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  • Il y a un an, Alban Gervaise était mortellement poignardé au nom d’Allah

    Publié par Guy de Laferrière le 10 mai 2023

    C’était le 10 mai, il y a un an. Ce soir-là, Alban Gervaise se rend à l’école pour aller chercher ses deux enfants de 3 et 7 ans au lycée privé Sévigné, dans le XIIIe arrondissement de Marseille. À l’arrière de la voiture se trouve sa dernière fille, âgée de seize mois. Un jour comme les autres, en somme, mais qui se soldera par un événement qui brisera la vie d’une famille entière. À peine sorti de sa voiture, le médecin militaire de 41 ans est en effet attaqué par un forcené qui le lacère de coups de couteau aux cris de « Allah akbar ». Avertis par des passants, la police et les marins-pompiers de Marseille interviennent, mais il est déjà trop tard. Alban Gervaise succombera à ses blessures dix jours plus tard.

    Un an plus tard, qui se souvient encore de ce dramatique assassinat ? Un père de famille qui meurt, « blessé à la gorge », selon la formule consacrée - égorgé, le terme est un peu trop connoté, n’est-ce pas ? -, au nom d’Allah… il n’y a pas de quoi émouvoir les foules ! Autant, pour Samuel Paty, on avait encore de la compassion à revendre. Deux ans plus tard, les esprits se seraient habitués et l’affaire a été classée au rang de simple fait divers. Et comme dans tous les faits divers de ce type, l’expertise psychiatrique du suspect, Mohammed L., âgé de 23 ans, a conclu à une « abolition totale du discernement ».

    Comme il y a un an, la discrétion médiatique est de mise. À l’exception de quelques rares médias (CNewsBFM TV), la mort du médecin militaire semble ne pas intéresser. Au fond, a-t-elle vraiment intéressé ? Problème de calendrier, tout d’abord, comme l'avait souligné, à l'époque, ici même, Marc Baudriller : ce n'était pas le moment d’agiter les peurs, un mois seulement avant les élections législatives... Deuxième souci : le profil du tueur. Trop sensible, encore une fois ! La liste des victimes des « fous d’Allah » ne cesse de s’allonger année après année, mais qu’importe. Surtout ne pas stigmatiser, surtout ne pas généraliser, surtout ne pas dénoncer. Vient enfin le profil du disparu : catholique, militaire, époux et père de famille, Alban Gervaise n’était sans doute pas la bonne victime.

    À cette lâcheté coupable de ceux qui auraient dû se saisir de l’affaire s’ajoute le déshonneur de ceux qui l’ont relayée de manière biaisée. Ainsi de l’expert-psychiatre qui s’est penché sur le cas de Mohammed L. Celui-ci a fait état d’une « bagarre qui éclate » et qualifié Alban Gervaise de « victime présumée ». Autant de termes qui ont blessé profondément l’épouse du militaire, qui a réagi début mars auprès du Figaro : « Je ne peux pas tolérer qu'on parle de bagarre. Ce n'est pas une bagarre, c'est un meurtre d'une grande violence. Et le statut de victime de mon mari n'est pas à prouver. » Outre cette douloureuse expertise psychiatrique, la femme d’Alban Gervaise dénonce une fausse rumeur selon laquelle elle aurait expressément demandé de ne pas médiatiser l’assassinat de son mari. Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, le 5 septembre dernier, la veuve avait formellement démenti : « Il est régulièrement précisé que je refuse la médiatisation de l’affaire, cela est faux. Je demande simplement que soit protégée l’image de mon époux afin de protéger nos trois enfants déjà fortement ébranlés par ce drame. Les faits doivent quant à eux être relatés avec honnêteté », expliquait-elle.

    Un serviteur de la France a été tué à coups de couteau, dans la rue, et sa patrie n’en a cure. Accoutumée à la barbarie, elle fait à peine état d’un drame pourtant symbolique, offensant au passage une veuve et trois orphelins. Qu’Alban Gervaise repose en paix, et puisse justice être faite sur son cas.

     

    Source : bvoltaire

  • Adèle Haenel arrête le cinéma, car il contribue à un “ordre mortifère écocide raciste”

    Publié par Guy de Laferrière le 10 mai 2023

    Trois ans après son coup de colère lors des César 2020, Adèle Haenel a décidé de mettre un terme à sa carrière d’actrice pour des raisons politiques.

    Mais où est passée Adèle Haenel ? Cette question, que certains aficionados de cinéma se posaient depuis des mois, a enfin une réponse. Et c’est l’actrice elle-même qui l’a apportée. Dans une tribune publiée par Télérama, elle a pris la parole et annoncé qu’elle se retirait définitivement du monde du cinéma. Pourquoi ? Pour des raisons politiques et ses convictions personnelles. Ces mêmes raisons qui l’avaient poussée, en 2020, à quitter la cérémonie des César quand le sacre de Roman Polanski avait été annoncé sur scène.

    « J’ai décidé de politiser mon arrêt du cinéma pour dénoncer la complaisance généralisée du métier vis-à-vis des agresseurs sexuels et plus généralement, la manière dont ce milieu collabore avec l’ordre mortifère écocide raciste du monde tel qu’il est », explique-t-elle ainsi.

    « Je vous annule de mon monde »

    (…) « Je vous annule de mon monde. Je pars, je me mets en grève », a-t-elle également écrit, juste après avoir renouvelé sa réaction des César : « La honte ! » Elle a également déclaré : « Face au monopole de la parole et des finances de la bourgeoisie, je n’ai pas d’autres armes que mon corps et mon intégrité. De la cancel culture au sens premier : vous avez l’argent, la force et toute la gloire, vous vous en gargarisez, mais vous ne m’aurez pas comme spectatrice. Je vous annule de mon monde. Je pars, je me mets en grève, je rejoins mes camarades pour qui la recherche du sens et de la dignité prime sur celle de l’argent et du pouvoir. »

    Le Point via fdesouche

  • Tunisie : attaque devant la synagogue de la Ghriba, à Djerba, un membre de la garde nationale tunisienne ouvre le feu et fait au moins trois morts, dont un Français

    Publié par Guy de Laferrière le 10 mai 2023

    La fusillade s’est déroulée lors d’un pèlerinage juif rassemblant plusieurs milliers de fidèles. Dix personnes sont blessées et l’assaillant a été abattu.

    Un garde national tunisien et deux fidèles participant à un pèlerinage juif ont été tués, mardi soir 9 mai, par un autre membre de la garde nationale tunisienne qui a ouvert le feu devant la synagogue de la Ghriba, sur l’île tunisienne de Djerba, a annoncé le ministère de l’intérieur. Dix autres personnes ont été blessées, selon le communiqué. Parmi les victimes, un Français de 42 ans a trouvé la mort.

    La fusillade est intervenue peu après la découverte sur le port de Djerba, île située dans l’est du pays, du corps d’un membre de la garde nationale tué et dont l’arme avait disparu. Les tirs ont été entendus depuis la synagogue de la Ghriba, faisant paniquer des centaines de fidèles participant au pèlerinage juif annuel, qui touchait à sa fin mardi soir.

    Des renforts policiers ont été déployés autour de la synagogue pour sécuriser les pèlerins. Le meurtrier a été abattu par les forces de l’ordre. « Les investigations se poursuivent pour élucider les motifs de cette agression lâche », a ajouté le ministère, se gardant à ce stade d’évoquer une attaque terroriste.

    […]

     

    Le Monde via fdesouche

  • Alcoolisé, le fils ainé d’Éric Zemmour percute un scooter et termine en garde à vue

    Publié par Guy de Laferrière le 10 mai 2023

    Un homme, qui s’avère être le fils d’Éric Zemmour, a percuté un scooter alors qu’il était alcoolisé au volant de sa voiture samedi matin à Paris. Il a été placé en garde à vue, et deux personnes sont gravement blessées.

     

    (…)

    Les faits ont eu lieu tôt dans la matinée, vers 7 heures, dans le VIe arrondissement de la capitale, au croisement de la rue Vaugirard et de la rue Cassette. Selon nos informations, il a refusé la priorité à un scooter sur lequel se trouvaient deux personnes, percutant l’engin.

    Les deux personnes à bord du véhicule à deux roues, gravement blessées, ont été transportées dans deux hôpitaux différents. Les victimes devraient bénéficier d’ITT (incapacité totale de travail) supérieures à trois mois.

    Lire l’intégralité de l’article sur bfmtv.com

  • Les séropositifs vont pouvoir intégrer l’armée mais pas les non “vaccinés” Covid

    Publié par Guy de Laferrière le 10 mai 2023

    Les séropositifs vont pouvoir intégrer l’armée mais pas les non “vaccinés” Covid

    Nous écrivions début avril que, bientôt, la seule profession en France qui maintiendrait le “vaccin” contre le Covid obligatoire serait l’armée française. Alors que les soignants “non-vaccinés” vont enfin pouvoir être réintégrés, nous apprenons que les séropositifs vont pouvoir s’engager dans l’armée française au nom de la lutte contre les discriminations.

    Nous vivons dans un monde de fous :

    Les personnes séropositives vont désormais pouvoir intégrer l’armée, a annoncé, lundi 8 mai, sur France 2 le ministre des armées, Sébastien Lecornu, qui a pris un arrêté en ce sens.

    L’arrêté, sur proposition du ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin« sera publié dans les jours qui viendront » et s’appliquera à la « gendarmerie, [aux] sapeurs-pompiers de Paris et de Marseille, et [à] l’ensemble des forces armées », a précisé M. Lecornu dans l’émission « Les Quatre vérités ». « Avoir le VIH ne sera plus un critère de discrimination par principe », a-t-il souligné (…)

    A la fin de novembre 2022, cette discrimination à l’embauche visant les personnes vivant avec le VIH, le virus responsable du sida, avait déjà été levée pour les policiers.

    Le gouvernement avait abrogé par décret l’application du Sigycop, un dispositif d’évaluation de l’aptitude physique utilisé dans plusieurs métiers de la fonction publique. Appliquée strictement, cette évaluation classait comme inaptes les personnes séropositives.

    Jusqu’à présent, le ministère des armées, dont le service de santé régit le recrutement des gendarmes et des pompiers militaires, s’était toujours refusé à modifier le Sigycop.

    Visiblement, le service de santé des armées est plus sensible aux revendications du lobby LGBT qu’au sort des milliers de jeunes qui veulent rejoindre les armées et qui ne le peuvent pas car ils ont refusé de se faire injecter une substance expérimentales (sans parler de ceux qui ont été mutés ou virés). 

    Sauf erreur de notre part, la directive du service de santé des armées de juillet 2021 (voir ici), rendant obligatoire la “vaccination ” anti-Covid pour l’engagement, la mission Sentinelle et les OPEX n’a toujours pas été abrogé et est donc toujours d’actualité…

     

    Source : lesalonbeige