L’habitation de Martine (1), 44 ans, est barricadée. Elle ouvre doucement la porte après avoir fait tourner la manivelle du volet, glisse sa tête dans l’entrebâillement pour vérifier à qui elle a affaire. Une fois rassurée, mais la voix tremblante, elle glisse : « J’ai peur ».

     

    […]

     

    Quelques heures plus tard, au commissariat, Martine identifiera formellement le suspect, âgé de 18 ans, sur les planches photographiques. « Je ne savais pas que c’était le fils de ma voisine. On est arrivés en mars 2020 ici, je ne l’avais jamais vu avant », indique la victime, dont l’œil gauche porte encore la trace de cette violente agression. 

    « Je n’ai toujours pas récupéré mes clés de maison »

    Son agresseur a été jugé ce lundi 22 novembre devant le tribunal correctionnel en comparution immédiate, il a été condamné à dix-huit mois de prison dont six avec un sursis probatoire et interdiction d’entrer en contact avec la victime. Contrairement à ce qu’avait requis le procureur, un mandat de dépôt, l’homme a été laissé libre, sa peine ferme, moins d’un an, pouvant être aménagée. Martine et son mari, eux craignent de vivre encore longtemps dans la peur : « Je n’ai toujours pas récupéré mes clés de maison. »

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur La Voix Du Nord

  • Gérald Darmanin demande aux préfets de régulariser toutes les femmes en situation irrégulière victimes de violences conjugales

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2021

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a demandé aux préfets de régulariser les femmes qui se trouveraient en France en situation irrégulière et dont il est avéré qu’elles sont victimes de violences conjugales, révèle France Inter mardi 23 novembre. Un titre de séjour de plusieurs années, renouvelable, sera délivré à ces femmes. Les préfets recevront cette consigne d’ici jeudi.

    Selon Gérald Darmanin, “ces femmes hésitent peut-être trop souvent à aller dans un commissariat ou une brigade de gendarmerie et à saisir le procureur de la République”. Or, “si la justice vient à démontrer que la personne contre qui la plainte est déposée est, en effet, responsable d’un viol ou de violences conjugales”, les femmes victimes seront régularisées promet le ministre de l’Intérieur sur France Inter, “au nom de la protection que nous leur devons”.

    (…)

    “Tant que la plainte n’est pas totalement étudiée, ces femmes ne peuvent pas être expulsées du territoire de la République”, a insisté le ministre de l’Intérieur.

    Le ministre a rappelé également que les femmes venues en France après que leur mari a obtenu un titre de séjour bénéficient déjà d’une protection spécifique, “le temps que l’enquête puisse arriver à son terme et surtout le temps que l’on puisse s’occuper de votre mari”. Ce titre de séjour est aujourd’hui octroyé à 220 à 250 personnes par an. “Nous pourrions faire bien plus et bien mieux”, a estimé Gérald Darmanin, qui s’est engagé à discuter avec les associations et les avocats. Le ministère de l’Intérieur estime qu’il y a, en France, 600 000 à 700 000 étrangers en situation régulière.

    Franceinfo via fdesouche