Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jésus

  • “La Révolution française en 1789 a essayé d’effacer Dieu de la terre. Mais Jésus est plus vivant que jamais”

    Publié par Guy de Laferrière le 30 septembre 2024

    “La Révolution française en 1789 a essayé d’effacer Dieu de la terre. Mais Jésus est plus vivant que jamais”

    Après avoir battu le Français Benoit Saint-Denis à l’UFC Paris dans la soirée du samedi 28 septembre, le combattant brésilien de MMA Renato “Moicano” Carneiro a insulté Emmanuel Macron devant les 16000 spectateurs :

    “Fuck Macron, j’emmerde tous les mondialistes, j’emmerde tous ces putains de mondialistes qui essaient de faire passer un agenda politique corrompu”. “J’espère que vous comprenez que la démocratie est une erreur, la démocratie n’est pas le vrai gouvernement”.

    Le combattant avait démarré ses propos, “en voulant dire du mal de la France”.

    “Mais je suis allé au Louvre, je suis allé dans tout un tas de beaux endroits à Paris et j’ai juste une chose à dire : la Révolution Française en 1789 a essayé d’effacer Dieu de la Terre. Mais Jésus est plus vivant que jamais.”

     

     

  • Bonne Fête de l'Ascension

    Publié par Guy de Laferrière le 18 mai 2023

    ascension,élévation au ciel,jésus

    Les chrétiens célébrent aujourd'hui le quarantième jour à partir de Pâques. Cette fête marque la dernière rencontre de Jésus avec ses disciples après sa résurrection et son élévation au ciel.
    Nous aussi sommes invités à nous élever plus particulièrement en ces temps difficiles avec les crises institutionnelles et économiques actuelles.
     
  • Entrer en Carême, c’est entrer avec Jésus au désert, pour y demeurer quarante jours dans le jeûne et la prière

    Publié par Guy de Laferrière le 21 février 2023

    Entrer en Carême, c’est entrer avec Jésus au désert, pour y demeurer quarante jours dans le jeûne et la prière

    De l’abbé Charles Berger de Gallardo sur Claves :

    […] Le Carême, c’est presque banal de le remarquer, est conçu comme un temps de préparation. En cela il se distingue des derniers jours – Vendredi et Samedi saints en particulier. Très tôt, un jeûne rigoureux fut pratiqué durant ces deux jours, en référence à la parole du Divin Maître :

    « Des jours viendront où l’Époux sera enlevé à ses disciples, et alors ils jeûneront[5]. »

    Ce jeûne primitif des derniers jours de la Semaine Sainte est un jeûne de compassion et de deuil pour la disparition de l’Époux :

     

    « Ce n’est pas un jeûne préparatoire à la célébration du mystère, mais un jeûne qui l’accompagne : on ne l’appelle pas antépascal, mais pascal[6]. »

    Au contraire, l’institution du Carême a été inspirée par le souci de préparation aux jours saints. Il y avait d’une part la nécessité de préparer les catéchumènes au baptême qui devait être célébré au cours de la Vigile pascale. On en veut pour preuve les nombreuses allusions au baptême que comporte la liturgie du Carême, en particulier au cours des troisième et quatrième semaines. Voici quelques exemples parmi les plus marquants.

    Pour la troisième semaine, le lundi, il est question de Naaman le Syrien qui fût purifié de la lèpre par sept bains dans le Jourdain[7] ; le vendredi, c’est l’eau qui est évoquée, celle que Moïse fit jaillir du rocher[8] et celle que Notre-Seigneur proposa à la samaritaine[9].

    Pour la quatrième semaine, le baptême est suggéré par les introïts du mercredi – effundam super vos aquam mundam : « je répandrai sur vous une eau pure[10] » – et du samedi – sitientes venite aquas : « vous tous qui avez soif, venez aux eaux[11] ».

    À l’institution du Carême contribua également la nécessité d’accompagner les pénitents publics vers la réconciliation à laquelle ils étaient admis le Jeudi saint. C’est à cet aspect du Carême que se rattache le Mercredi des Cendres, l’imposition des cendres étant l’acte solennel par lequel commençait la pénitence publique. C’est également pour les pénitents, qui n’avaient pas accès à la communion, qu’une deuxième oraison de post-communion fut instituée : on la trouve aujourd’hui dans le missel pour les messes de semaine du Carême sous le nom d’oratio super populum, « prière sur le peuple », et elle est introduite par une invitation éloquente : Humiliate capita vestra Deo, « Humiliez vos têtes devant Dieu ».

    Dans l’institution du Carême, donc, la place des catéchumènes et des pénitents fut essentielle. Néanmoins,

    « à ces deux catégories de sujets l’Église entendait bien associer par la même occasion tous les fidèles parce que c’est le corps mystique tout entier qui doit mourir et ressusciter avec le Christ pour se renouveler en lui dans les solennité pascales[12]. »

    Cette association fut progressive et ressembla plutôt à une substitution, le nombre de catéchumènes adultes venant naturellement à décroître, tandis que la pratique de la pénitence publique se faisait plus rare. Ainsi, l’usage d’imposer les cendres au début du Carême fut étendu à l’ensemble des fidèles et tous furent invités à pratiquer généreusement la prière, la pénitence et les œuvres de miséricorde, à l’instar des pénitents. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • Surréxit sicut dixit

    Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2021

    Surréxit sicut dixit

    Ne craignez point, vous ; car je sais que vous cherchez Jésus qui a été crucifié. Il n’est point ici : car il est ressuscité, comme il l’avait dit. Venez, et voyez le lieu où le Seigneur avait été mis. Et hâtez-vous d’aller dire à ses disciples qu’il est ressuscité

     
     
    Source : lesalonbeige
  • François Jésus n'était "pas un Dieu du tout"

    Publié par Guy Jovelin le 06 novembre 2019

    Eugenio Scalfari, un journaliste athée et anti-catholique en qui le pape François a une confiance profonde et qu'il a rencontré à plusieurs reprises pour des interviews, écrit ce qui suit sur La Repubblica (9 octobre) :

    "Ceux qui comme moi ont eu l'occasion de le rencontrer et de lui parler avec la plus grande confiance culturelle, savent que le pape François conçoit le Christ comme Jésus de Nazareth, un homme, pas Dieu incarné. Une fois incarné, Jésus cesse d'être un Dieu et devient un homme jusqu'à sa mort sur la croix. "

    Autre citation :

    "Quand j'ai discuté de ces phrases, le pape François me l'a dit : "Elles sont la preuve certaine que Jésus de Nazareth, une fois devenu homme, même s'il était un homme d'une vertu exceptionnelle, n'était pas un Dieu du tout."

    Cela expliquerait que François refuse strictement de s'agenouiller ou de faire génuflexion devant le Saint Sacrement.

    En mars 2018, François a dit à Sclafari que "il n'y a pas d'enfer". Le Vatican n'a jamais démenti.

    #newsKedhzmazsl
     

     

    Source : gloria.tv