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  • Plutôt que d'essayer d'entraîner l'Occident dans une guerre nucléaire, Zelensky doit demander l'armistice

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2022

    Si les réclamations de Zelensky étaient satisfaites par ceux auprès de qui il les réclame (intervention militaire de l'Alliance atlantique, instauration d'une zone d’exclusion aérienne, etc), nous entrerions dans une guerre mondiale qui, compte tenu des belligérants en présence, serait la dernière guerre de l'humanité et notre tombeau à tous.

    Autrement dit cet homme réclame et appelle de ses vœux une configuration militaire qui nous serait fatale. Or finir sous un tapis de bombes nucléaires n'est pas exactement ce qui serait le plus profitable à nos pays.

    Maintenant, les choses sont claires : il n'y aura pas d'affrontements militaires entre l'OTAN et la Russie, point. Cela a été dit et répété. L'Ukraine doit se battre seule contre un ennemi qui, militairement, gagnera quoi qu'il en soit, malgré l'apparente résistance localisée de certaines unités ukrainiennes bien braves.

    Compte tenu de la configuration, Zelensky, qui a cherché de l'aide, qui a bataillé, qui a fait tout ce qui était en son pouvoir, doit maintenant se rendre à l'évidence et réclamer un armistice pur et simple pour limiter les souffrances des populations ukrainiennes et empêcher davantage de destructions matérielles. Il en va désormais de son devoir moral.

    Hélas, j'ai peur que cet homme apprécie le costume de héros que l'Occident lui taille à longueur de journée et que cela l'encourage à faire durer la situation. Demander l'armistice reviendrait pour lui à faire cesser le récit glorieux et valorisant dans lequel il tient, lui l'ancien acteur, le rôle principal. Il n'en a sans doute pas très envie.

    En ce qui me concerne, j'ai du mal à considérer comme un héros un type qui, se sachant vaincu, fait des réclamations dont la conséquence serait de nous faire tous tomber avec lui.

    Il faut arrêter cette zelenskolâtrie maintenant.

    Jonathan Sturel

  • La Corse, c'est la France. La France, c'est la Corse.

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2022

    La Corse, c'est la France.
    La France, c'est la Corse.
    Lorsque l'État français sera respectable, il sera respecté !

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  • Sanctions contre la Russie : Le bâtonnier de Valenciennes ordonne de “bloquer toute sortie d’argent à destination des clients dont la consonance du nom serait slave”. Il se défend de tout racisme. “J’agis pour la démocratie”

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2022

  • La France trop “timorée” vis-à-vis de l’Algérie, selon Xavier Driencourt, ex-ambassadeur de France sur place. “Nous avons trop souvent tendu l’autre joue après avoir reçu une gifle”

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2021

    Xavier Driencourt, qui a représenté les intérêts de l’Hexagone à Alger pendant plusieurs années, estime que Paris craint de se brouiller avec un acteur dans la lutte contre l’immigration clandestine et le terrorisme au Sahel.

    La France doit avoir une position beaucoup « moins timorée » vis-à-vis de l’Algérie. Cela permettrait de tourner la page, 60 ans après l’indépendance de ce pays, et de construire une relation « équilibrée », estime Xavier Driencourt, ex-ambassadeur de France sur place.

    « Les Algériens ne comprennent que le rapport de force. Il faut que nous aussi on ait un discours qui soit plus clair », dit-il dans un entretien avec l’AFP à l’occasion de la sortie de son livre « L’énigme algérienne ». Xavier Driencourt a été à deux reprises ambassadeur de France en Algérie, de 2008 à 2012 puis de juillet 2017 à juillet 2020, notamment durant le mouvement de protestation populaire du Hirak qui mit fin à 20 ans de règne du président Abdelaziz Bouteflika en 2019.

    Selon lui, la France est « paralysée » vis-à-vis d’Alger de peur de « fâcher », subir des « mesures de rétorsion », perdre l’attention d’un acteur clé pour la sécurité au Sahel et la lutte contre l’immigration clandestine. « Il faut qu’on ait une position moins timorée, beaucoup plus forte », affirme le diplomate. « Nous avons trop souvent tendu l’autre joue après avoir reçu une gifle », écrit-il également. Les responsables politiques français « n’ont pas une vision lucide et saine de la relation bilatérale parce que l’Algérie c’est autant de la diplomatie que de la politique intérieure ». Ils doivent en permanence composer entre des intérêts contradictoires, ceux des rapatriés qui se cristallisent en partie dans un vote d’extrême-droite et ceux des Français issus de l’immigration algérienne qui ont toujours un regard tourné vers Alger, la capitale algérienne.

    (…)

    Le Parisien via fdesouche

  • Vers la fin du pétrodollar ? : L’Arabie saoudite envisage d’accepter les yuans des Chinois pour son pétrole

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2022

    Selon le Wall Street Journal, qui cite des sources proches du dossier, l’Arabie saoudite discuterait actuellement avec la Chine de la possibilité pour Pékin de payer ses achats de pétrole au royaume en yuans. Une hypothèse qui, si elle se concrétisait, pourrait inciter d’autres exportateurs à faire de même et viendrait ainsi ébranler la domination du dollar américain sur le marché pétrolier mondial.

    Comme le précise le journal new-yorkais, Riyad et Pékin ont discuté de ce paiement en yuan par intermittence pendant six ans, mais les pourparlers à ce sujet se seraient intensifiés cette année. En cause : un mécontentement de l’Arabie saoudite concernant les négociations menées par les Etats-Unis sur le nucléaire iranien, ainsi que le manque de soutien, selon les Saoudiens, de Washington à l’opération militaire menée par le royaume au Yémen. Des responsables saoudiens auraient également déclaré avoir été choqués par le retrait précipité des Etats-Unis d’Afghanistan. Joe Biden avait par ailleurs déclaré lors de la campagne présidentielle américaine de 2020 que l’Arabie saoudite devrait être traitée comme un «paria» après le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi en 2018.

    Une collaboration croissante entre Riyad et Pékin

    Le Wall Street Journal rappelle que la Chine achète plus de 25% des 6,2 millions de barils de brut exportés quotidiennement par l’Arabie saoudite.

    Au cours des dernières années, la Chine a aidé l’Arabie saoudite à construire ses propres missiles balistiques, a été consultée sur un programme nucléaire et a investi dans des projets tels que Neom, un projet de ville futuriste.

    Ce rapprochement avec Pékin survient alors que les relations économiques entre les Etats-Unis et l’Arabie saoudite sont en perte de vitesse : Washington faisant désormais partie des premiers producteurs de pétrole au monde, ses importations de brut saoudien sont passées de 2 millions de barils par jour au début des années 1990 à moins de 500 000 en décembre 2021, selon l’Energy Information Administration des Etats-Unis. Les exportations de pétrole du royaume vers la Chine augmentent en revanche depuis 30 ans, et l’Arabie saoudite était l’an dernier le premier fournisseur de brut de la Chine, suivie de la Russie avec 1,6 million de barils par jour, selon les données de l’Administration générale des douanes de Chine.

    Source : RT via lesmoutonsrebelles