Publié par Guy de Laferrière le 18 mai 2023
- Page 11
-
Les chrétiens célébrent aujourd'hui le quarantième jour à partir de Pâques. Cette fête marque la dernière rencontre de Jésus avec ses disciples après sa résurrection et son élévation au ciel.Nous aussi sommes invités à nous élever plus particulièrement en ces temps difficiles avec les crises institutionnelles et économiques actuelles.
-
Reconquête n'a rien à envier au Rassemblement National...
Publié par Guy de Laferrière le 18 mai 2023
À travers trois articles de Riposte Laïque, découvrez comment Damien Rieu a tenté, au nom de Reconquête, de saboter les rassemblements anti-migrants à Callac, Saint-Brévin ou encore Bélâbre. Une attitude minable de la part de cet alimentaire de la politique aux ordres de Sarah Knafo. Décidément, Reconquête n'a rien à envier au Rassemblement National... -
Vladimir Poutine
Publié par Guy de Laferrière le 17 mai 2023
-
Mais c'est qui? Mais c'est Sarko!
Publié par Guy de Laferrière le 17 mai 2023
-
Des universitaires canadiens plaident pour l’euthanasie des pauvres
Publié par Guy de Laferrière le 17 mai 2023
Auteur : Pierre-Alain DepauwLe Canada s’enfonce dans le soutien au suicide assisté favorisant des histoires atroces de pauvres et d’handicapés optant pour des injections létales par pur désespoir. Le magazine britannique The Spectator demandait l’année dernière : « Pourquoi le Canada euthanasie-t-il les pauvres ? ». La réponse de certains bio-éthiciens semble être : « Pourquoi pas ? »
Une tribune rédigée par deux bioéthiciens de l’Université de Toronto affirme que l’euthanasie des pauvres devrait être socialement acceptable. Kayla Wiebe, doctorante en philosophie, et la bioéthicienne Amy Mullin, professeure de philosophie, ont écrit dans le Journal of Medical Ethics que :
« Forcer des personnes qui se trouvent déjà dans des circonstances sociales injustes à devoir attendre que ces circonstances sociales s’améliorent, ou que la possibilité d’une charité publique se produise de manière incertaine lorsque des cas particulièrement pénibles deviennent publics, est inacceptable. Une approche de réduction des méfaits reconnaît que la solution recommandée est nécessairement imparfaite : un « moindre mal » entre deux ou plusieurs options moins qu’idéales. »
« Les gens peuvent déterminer par eux-mêmes si leur vie vaut la peine d’être vécue, et nous devons respecter cela. »
A méditer à l’heure où le président Macron voudrait renforcer la légalisation de l’euthanasie en France. Nous voyons ce qui se passe lorsque on change le sens des mots ; le suicide assisté et les injections létales deviennent d’abord une “aide médicale” ou des soins de santé, puis une “réduction des méfaits” de la pauvreté et “la voie la moins nocive” pour ceux qui vivent dans des conditions de misère.
Comme l’a déclaré Yuan Yu Zhu, chercheur canadien au Harris Manchester College d’Oxford qui écrit régulièrement sur l’euthanasie : « C’est plus que tragique : c’est une tache morale sur notre pays, pour laquelle les générations futures devront se racheter. »
Source : medias-presse.info