Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2022
Texte qui picote mais assez bien vu…
De Xavier Eman :
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Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2022
Texte qui picote mais assez bien vu…
De Xavier Eman :
Publié par Guy Jovelin le 09 mai 2022
Publié par Guy Jovelin le 09 mai 2022
Depuis plusieurs mois et dans plusieurs villes de l’Hexagone, les Français se tournent davantage vers les prêts sur gage en raison de la hausse des prix et de l’envolée des taux d’intérêt. A Toulouse, , ce sont 6 000 prêts qui ont été effectués depuis le début de l’année dans ce crédit municipal, pour un montant de quatre millions d’euros
Au guichet du crédit municipal de Toulouse, une vingtaine de personnes font la queue. Parmi eux, Jessica tient une petite boite dans ses mains. Le femme vient déposer les bijoux que lui a légués sa grand-mère. “Les temps sont durs“, commente-t-elle. Face à la baisse du pouvoir d’achat et à l’envolée des taux d’intérêt, beaucoup de Français comme Jessica, à la recherche de liquidités, se tournent de nouveau vers ces prêts sur gage. Ces établissements communaux et publics proposent des prêts à des taux avantageux en échange d’un objet de valeur.
Jessica pourra par exemple récupérer ses bijoux dans six mois, une fois qu’elle aura remboursé la somme d’argent qui lui sera versée, plus quelques intérêts. Dans la queue, elle dit espérer obtenir 300 euros avec ses bijoux : “C’est mon dernier recours pour continuer à faire manger mes enfants et mettre de l’essence dans ma voiture“.
Ces profils, comme celui de Jessica, sont de plus en plus fréquents, explique le directeur du crédit municipal de Toulouse Franck Paindessous, avec une hausse de 10% depuis le début de l’année 2022 : “Il y a une période de recrudescence des prêts sur gage. Actuellement, nous avons 80 personnes par jour qui viennent pour faire ces prêts. Le prêt moyen est d’environ 600 euros.” […]
France Info via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 09 mai 2022
Un juge des enfants du tribunal de Coutances (Manche) s’est aperçu qu’une petite fille, née en 2012, avait été reconnue par six hommes. Une enquête a été menée pour comprendre les raisons de cette démarche. L’affaire a été jugée par le tribunal, qui a rendu sa décision le 4 mai 2022.
À 18 ans, la mère de cette enfant a dû quitter le foyer où elle était placée, sans famille et seule au monde. Elle a rencontré un jeune homme originaire de Côte d’Ivoire, s’y est attachée et s’est vite retrouvée enceinte.
Le jeune homme a effectué une reconnaissance de paternité anticipée. Cette démarche facilitait l’obtention d’un titre de séjour. D’autres hommes de la communauté ivoirienne ont fait la même démarche dans des mairies différentes, aidés par un autre Ivoirien résidant à Saint-Lô.
À la barre, la jeune maman a expliqué qu’elle ne savait pas que c’était illégal. Elle a accepté pour rendre service.
Les hommes ont raconté avoir quitté leur pays pour fuir la guerre civile de 2010. Maintenant, ils sont tous en situation régulière et parfaitement insérés. Celui qui a organisé ces démarches est condamné à 6 mois de prison ferme, effectuée en préventive. Les autres écopent de peines d’amendes ou de prison avec sursis.
Publié par Guy Jovelin le 09 mai 2022
Source : fdesouche