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  • Aix-en-Provence : une jeune femme de 18 ans violée en pleine rue (MàJ : la plupart des médias omettent de préciser que les suspects sont des migrants clandestins)

    Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2021

    15/12/21

    Sur 7 articles consacrés à l’affaire, 3 seulement précisent que les suspects sont des migrants clandestins. .

     

    13/12/21

    INFO ACTU17. Un homme de 25 ans ainsi qu’un adolescent de 15 ans ont été mis en examen et placés en détention provisoire ce samedi pour le viol en pleine rue d’une jeune femme de 18 ans, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Déjà connus des services de police, les deux suspects sont en situation irrégulière sur le territoire français.

    La victime rentrait chez elle dans la nuit de mardi à mercredi dernier, lorsqu’elle a croisé la route de deux individus qui ont abusé d’elle sexuellement. Cette jeune femme âgée de 18 ans se trouvait sur l’avenue Maurice-Blondel, près de la gare d’Aix-en-Provence vers 03h30 dans la nuit de mardi à mercredi, lorsqu’elle a été agressée. Ceinturée par derrière, elle a été amenée de force dans un recoin. La jeune majeure a ensuite été violée.

    Quatre passants ont entendu les cris de la victime et sont intervenus, mettant en fuite les deux auteurs. La jeune femme a été transportée à l’hôpital. Elle a déposé plainte. Une enquête a été ouverte et les policiers n’ont pas mis longtemps à identifier deux suspects. « L’exploitation des vidéosurveillances a été déterminante », confie une source proche de l’enquête.

    Les enquêteurs ont interpellé un Algérien de 25 ans ainsi qu’un Tunisien de 15 ans, tous les deux en situation irrégulière.

    (…) Actu 17 via fdesouche

  • Un pionnier de l’ARNm prédit un «scandale international majeur» pour Pfizer si les effets secondaires continuent d’être cachés à la population

    Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2021

    À la lumière d’un article demandant si le gouvernement néo-zélandais avait été dûment informé par Pfizer des risques d’effets secondaires de son vaccin contre le coronavirus, le Dr Robert Malone prédit un « grand scandale international ». L’inventeur original de la technologie du vaccin à ARNm a souligné dans des commentaires à LifeSiteNews que ce scandale se produirait s’il devenait clair que Pfizer a caché des effets secondaires connus aux gouvernements tout en bénéficiant d’une protection contre la responsabilité en cas d’effets secondaires causés par le vaccin.

    Le Dr Malone a fait ces commentaires à la suite d’un article du diététicien Guy Hatchard publié sur un site Web d’actualités et d’opinions récemment fondé en Nouvelle-Zélande. Hatchard a rapporté qu’un tribunal américain avait ordonné de publier un document confidentiel qui montrait qu’en février de cette année, les dirigeants de Pfizer étaient déjà au courant d’un très grand nombre d’effets secondaires possibles du vaccin, dont beaucoup étaient gravement dangereux. Plus de 1 200 décès avaient alors déjà été signalés en plus de 158 893 cas d’effets indésirables graves après vaccination dans plusieurs pays du monde.

    « (…) parmi les effets indésirables signalés, il y avait quelque 25 957 cas de troubles du système nerveux, 17 283 troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif, 14 096 troubles gastro-intestinaux, 8 848 troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux, 8 476 troubles de la peau et du tissu sous-cutané et 4 610 infections».

    Comme Hatchard l’a souligné pour la Nouvelle-Zélande, bon nombre des effets secondaires répertoriés dans ce premier rapport confidentiel de Pfizer, mais maintenant publié, ne figurent pas sur la liste officielle des effets secondaires possibles du vaccin. Il a expliqué que cette liste défectueuse aidait même à dissuader la détection de nombreux effets secondaires, puisque les patients présentant des effets secondaires étaient refoulés par le personnel médical car leurs effets secondaires ne figuraient pas sur la liste officielle des effets secondaires du vaccin.

    Dès lors, ce document révélé soulève aujourd’hui de nombreuses questions. Hatchard a souligné que « les effets secondaires signalés sont antérieurs au déploiement du vaccin en Nouvelle-Zélande. Le rapport lui-même a été finalisé par Pfizer le 30 avril 2021. Il faut alors se demander si Pfizer a fourni « cette information à notre gouvernement pendant les premiers jours de notre programme de vaccination universelle ?».

    «  Si tel est le cas, les résultats auraient dû être partagés avec nos professionnels de la santé, nos politiciens et le public. Bon nombre des plus de 100 nouveaux types d’effets indésirables répertoriés et publiés par Pfizer dans ce document de 38 pages présentent des risques à long terme pour la santé. Jusqu’à très récemment, le document était retenu par Pfizer qui soutenait qu’il devait rester confidentiel. Il existe une forte possibilité qu’un très grand nombre de Néo-Zélandais subissent des conséquences graves à long terme.».

    Dans ses commentaires, le Dr Malone a révélé qu’il était lui aussi préoccupé par les données nouvellement publiées.

    « Ce qui est particulièrement alarmant à propos de cette divulgation [par Pfizer], c’est que cette information provient du premier de nombreux lots de documents dont un tribunal américain a ordonné la publication mensuelle », a écrit le Dr Malone.

    « Nous n’avons aucune idée de ce que la FDA et Pfizer ont caché d’autre au public, mais nous savons qu’ils se sont donné beaucoup de mal pour cacher ces informations au public américain. »

    Commentant plus spécifiquement l’article de Hatchard, le Dr Malone a poursuivi en déclarant : « Cet article de Guy Hatchard … soulève la possibilité que ces données de sécurité n’étaient pas seulement cachées au public américain, mais qu’elles pourraient également avoir été cachées aux autorités officielles. autorités de réglementation d’autres gouvernements, y compris la Nouvelle-Zélande.»

    « Si tel est effectivement le cas, alors nous semblons avoir un scandale international majeur dans lequel Pfizer a insisté sur un bouclier d’indemnisation avant de vendre le vaccin à divers gouvernements, mais peut avoir omis de divulguer la gamme complète des risques de santé publique connus »

    Robert Kennedy, Jr., un fervent critique des vaccins anti-Covid actuels et de la propagande pour la vaccination universelle, avait récemment discuté de ce problème même de dissimulation des effets secondaires des vaccins dans une interview auprès de l’organisation italienne IppocrateOrg .

    « Rappelez-vous », a-t-il ensuite déclaré, « ce sont des vaccins qui n’ont aucune responsabilité ». Peu importe à quel point les entreprises sont « imprudentes », peu importe la gravité des dommages causés par le vaccin, « vous ne pouvez pas les poursuivre en justice ».

    « La seule façon de poursuivre ces entreprises est de montrer qu’elles savaient que leur produit a causé ce préjudice particulier que vous avez subi et qu’elles n’en ont pas parlé aux gens », a-t-il poursuivi.

    Cette règle encourage ces laboratoires pharmaceutiques à « en savoir le moins possible » sur les effets secondaires de leurs produits, pour leur propre protection. Kennedy voit qu’il y a des produits « qui sont très mal testés et qui sont rendus obligatoires ». « On nous ordonne de prendre un produit » afin « d’exercer nos propres droits » tels que les voyages et l’éducation.

    « C’est vraiment l’essence de la tyrannie », a conclu le neveu du président John F. Kennedy, rappelant que « les gouvernements conspirent avec les entreprises » pour dissimuler les effets secondaires de ces vaccins obligatoires.

    Il faut espérer que ces documents nouvellement publiés – tels que présentés par Hatchard et commentés par le Dr Malone – soulèveront et encourageront ce débat pour savoir si nous sommes confrontés ici à un « scandale international majeur » et si nous pouvons tenir nos gouvernements et ces sociétés pharmaceutiques responsables.

     

    Source : medias-presse.info

  • La vente d’Alstom : ce secret entre Valérie Pécresse et Emmanuel Macron est une véritable bombe à retardement

    Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2021

    La vente d’Alstom : ce secret entre Valérie Pécresse et Emmanuel Macron est une véritable bombe à retardement

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    Il est plus que surprenant que les médias n’enquêtent pas de manière plus approfondie sur la vente d’Alstom en 2015 et les rôles respectifs d’Emmanuel Macron et de Valérie Pécresse. Voici ci-dessous un extrait de la chronique de Patrick Edery :

    Mais surtout et avant tout, il faut lire les enquêtes de l’Incorrect et de Marianne sur les liens du couple Pécresse et Alstom. Selon le magazine l’Incorrect les nominations simultanées de « Valérie, ministre du Budget, et, son mari, Jérôme, président d’Alstom Renouvelables ont permis un déblocage soudain et surprenant de l’éolien en mer [en France]. Qui a coûté cher à l’État et s’est terminée en fiasco, mais a été rentable pour l’avancement de monsieur Pécresse au sein d’Alstom. »

    Puis il y a eu le scandale de la vente du fleuron industriel et stratégique français qu’est Alstom. La vente des activités énergie à l’américain Général Electric a été une perte de souveraineté sans égale pour la France, qui a remis entre les mains des Américains nos technologies et activités les plus sensibles pour faire tourner, non seulement nos centrales nucléaires, mais aussi nos sous-marins nucléaires. Le mari de Pécresse, Jérôme Pécresse, est au cœur de ce scandale, il était le bras droit du PDG d’Alstom, Patrick Kron, lors de l’intégration d’Alstom à General Electric. D’ailleurs Jérôme Pécresse est le seul dirigeant clef que les américains n’ont pas viré suite à l’opération de rachat, il a même été promu PDG de GE Renewable Energy. Hors rémunérations, le mari de Valérie aurait touché, minimum, 2 millions d’euros.

    Cette Affaire Alstom-General Electric, ne touche pas que Mme Pécresse mais aussi M. Macron et toute l’élite financière parisienne qui se serait mise dans les poches 1/2 milliards € en  frais de conseil divers.  le député LR, Olivier Marleix, avait saisi la justice en janvier 2019 pour qu’elle enquête sur les circonstances de cette affaire. Le député émettait  notamment l’hypothèse d’un possible « pacte de corruption » au bénéfice de celui qui a favorisé la vente, le ministre de l’économie d’alors : Emmanuel MacronCe dernier aurait bénéficié indirectement du demi milliards d’euros pour sa campagne de 2017, via son parti En Marche. Aujourd’hui Olivier Marleix soutient Valérie Pécresse.

    La nomination de Valérie Pécresse est ainsi une très bonne nouvelle pour les bénéficiaires de la vente d’Alstom, ils sont assurés que Les Républicains ne remettront pas sur le tapis ce scandale. D’ailleurs ce n’est pas la 1ère fois que Macron et Pécresse collaboraient sur cette affaire. Ainsi, selon Marianne, quand le mari de Pécresse a décidé de licencier 800 personnes en Ile de France, avec Emmanuel Macron ils se seraient gardés tous deux de faire publiquement des annonces avant les élections régionales qui auraient pu compromettre l’élection de Valérie à la tête de la même région.

    Pour la nomenklatura le couple Pécresse-Macron est l’assurance de garder les pleins pouvoirs. En effet en 2022, les législatives vont être décorrélées des présidentielles car elles vont avoir lieu 2 mois plus tard. Aussi avec le morcellement actuel des Français il sera difficile pour le Président nouvellement élu d’avoir une majorité au parlement. Par contre, LREM et LR, à deux, et quelles que soient les configurations, sont quasi assurés d’avoir la majorité au Parlement. Aussi les chances sont grandes que Macron, Pécresse et Edouard Philippe se partagent les postes de Président, 1er ministre et Président de l’Assemblée nationale. Tout cela se faisant, bien sûr, au nom d’une Union nationale contre les lépreux, les complotistes, les extrêmes, au nom de notre République bananière et ses valeurs progressistes, défendues par le barnum habituel des prostitués, qui nous donnent des leçons de vertus à longueur d’année. Si cela devait arriver, vous devez vous préparer à une grande braderie de la France.

     

    Source : lesalonbeige

  • Auch (32) : une femme âgée de 42 ans violée en pleine rue, un jeune majeur mis en examen et écroué

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2021

    Une femme âgée de 42 ans a été victime d’un viol en pleine rue à Auch (Gers) dans la nuit de vendredi à samedi. Un jeune majeur a été mis en examen et écroué dans cette affaire.

    L’auteur présumé des faits a été rapidement interpellé par la police. Ce jeune homme était en état d’ivresse au moment des faits raconte La Dépêche. Il est accusé d’avoir agressé une femme de 42 ans dans la rue, avenue de la Marne à Auch, dans la nuit de vendredi à samedi. La victime s’est mise à courir pour s’enfuir mais a été rattrapée par cet homme qui l’a violée.

    Les hurlements de la quadragénaire ont alerté le voisinage qui a contacté la police. Un suspect a été interpellé au cours du week-end avant d’être placé en garde à vue.

    (…) Actu 17 via fdesouche

  • 64 millions d’euros de subventions européennes accordées à des associations liées aux Frères musulmans

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2021

    C’est un véritable hold-up opéré par les associations islamistes affiliées aux Frères musulmans, qui ont mis la main sur un gigantesque magot estimé à plus de 64 millions d’euros de subventions publiques octroyées par la Commission Européenne et le Conseil de l’Europe, depuis 2007.

    Le chiffre est loin d’être exhaustif. Il s’agit d’un décompte établi par Global Watch Analysis, en recoupant les différents chiffres évoqués par des médias ou des députés européens avec les données de l’European Commission Financial Transparency System (ECFTS). Une estimation à minima qui ne recouvre, en réalité, que la partie émergée de l’iceberg. Car, l’exercice est extrêmement périlleux : la transparence n’est pas de mise au sein des instances européennes et encore moins chez les associations bénéficiaires.

    En tête des organisations islamistes qui reçoivent des subventions européennes, trois types d’associations : les ONG humanitaires islamistes, telles que Islamic Relief (IR) ou Islamic Human Rights Commission (IHRC) ; les fédérations d’associations de jeunes ou de femmes, comme le Forum of European Muslim Young & Student Organisations (FEMYSO) ou l’European Forum of Muslim Women (EFOMW) ; les organismes communautaires qui mènent un ‘‘djihad juridique’’ contre les adversaires de l’islamisme – selon l’expression de Fadila Maaroufi, la fondatrice de l’Observatoire des Fondamentalismes à Bruxelles -, à l’instar du Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF) et son avatar belge (CCIB).

    Toutes ces associations ont pour point commun une filiation avérée, même si elles refusent de l’admettre publiquement (Voir l’interview de l’ex-dirigeant du FEMYSO, Michaël Privot), à la Federation of Islamic Organisations in Europe (FIOE), la structure suprême qui chapeaute les tentacules des Frères musulmans à l’échelle pan-européenne.

    […]

     

    GWA via fdesouche