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voile islamique

  • Le gouvernement a indiqué qu’il n’interdira pas le port du voile islamique lors des sorties scolaires, comme l’avait suggéré le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2025

    Ce mercredi 8 janvier 2025, le gouvernement a indiqué qu’il n’interdira pas le port du voile lors des sorties scolaires, comme l’avait suggéré le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.

    En début de semaine, Bruno Retailleau avait indiqué vouloir interdire le voile lors des sorties scolaires mais aussi dans les universités. “Je souhaite que l’une des grandes priorités de ces prochains mois soit la lutte contre l’islamisme des Frères musulmans”, qu’il accuse de faire de “l’entrisme”.Il estime que pour lutter contre cet “entrisme”, il faudra “étendre le champ de la laïcité à d’autres espaces publics, par exemple aux compétitions sportives ou aux sorties scolaires”.

    Mais ce mercredi, Sophie Primas, porte-parole du gouvernement, a indiqué que le gouvernement de François Bayrou ne suivra pas les propositions formulées par le ministre de l’Intérieur. “Il s’agissait de sa position personnelle et que ce sujet, n’ayant probablement pas une majorité au Parlement, n’était pas un sujet qui serait abordé par le gouvernement dans l’état actuel de la majorité parlementaire”, a-t-elle déclaré lors du compte rendu du Conseil des ministres à l’Élysée.

    […]

     

    Midi-Libre via fdesouche

  • La Cour administrative suprême de Suède considère qu’il n’existe aucune base légale permettant à une municipalité d’interdire le voile islamique dans les écoles maternelles

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    La Cour administrative suprême considère qu’il n’existe aucune base légale permettant à une municipalité d’interdire le port du foulard et de vêtements similaires dans les écoles maternelles municipales et les écoles polyvalentes.

    Dans deux affaires, la Cour administrative suprême a examiné si les décisions municipales de ne pas accepter le foulard et les vêtements similaires dans les écoles maternelles et les écoles polyvalentes municipales étaient contraires à la loi ou à d’autres constitutions.

    Plusieurs membres municipaux de chaque municipalité ont allégué, entre autres, que les décisions municipales violaient la liberté de religion. Dans son arrêt, la Cour administrative suprême déclare que la liberté de religion, telle qu’elle s’exprime sous la forme d’un gouvernement, ne protège que le droit de pratiquer sa religion. Les expressions d’appartenance religieuse, telles que le port du foulard et de vêtements similaires, sont plutôt couvertes par la protection de la liberté d’expression. Une condition préalable fondamentale pour restreindre la liberté d’expression est que cela soit fait par la loi.

    La restriction du droit de porter un foulard a des effets sur les individus et constitue donc une restriction à la liberté d’expression. Pour que la restriction soit autorisée, elle doit être soutenue par la loi. Un tel soutien juridique fait défaut dans le droit national et les décisions des municipalités doivent donc être annulées, déclare le juge Ulrik von Essen.

    Administration judiciaire nationale suédoise

  • Gay Pride : La « marche des fiertés 2022 » à Grenoble mise sur le voile islamique

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

  • Pour la Journée internationale des droits de l’Homme, l’ONU affiche une enfant avec le voile islamique

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

    La Journée des droits de l’homme est célébrée chaque année le 10 décembre, jour anniversaire de l’adoption en 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration universelle des droits de l’homme, un document fondateur qui a proclamé les droits inaliénables de chaque individu en tant qu’être humain, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. Cette déclaration est la première reconnaissance universelle du fait que les libertés et les droits fondamentaux sont inhérents à tout être humain, qu’ils sont inaliénables et s’appliquent également à tous, que nous sommes tous nés libres et égaux en dignité et en droits.

    ONU via fdesouche

  • Muret (31) : une enseignante insultée et menacée après un débat sur le voile islamique, des élèves ont fait l’apologie de la charia (MAJ)

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2020

     


    Une mineure de 16 ans a été mise en examen pour avoir insulté une enseignante d’éducation civique, après un débat sur le port du voile, près de Toulouse.

    (…)

    RTL


    INFO LA DEPECHE DU MIDI /  Sept mineurs ont été placés en garde à vue ce lundi à la suite de menaces lancées à l’encontre d’une enseignante qui avait abordé la thématique du port du voile en France, lors d’un cours d’éducation civique sur l’égalité homme- femme, au lycée Pierre-Aragon de Muret.

    L’affaire a été prise très au sérieux par les gendarmes, seulement une semaine avant l’attentat terroriste qui a coûté la vie à Samuel Paty, professeur d’histoire à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).  Une mineure du lycée Pierre-Aragon, à Muret, a été mise en examen ce mardi par un juge des enfants, après que le parquet mineur de Toulouse ait décidé de la poursuivre. Cette lycéenne a insulté une professeure d’éducation civique. 

    (…) “Elle a évoqué le principe de laïcité et la limitation du port du voile dans l’espace public. La polémique n’est pas partie de là mais lorsqu’elle a indiqué que l’on avait plus de droits en France qu’en Arabie Saoudite. Deux élèves ont contesté cela et ont assuré que la charia c’était mieux que la loi française …”, confie une autre source proche du dossier.

    (…) Sept personnes, toutes mineures, ont été convoquées pour être placées en garde à vue lundi.

    « Ces faits ne sont malheureusement pas rares », regrette Cyril Lepoint, le secrétaire départemental de l’Unsa Education. Il a constaté un changement de mentalité chez les élèves dès 2015, lorsque la minute de silence en mémoire aux victimes de Charlie Hebdo n’a pas été respectée par tout le monde. « Nous rencontrons des problèmes avec les repas servis à la cantine. Autre exemple,  les enseignants qui abordent la thématique du droit des femmes sont souvent menacés », témoigne le syndicaliste.

    La Dépêche via fdesouche