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  • Corruption pharmaceutique et Covid : Pfizer a payé des experts pour dénigrer Astrazeneca

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2021

    Via la lutte contre le covid, la guerre des vaccins pour engranger l’argent s’est intensifiée.  La corruption est à tous les étages, et sans surprise Pfizer est en tête.

    Le laboratoire américain détient déjà la palme de l’amende la plus salée jamais infligée par la justice américaine à un groupe pharmaceutique : Pfizer a dû verser en 2019 2,3 milliards de dollars pour mettre fin aux différentes plaintes portant sur ses pratiques commerciales et publicitaires. Pourtant, cela ne l’empêche pas de continuer ses pratiques douteuses si l’on en croit les médias britanniques.

    Plusieurs documents exclusifs publiés par le Financial Times et Channel 4 mettent en accusation le géant pharmaceutique américain qui aurait spéculé sur la pandémie comme « un vautour » et aurait payé des experts pour discréditer Astrazeneca.

    « Pfizer a discrédité Astrazeneca ». « Pfizer a payé les experts pour discréditer AstraZeneca. » Ces gros titres font la Une de divers médias britanniques.

    « Une enquête de la chaîne britannique Channel 4, rapporte par Il Fatto Quotidiano anticipée par certains journaux londoniens, a révélé que le coût de production du vaccin Pfizer-BioNTech est très bas : 76 cents livre (89 centimes d’euros), alors que le prix de vente appliqué au gouvernement britannique est de 22 livres (25,7 euros). La société a répondu en expliquant que l’estimation n’a pas de sens, car elle ne prend pas en compte, par exemple, les dépenses de recherche et de distribution. Cependant, les coûts globaux de production du vaccin restent secrets, ainsi que les prix de vente aux États. »

    Mais les révélations ne s’arrêtent pas là. Toujours selon Channel 4 et le Daily Mail repris par le quotidien italien « la société américaine a été accusée d’avoir payé des experts pour discréditer le vaccin britannique. Certains conférenciers lors d’un séminaire tenu au Canada l’an dernier – il s’agit de l’accusation – ont fait valoir que le produit d’Astrazeneca, en plus de ne pas être efficace sur les personnes immunodéprimées, peut provoquer le cancer ».

    L’enquête de Channel 4 a également souligné que le contrat de Pfizer avec le Royaume-Uni stipule que le laboratoire pharmaceutique ne peut pas être poursuivi en justice s’il y a un différend juridique entre le gouvernement britannique et Pfizer. Au lieu de cela, Pfizer et le Royaume-Uni ont convenu d’un panel d’arbitrage secret. Le Royaume-Uni ne peut donc pas dire qu’il est en conflit avec Pfizer, sur quoi porte le différend ou quel est le résultat de l’arbitrage secret. 

    « Cette enquête intervient, explique le Daily Mail, alors que les actionnaires de Pfizer ont engrangé 3,9 milliards de livres sterling de bénéfices dans la frénésie vaccinale induite par la montée de la variante Omicron Covid. Les actions des géants pharmaceutiques ont augmenté de 7,4 au cours des sept jours précédant le 30 novembre – après que l’Afrique du Sud a alerté le monde sur la souche mutante le 24 novembre. Dans la semaine qui a suivi la découverte d’Omicron, la société de gestion d’investissement Vanguard Group Inc a tiré le plus d’argent des actions de Pfizer, voyant leur valeur totale augmenter à 1,3 milliard de livres sterling. Le directeur général de Pfizer, Albert Bourla, a lui-même vu ses actions augmenter de près de 257 000 £ au cours de la semaine. »  

    Pendant ce temps, la polémique se poursuit également sur la lenteur de la distribution des vaccins en Afrique. Strive Masiyiwa, un milliardaire zimbabwéen qui coordonne l’équipe de vaccination de l’Union africaine, a expliqué au Financial Times comment la société l’avait traité. Il Fatto écrit :

    « Fin 2020, a-t-il dit, elle avait accepté de livrer 2 millions de doses pour commencer à vacciner le personnel de santé africain (5 millions de personnes), mais le contrat n’est pas arrivé. « Ils n’arrêtaient pas de me dire : la semaine prochaine. Nous sommes donc arrivés en avril. »

    Mais après avoir pris connaissance du contrat signé avec l’Europe, le coordinateur s’est fait entendre, demandant d’urgence les raisons du retard continuel. Au final, écrit Il Fatto « l’Union africaine a dû se contenter des doses qui lui ont été données par l’administration Biden ».

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Angers : un professeur persécuté pour avoir suggéré à un élève musulman de changer de religion

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2021

    Ce qu’il reste de la France (catholique) est attaqué par des islamistes soutenus par la République maçonnique.
    Ce fait survenu en Anjou l’illustre parfaitement :

    « Un enseignant d’un lycée professionnel d’Angers a été mis en examen vendredi pour «incitation à la discrimination raciale ou religieuse», «harcèlement moral» et «dénonciation mensongère», [rien que çà ! – NDCI] appris l’AFP dimanche auprès du parquet. Cette mise en examen fait suite à la plainte d’un élève déposée début décembre, a indiqué à l’AFP le procureur de la République, Eric Bouillard, confirmant une information du Monde .

    Lors d’un cours dans cet établissement catholique sous contrat, l’enseignant aurait «invité» l’un de ses élèves musulmans à «changer de religion». L’enseignant, joint par Le Monde, plaide un trait d’humour mal compris. Placé sous contrôle judiciaire, il a «interdiction d’exercer la profession d’enseignant», a précisé M. Bouillard. Il comparaîtra le 4 mai devant le tribunal correctionnel. » (Source)

    Ce que subit ce professeur est d’une violence inouïe.

    Et, oui, vous avez bien lu : cela s’est passé dans un lycée privé catholique !
    Evidemment, ce dernier ne devrait pas accepter des non-catholiques. Mais on relèvera l’impudence formidable de cette famille étrangère et la rage antichrétienne de ces magistrats.

  • A Marseille, des habitants accueillent des migrants chez eux : « L’envie d’accueillir permet de se poser psychiquement et physiquement », selon Fanny

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

    Des mineurs isolés vivent dans les rues de Marseille. L’association RAMINA crée un lien avec un collectif de bénévoles. Ils les hébergent chez eux en attendant leurs prise en charge par l’Etat.

    Pour seul bagage, ils portent un sac à dos. Des jeunes arrivent régulièrement à Marseille après des mois d’errance. La plupart vivait en Guinée, en Côte d’Ivoire ou au Mali… Chaque semaine, une quinzaine d’entre eux se retrouve au centre-ville de Marseille où l’association RAMINA les rencontre. RAMINA comme Réseau d’Accueil des Minots Non Accompagnés, une structure créée en 2019.

    L’association aide les mineurs non accompagnés. Ousmane a 16 ans, il en fait partie. Arrivé du Sénégal en octobre, il recherche une vie meilleure. En attendant que le Conseil départemental le mette à l’abri, comme doit l’être tout mineur isolé, il est hébergé chez Fanny. 

    “Quand je suis arrivé ici, j’avais un problème de place pour dormir donc ça m’a aidé, c’est ici que je vis depuis 3 semaines. Elle m’a payé des habits, c’est super, elle est gentille”, raconte l’adolescent.

    Fanny Boulant fait donc partie des hébergeurs solidaires de Ramina. “L’envie d’accueillir permet de se poser psychiquement et physiquement, ça peut rassurer toute personne qui a envie de s’engager. La nuit surtout, ils sont en errance, en insécurité dans la rue.” 

    (…) France 3 via fdesouche

  • Danemark : une ex-ministre de l’immigration condamnée à 2 mois de prison ferme pour avoir « illégalement » séparer des couples de demandeurs d’asile, dont les épouses étaient mineures (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

    13/12/2021

    Une ancienne ministre de l’Immigration danoise a été reconnue coupable d’avoir séparé illégalement de jeunes couples de demandeurs d’asile lors d’un procès de destitution historique.

    Les juges ont estimé que la décision prise par Inger Stoejberg en 2016 de séparer les couples était illégale et l’ont emprisonnée pendant 60 jours.

    Mme Stoejberg a déclaré qu’elle était très surprise par le verdict, car cette politique visait à lutter contre le mariage des enfants. « Ce n’est pas seulement moi qui ai perdu, mais les valeurs danoises ont aussi perdu », a-t-elle déclaré aux journalistes à l’extérieur du tribunal, ajoutant qu’elle accepterait sa punition mais n’avait aucun regret.

    […]

     

    Le verdict ne peut pas faire l’effet d’un appel et la peine d’emprisonnement est inconditionnelle, ce qui signifie qu’elle doit être purgée.

    Un verdict litigieux

    Le verdict de lundi a divisé l’opinion et provoqué une onde de choc dans l’establishment politique danois. Le chef parlementaire du Parti populaire danois nationaliste, Peter Skaarup, a déclaré qu’il trouvait le verdict incompréhensible et a soutenu la politique de séparation de Mme Stoejberg.

    Mais Rosa Lund, députée du parti de gauche Liste d’unité, a salué le jugement et a déclaré qu’il devait y avoir des conséquences pour les ministres qui ne respectaient pas la loi.

    […]

     

    BBC


    29/11/2021

    Inger Stojberg comparaît pour avoir fait séparer des couples de demandeurs d’asile au motif que les épouses étaient mineures.

    Fait rarissime dans les annales judiciaires danoises: une ancienne ministre de l’Immigration est jugée pour avoir fait illégalement séparer, en 2016, des couples de demandeurs d’asile dont les épouses étaient mineures. Devant les 26 juges de la Cour spéciale du royaume, Inger Stojberg est demeurée inflexible tout au long des 32 jours d’audience. «Je ne vais pas présenter des excuses. Je ne pense pas avoir fait quelque chose de mal. J’espère que chaque personne responsable aurait agi exactement de la même manière que moi», a-t-elle martelé, avant d’assurer: «Mon but était de protéger les filles» mineures contraintes à des mariages forcés. Les débats se sont achevés la semaine dernière et le jugement a été mis en délibéré.

    Le Figaro

  • La France, « terre d’asile médical », quoi qu’il en coûte…

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

    DÉCRYPTAGE – Issus de 127 pays, près de 26.000 étrangers malades ont voulu, l’an dernier, selon l’Ofii, bénéficier du système de santé tricolore, le plus généreux au monde.

    L’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) dit tout ou presque sur les étrangers qui réclament un titre de séjour en France pour raisons médicales. Le Figaro a pu accéder à son dernier rapport sur la «Procédure d’admission au séjour pour soins». Un document remis tous les ans au Parlement, comme la loi l’exige, mais qui, curieusement, ne fait jamais l’objet d’un débat en commission des affaires sociales. Truffé de chiffres, d’analyses et de recommandations, il éclaire pourtant utilement les conditions et l’étendue de la prise en charge sur le territoire national des étrangers malades.

    Les premiers à frapper au guichet français en 2020 étaient Algériens (2712 demandeurs, soit 10,4% des dossiers), Ivoiriens (1764 demandeurs), Congolais (1603), Camerounais (1476), Guinéens (1442), Géorgiens (1174), Maliens (1131), Comoriens (1084), mais aussi Haïtiens, Marocains, Tunisiens ou Russes. Pas moins de 127 nationalités. Où l’on trouve même quelques ressortissants japonais, saoudiens…

    (…) Le Figaro via fdesouche