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  • Un adolescent de 15 ans privé de sortie scolaire à Brive (Corrèze) à cause de sa nationalité russe

    Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2022

    Un adolescent de 15 ans privé de sortie scolaire à Brive (Corrèze) à cause de sa nationalité russe

    Un adolescent russe de 15 ans, scolarisé au collège d’Arsonval, à Brive, s’est vu refuser la visite du CEA (Commissariat à l’énergie atomique) de Gramat (Lot), où il devait se rendre avec un petit groupe d’élèves. 

    www.lamontagne.fr via fdesouche

  • C’était un 30 juin : Franco sauvait plusieurs milliers de Pieds-Noirs que De Gaulle voulait abandonner au FLN

    Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2022

    C’est un épisode peu connu, au cours duquel Franco fit preuve d’une courageuse bienveillance envers les Français, en s’opposant fermement à De Gaulle qui préférait qu’ils fussent livrés à la barbarie du FLN. Quelques jours après, dans la même ville d’Oran, c’était le massacre (voir ici).

    Texte de José Castano :

    « Les 29 et 30 juin 1962, l’Espagne du général Franco vint au secours des Oranais malmenés par les sbires du général Katz, en affrétant 2 ferrys, le « Victoria »  et le « Virgen de Africa »

    Pour accoster le long des quais d’Oran, il fallut longuement parlementer avec les autorités françaises réticentes et même donner à la France un ultimatum, risquant un grave incident diplomatique…

    Le 30 juin, à 10 h du matin, malgré l’opposition de De Gaulle, le général Franco donna l’ordre à ses capitaines d’embarquer cette « misère humaine » qui attendait depuis des jours sous un soleil torride, sans la moindre assistance, un hypothétique embarquement vers la France.

    Franco prévint de Gaulle qu’il était prêt à l’affrontement militaire pour sauver ces pauvres gens sans défense, abandonnés sur les quais d’Oran et menacés d’être exécutés à tout moment par les barbares du FLN. Joignant le geste à la parole, il ordonna à son aviation et sa marine de guerre de faire immédiatement route vers Oran.

    Finalement, face à la détermination du général Franco et craignant un conflit armé, de Gaulle céda et le samedi 30 juin, à 13 h, deux ferrys espagnols accostèrent et embarquèrent 2 200 passagers hagards, 85 voitures et un camion.

    Lors de l’embarquement, les courageux capitaines espagnols durent, cependant, s’opposer à la montée d’une compagnie de CRS sur leur bateau (propriété de l’Espagne) dans le but de lister tous les passagers et interpeller les membres de l’OAS fichés.

    Ces capitaines expliqueront n’avoir jamais compris l’attitude arrogante et inhumaine des autorités françaises dans une situation aussi dramatique qui relevait essentiellement d’« assistance à personne en danger de mort »…

    Contre vents et marées, finalement, à 15 h 30, les quais d’Oran, noirs de monde se vidèrent et les bateaux espagnols prirent enfin la mer malgré une importante surcharge, à destination du port d’Alicante.

    Durant toute la traversée, se mêlèrent les larmes de détresse, de chagrin… et de joie de ces pauvres gens en route vers leur nouvel exil, conscients d’avoir échappé au pire… Quand, enfin, la côte espagnole fut en vue, une liesse générale s’empara de ces « réfugiés » qui s’époumonèrent à crier avec des sanglots dans la voix « Viva España ! » … « Viva Franco ! ». Ils avaient, pour bon nombre d’entre eux, échappé à une mort programmée par les autorités françaises. Jamais ils ne l’oublieront !

    En mémoire de Jean LOPEZ, coiffeur à Aïn-El-Turck (Oran) qui devait assurer mon embarquement et mon accompagnement jusqu’en Métropole (j’avais 15 ans). Jean fut enlevé précisément au port d’Oran par des ATO (auxiliaires de police du FLN). On ne le revit jamais…

    A sa veuve et à ses deux filles, avec toute mon affection. »

     

    Source : contre-info

  • « Joe ! », au G7, l’intervention remarquée de Macron qui interpelle Biden devant les caméras

    Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2022

    La séquence faussement naturelle a été remarquée et critiquée. Le lundi 27 juin, lors du deuxième jour du Sommet du G7 au château d’Elmau, en Allemagne, Emmanuel Macron a interpellé Joe Biden, alors que celui-ci était en pleine conversation. Emmanuel Macron l’a rattrapé prestement en criant « Joe ! », avant de lui signifier qu’il avait contacté le président des Émirats arabes unis pour lui « demander d’augmenter sa production » de pétrole, dans un contexte international tendu et dans le sillage d’un embargo européen sur le pétrole russe. Les caméras des différents médias ont capturé cet échange improvisé.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1541539035931463681

     

  • Novak Djokovic ne se fera pas vacciner pour l’US Open et défend les joueurs russes et biélorusses !

    Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2022

    https://twitter.com/pam33771/status/1541172258353418243

    Comme pour l’Open d’Australie en janvier, Djokovic refuse de se faire injecter le vaccin que l’Amérique veut lui imposer pour entrer sur le territoire, malgré le risque de perdre des points de classement. Et le champion d’en profiter pour déclarer qu’il n’est pas juste d’interdire aux joueurs de tennis russes et biélorusses de concourir, car ce sont des athlètes professionnels qui n’ont contribué en rien aux événements.

    Source

  • Saint-Brieuc (22) : “1000km pour rien, notre job est discrédité”. Les policiers qui avaient escorté un Marocain à Roissy CDG sont contraints de le ramener en Bretagne où il est laissé libre car “H” a refusé de monter dans l’avion

    Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2022

    Les fonctionnaires de Police briochins ont été mobilisés, lundi 20 juin au soir, pour garder H., un homme de nationalité marocaine, avec la mission de quitter son hôtel à 3 h du matin pour l’aéroport de Roissy. L’homme devait prendre un avion pour le Maroc à 12 h 30. Mais une fois sur place, il a refusé de monter dans l’avion. Les policiers en informent alors la préfecture des Côtes d’Armor et, suivant ses instructions, ramènent le ressortissant marocain à Saint-Brieuc, où il est laissé libre à sa sortie du commissariat avec, toutefois, une mesure d’assignation à résidence.

    L’affaire a fait bondir les syndicats policiers, dénonçant l’absurdité coûteuse d’un tel fonctionnement. « On met en place un lieu temporaire de rétention administrative, avec un hôtel ouvert au public par ailleurs », résume un délégué briochin d’Alliance. « 1 000 km pour rien, c’est vraiment notre job qui est discrédité alors que, selon nos informations, il y avait de la place au centre de rétention du Mesnil Amelot… Comment gaspiller inutilement de l’énergie et de l’argent ».

    L’Unsa police s’est aussi saisie du dossier. ?« On a deux policiers chargés de garder un homme, de 18 h à 3 h du matin, donc deux chambres d’hôtel à payer, trois autres policiers qui prennent le relais à 3 h pour un retour à 18 h 30, et plus de 1 000 kilomètres avec le prix actuel du gasoil… », note ainsi un délégué. « Sans compter que le billet d’avion n’est pas remboursable ».

    Côté préfecture des Côtes-d’Armor, on rappelle la règle : « Dans ce cas de figure, il est prévu qu’un nouveau vol soit réservé à l’intention de l’intéressé. Si la personne persiste à faire obstacle à l’exécution de la mesure d’éloignement, ou ne respecte pas l’assignation à résidence, le procureur de la République sera saisi. Il pourra engager des poursuites pénales, avant de mettre à nouveau exécution la mesure d’éloignement ».

    Le télégramme via fdesouche