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  • Argenteuil (95) : trois blessés par balle lors d’une rixe entre une centaine d’individus

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2022

    Le jeudi 17 mars, la police a été appelée par des riverains du stade Auguste-Delaune à Argenteuil (Val d’Oise) aux alentours de 20h30. Effrayés par des coups de feu, les témoins rapportent avoir vu des individus armés de fusils et de barres de fer.

    Les forces de l’ordre sont arrivées, découvrant alors une centaine d’individus en train de s’affronter. N’étant pas les bienvenus, les policiers ont été victimes de jets de pierres sur leur véhicule. Ils ont donc eu recours à des tirs de cougar (grenades lacrymogènes) pour disperser les jeunes.

    C’est alors qu’ils ont découvert trois hommes âgés d’une vingtaine d’années, blessés aux jambes et au postérieur par des tirs de plomb. Avant que les secours ne les emmènent, leurs jours n’étant pas en danger, les policiers ont interrogé les blessés qui n’ont apporté aucune information supplémentaire à l’enquête, comme le rapporte Actu 17.

    Un peu plus tard rue d’Epinay, trois suspects âgés de 16 à 18 ans ont été arrêtés. Deux d’entre eux avaient des taches de sang sur leurs vêtements. Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté urbaine. La piste privilégiée serait un affrontement entre jeunes originaires des quartiers Joliot-Curie et ceux de la ZUP.

    La situation à Argenteuil est assez tendue. En novembre dernier, la ville faisait parler d’elle lorsqu’une cinquantaine d’individus avaient décidé de tirer au mortier sur les policiers et le commissariat d’Argenteuil.

    cnews via fdesouche

  • Lyon : une procédure de dissolution engagée contre la “GALE”, groupe antifasciste lyonnais

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2022

    Une procédure de dissolution a été engagée par le ministre de l’Intérieur contre la “GALE” (Groupe antifasciste Lyon et environs).

     

    C’est une information de nos confrères de Rue89Lyon. Une procédure de dissolution a été engagée par Gérald Darmanin, le ministère de l’Intérieur, contre la “GALE” (Groupe antifasciste Lyon et environs). Le groupe antifasciste lyonnais s’est vu notifier cette procédure le 17 mars.

    La GALE est dans le viseur des autorités depuis plusieurs mois et années. Aucun groupe antifasciste n’a été dissous, jusqu’à présent, en France.

    www.lyoncapitale.fr via fdesouche

  • Quand les locaux d’un club de foot nantais deviennent une planque de drogues et de munitions d’armes

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2022

    Mercredi, après l’interpellation de trois hommes dans le quartier Dervallières à Nantes, plus de 2 kilos de drogue ainsi que des munitions et une arme ont été saisis dans le… local du club du coin, où s’étaient réfugiés des dealers présumés.

    En patrouillant dans le quartier HLM de Dervallières, situé à l’ouest de Nantes, les policiers ne s’attendaient pas forcément à terminer dans un club de foot. Mais, mercredi soir aux alentours de 19 h 35, une transaction de stupéfiants entre deux personnes aurait attiré leur attention au cours d’une ronde de surveillance. Un dealer présumé aurait alors pris la fuite en direction du local de l’ACS Dervallières, qui évolue en Départemental 3.

    (…) Certaines auraient été dissimulées dans un faux plafond, d’autres dans des trophées trônant sur le bureau d’un dirigeant. Au total, 1,5 kg d’héroïne a été saisi, en plus de deux savonnettes de résine de cannabis, de huit cocottes – ou pochons – de cocaïne et du matériel de revente. Les forces de l’ordre ont aussi trouvé un fusil et des munitions de différents calibres.

    « Il y a toujours eu des intrusions […] mais jamais en pleine journée »

    Abou Sow, président de l’ACS Dervallières

    Propriété de la Ville de Nantes, ce local est partagé entre l’ACSD et un autre club de foot local, le FC Boboto (Départemental 5). « On ne l’a presque pas utilisé cette année, notamment à cause des restrictions sanitaires, explique Abou Sow. Après, il y a toujours eu des intrusions et des dégradations, un peu de squat, mais jamais en pleine journée et à vue d’oeil comme ça. On voit très bien que des gens sont là. Il y a déjà eu des vols et des dépôts de plainte, on a essayé de faire remonter l’information et alerter. » En vain.

    (…) Selon lui, le problème est bien plus large, dans un « quartier gangrené », considéré comme une « plaque tournante » de la drogue, avec des « gamins en manque de repères et délaissés »

    L’Equipe via fdesouche

  • Nouvelle profanation d’une église en Charente-Maritime

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2022

    Nouvelle profanation d’une église en Charente-Maritime

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    L’église Saint-Martin à Courcoury a été profanée. Le vol d’une lunule contenant les Saintes Espèces a été constaté dans la journée du 14 mars. Il s’agit d’un acte sacrilège. Mgr Colomb dénonce un « nouveau coup de lance porté dans le côté du Christ ».

    La cible des vandales était le Christ Lui-même : le tabernacle a été forcé et la lunule qui contenait une grande hostie consacrée a été volée. Le ciboire, qui contenait une petite hostie, n’a pas été emporté. Le curé de la paroisse a aussitôt averti le maire qui a porté plainte auprès de la gendarmerie. Une enquête est en cours.

    « Ce nouveau coup de lance porté dans le côté du Christ blesse toute l’Eglise catholique de Charente-Maritime », déclare Mgr Georges Colomb. L’évêque de La Rochelle condamne avec la plus grande sévérité cet acte de haine pure et dénonce un très grave sacrilège commis contre le Christ et contre son Eglise. Il invite à la prière pour la communauté de Courcoury et pour les auteurs de cet acte, qu’ils soient irresponsables ou malveillants.

    La messe de réparation sera célébrée par Mgr Colomb mardi 22 mars à 18h45 en l’église de Courcoury. Tous les fidèles sont invités à se joindre à la cérémonie ou à s’unir par la prière.

     

    Source : lesalonbeige

  • Paris : Abdelaziz A. veut coucher avec une voisine, elle refuse, il la larde de coups de couteau, 6 mois plus tôt ce migrant Algérien “gentil et cordial” avait déjà tenté de tuer une autre voisine

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2022

    fdesouche

    Le soleil étincelant, en cette matinée du 20 septembre 2019, donne à cette rentrée un air d’été indien, près du canal Saint-Martin, Paris (Xe). Comme tous les jours, Anna (le prénom a été changé), consultante en communication de 42 ans, vient de déposer sa fille de 3 ans à l’école maternelle. Cette maman solo dynamique, brune aux yeux verts, se hâte jusqu’au jardin Villemin. Elle veut faire un petit saut au compost. Elle passe sous le porche d’entrée du square, rue des Récollets, et se dirige vers le bureau des employés municipaux. Soudain, elle entend une voix l’appeler. C’est son voisin, Abdelaziz A. « Il avait des yeux comme des billes, qui partaient dans tous les sens. Ça m’a glacé le sang. J’ai su qu’il allait se passer quelque chose de grave », se remémore la jeune femme.

    Abdelaziz dit à Anna qu’il l’aime. Il veut coucher avec elle. « Je lui dis que j’ai déjà quelqu’un dans ma vie. Et là, c’est parti en vrille. » Selon le récit d’Anna, cet homme de 47 ans se rue sur elle, et l’étrangle avec son bras droit. « Je n’arrivais plus à respirer, mais j’ai réussi à appeler au secours. » Anna sent alors trois impacts sur son flanc gauche. Elle pense à des coups de pied, ou de genou. En réalité, ce sont des coups de couteau. « La suite, c’est très flou », confie la quadragénaire, en ravalant sa salive.

    « Si des gens ne l’avaient pas interrompu, il m’aurait tuée »

     

    […]

     

    « Je sais qu’il visait la gorge, pour me finir… »

     

    […]

     

    Il était gentil, cordial.

     

    […]

     

    Six mois avant son agression, Anna est chez elle, lorsqu’elle entend des sirènes de police. Pendant toute la matinée, elle reste bloquée chez elle, comme tous les autres résidents de l’immeuble. Elle apprend qu’une tentative de meurtre vient d’avoir lieu dans le bâtiment. Abdelaziz en est le principal suspect. Mais il a pris la fuite. « Il y avait des traces de sang partout. Tout le périmètre était bloqué. » Elle apprendra plus tard que la victime était la voisine de palier d’Abdelaziz. Cette jeune femme, Sandra, avait contracté un mariage blanc avec le frère du suspect, mais elle voulait divorcer. Elle aussi avait failli succomber à ses blessures à l’arme blanche au thorax, à l’abdomen et au bras.

    Entendue par la police quelques jours après les faits, Anna s’était abstenue de dire du mal de son voisin. « C’est dire comme j’étais naïve, soupire-t-elle. Ça m’avait fait complètement stresser. D’autant que je suis seule. Je ne me sentais pas en sécurité. »

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien