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  • Darmanin peut-il interdire toutes les manifs d’extrême droite ?

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    11 Mai 2023, 05:28am | Publié par Thomas Joly

     

    Tout au long de la journée de mardi, l’intégralité du champ lexical de l’indignation républicaine était de sortie. En effet, samedi dernier, un groupe de nationalistes français a manifesté son soutien à Sébastien Deyzieu, décédé le 7 mai 1994, à 22 ans, en marge d’un regroupement du GUD. Ainsi que l’a parfaitement rappelé Marc Eynaud dans son article, aucun trouble à l’ordre public n’a été a déploré lors de cette manifestation.

    Mais voilà, certains y ont vu des néo-nazis, d’autres des néo-fascistes, et tous ont entendu le bruit des bottes raisonner dans les rues parisiennes. Jusque-là, rien d’inhabituel et le préfet de police de Paris se défendait plutôt bien avec des armes juridiques. Mais devant la polémique, Darmanin s’est emparé du sujet. Il a donc demandé aux préfets d’interdire de manière générale et absolue toutes les manifestations d’extrême droite.

    Ainsi, il ne se passe pas une journée sans que ces personnes ne restreignent impunément les libertés fondamentales dans notre pays. Ce ministre de la Macronie vient de créer « un principe général d’interdiction de manifester en raison de l’opinion politique ». C’est assez simple, au fond, par cette consigne donnée aux préfets, le ministre de l’Intérieur viole à la fois le droit européen, le droit constitutionnel et la loi en la matière.

    Le Conseil d’État avait récemment rappelé les principes généraux de la liberté de manifester : « La liberté d'expression et de communication, garantie par la Constitution et par les articles 10 et 11 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales et dont découle le droit d'expression collective des idées et des opinions, constitue une liberté fondamentale au sens de l'article L. 521-2 du Code de justice administrative. Son exercice, notamment par la liberté de manifestation ou de se réunir, est une condition de la démocratie et l'une des garanties du respect d'autres droits et libertés constituant également des libertés fondamentales au sens de cet article. » Par conséquent, le principe absolu est celui du droit de manifester.

    Parce que manifester est une liberté fondamentale, ceux qui souhaitent organiser une manifestation n’ont qu’une obligation déclarative. Le Conseil d’État a d’ailleurs refusé, pendant la crise sanitaire, de faire basculer cette obligation vers un principe d’autorisation préalable. Autrement dit, une manifestation doit être déclarée mais n’a pas à être autorisée.

    En revanche, une fois déclarée, et par exception seulement, la manifestation peut être interdite par le maire ou par le préfet. Mais il existe des conditions de légalité strictes dans lesquelles doivent s’inscrire ces interdictions, comme par exemple une présomption grave d'un réel danger de troubles à l'ordre public procédant de la manifestation projetée et l'inexistence d'un autre moyen efficace pour maintenir l'ordre public.

    Ainsi, ordonner aux préfets d’interdire toutes manifestations d’extrême droite, c’est donner l’ordre d’exclure « a priori » toute réflexion sur les conditions de légalité de l’arrêté. Le ministre de l’Intérieur lui-même demande donc aux préfets de prendre des arrêtés d’interdiction, quand bien même ceux-ci seraient « a priori » manifestement illégaux. Or, l'arrêté doit être motivé en application de l'article L. 211-2 du Code des relations entre le public et l'administration.

    La décision doit préciser, dans ses motivations, les risques pour l'ordre public (précédentes manifestations organisées par les mêmes personnes et ayant donné lieu à des troubles, mots d'ordre visant à troubler l'ordre public ou à commettre des dégradations) et la difficulté quant au maintien de l'ordre public liée, par exemple, au volume des forces de police, aux difficultés inhérentes au lieu de la manifestation. Le préfet ne peut pas s’extraire de son obligation de motivation, pour des raisons uniquement politiques, sous le prétexte qu’il laisserait les tribunaux administratifs le soin de juger de la légalité de son arrêté. Raisonner ainsi, c’est décider de façon totalitaire de restreindre une liberté fondamentale envers un ennemi supposé qui n’est même pas strictement défini.

    Platon n'avait-il donc pas raison lorsqu’il affirmait que la tyrannie deviendrait le point d’aboutissement inéluctable de la démocratie ?

    Maître Alain Belot

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Le député LFI Carlos Martens Bilongo visé par une enquête pour fraude fiscale, blanchiment d’argent et abus de biens sociaux

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    INFO BFMTV – Le député LFI du Val-d’Oise est soupçonné d’avoir dissimulé aux autorités une somme estimée à un peu moins de 200.000 euros. Il aurait notamment minoré la déclaration de chiffres d’affaires d’une de ses entreprises pendant plusieurs années.

    Le parquet de Pontoise (Val-d’Oise) a ouvert, mi-avril, une enquête préliminaire pour des faits de fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale, abus de biens sociaux et manquement aux obligations de déclaration auprès de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) susceptibles d’être reprochés au député LFI Carlos Martens Bilongo, selon les informations de BFMTV.

    Tout est parti d’un signalement de Tracfin, la cellule anti-blanchiment de Bercy. Celle-ci a repéré des flux bancaires qui semblent irréguliers et sans rapport avec ses déclarations auprès des impôts, d’une part, et de la HATVP, d’autre part. L’analyse de Tracfin porte sur la période allant de 2018 à 2022.

    Près de 200.000 euros dissimulés

    Les enquêteurs ont découvert plusieurs opérations suspectes. Alors qu’il a déclaré ne toucher aucune rémunération de la part de ses sociétés auprès de la HATVP, Carlos Martens Bilongo aurait pourtant, selon Tracfin, reçu divers virements sur ses comptes bancaires. Ainsi que des encaissements en espèces pour plusieurs dizaines de milliers d’euros.

    Au total, selon les premiers éléments de l’enquête, le député LFI aurait dissimulé aux autorités une somme estimée à un petit peu moins de 200.000 euros.

    Dans son signalement à la justice, Tracfin précise également que le député est titulaire d’un compte non-déclaré à l’étranger, visiblement dans un pays d’Europe de l’Est.

    BFMTV via fdesouche

  • Traduction : Elisabeth Borne n'assume pas son homosexualité.

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    Thomas Joly

     
    Peut être une image de texte qui dit ’BREVES Brèves de presse @Brevesdepresse FLASH La 1ère ministre Élisabeth #Borne demande le retrait de nombreux passages d'une biographie, en raison d'atteintes, estime- t-elle, à sa vie privée. Il s'agit du ivre "La Secrète", une enquête fouillée de la journaliste Bérengère Bonte, en librairie depuis le 4 mai.’
     
     
     
     
     
     
  • Biarritz (64) : une heure après son OQTF, le migrant se remet à voler des passants

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    Un voleur, un vrai. Tout commence lors du Marathon international de Biarritz le dimanche 7 mai dernier. Un jeune homme, originaire d’Afrique du Nord, dérobe le sac d’une femme qui se trouve dans la foule. Il est rapidement interpelé par les policiers du commissariat de Biarritz grâce notamment aux témoignages des témoins de la scène. Placé en garde à vue, il est interrogé sur le vol à l’arraché et fouillé. Les policiers découvrent un appareil photo dérobé le même jour à Anglet.

    Le jeune homme est ensuite remis en liberté avec, dans la mesure où il se trouve en situation irrégulière, une obligation de quitter le territoire français. Il faudra attendre seulement une heure pour que le migrant se retrouve à nouveau en garde à vue chez les policiers de Biarritz. Deux nouveaux vols à son actif en quelques minutes.

    France Bleu via fdesouche

  • Les personnes vaccinées contre le COVID ont un risque plus élevé de déficience visuelle

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    Le vaccin contre le Covid a des effets secondaires potentiels sur la vue
    Le vaccin contre le Covid a des effets secondaires potentiels sur la vue

    « Les personnes vaccinées contre le COVID-19 présentent un risque plus élevé de toutes les formes d’occlusion vasculaire rétinienne dans les 2 ans suivant la vaccination », selon l’étude publiée dans la revue britannique Nature.

    Une nouvelle étude à grande échelle a révélé que les personnes ayant reçu les injections contre le COVID-19 étaient jusqu’à 3,5 fois plus susceptibles de souffrir de déficience visuelle que les personnes non “vaccinées”.

    L’occlusion vasculaire rétinienne est une cause fréquente de déficience visuelle. Un type courant d’occlusion vasculaire rétinienne est l’occlusion veineuse rétinienne (RVO), où “le flux sanguin de la rétine [vaisseaux sanguins à l’intérieur de l’œil]” vers le cœur est bloqué “souvent parce qu’un caillot de sang bloque la veine rétinienne.

    L’OVR et d’autres types d’occlusion vasculaire rétinienne peuvent entraîner une perte de vision, y compris une cécité permanente.

    Les auteurs de l’étude ont utilisé la base de données du réseau TriNetX, l’un des plus grands ensembles de données sur les soins de santé et les sciences de la vie au monde. “Les données de cette analyse ont été limitées aux données des patients des États-Unis fournies entre le 1er janvier 2020 et le 31 décembre 2022, provenant de 52 organisations de soins de santé”, ont déclaré les auteurs.

    “Les personnes vaccinées contre le COVID-19 ont un risque plus élevé de toutes les formes d’occlusion vasculaire rétinienne dans les 2 ans suivant la vaccination, avec un risque relatif global de 2,19.”

    Sur plus de 6,7 millions d’individus de la base de données du réseau TriNetX qui n’ont jamais eu de résultat positif au test COVID, 883 117 ont été vaccinées et 5 871 737 n’ont pas été vaccinées.

    Fait intéressant, une majorité écrasante (plus de 80 %) du groupe qui n’a jamais eu de COVID n’était pas vaccinée, ce qui indique que les personnes vaccinées étaient en fait plus susceptibles de contracter la maladie.

    Les auteurs de l’étude ont tenté de rendre les deux groupes aussi comparables que possible en faisant correspondre des caractéristiques telles que l’âge, le sexe et la race et en accordant une “un rapport de 1 : 1”, ce qui signifie que deux groupes de 739 066 individus chacun (un vacciné, un non vacciné) restaient pour la comparaison.

    L’analyse des données a montré que “l’incidence cumulée de l’occlusion vasculaire rétinienne était significativement plus élevée dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné, 2 ans et 12 semaines après la vaccination”.

    L’étude a également comparé le risque d’occlusion vasculaire rétinienne dans les 12 semaines suivant la “vaccination”. Le risque pour les vaccinés était 3,54 fois plus élevé que celui des non vaccinés au cours de cette période.

    “Cette grande étude multicentrique renforce les résultats des cas précédents”, ont déclaré les auteurs de l’étude, ajoutant que “l’occlusion vasculaire rétinale peut ne pas être une découverte fortuite après la vaccination contre le COVID-19”.

    Étant donné que l’occlusion vasculaire rétinienne est associée à des caillots sanguins dans les artères ou les veines, on peut supposer qu’elle est reçue par les mêmes caillots sanguins étranges qui ont été observés par les embaumeurs chez les personnes décédées qui ont reçu le dit vaccin contre le COVID.

    Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, a commenté l’étude et déclaré : “le fait que les effets aient été observés rapidement m’incite à penser que cela est probablement dû à des caillots sanguins dans la microcirculation, bien que la persistance puisse impliquer des mécanismes supplémentaires ou le matériel physique robuste trouvé à l’autopsie.”

    « Les prétendus vaccins ont été conçus pour blesser, mutiler et tuer », a déclaré le Dr Yeadon. “De multiples caractéristiques prouvées ont été délibérément intégrées dans leurs conceptions, avec pour résultat qu’il y aurait de fortes attentes en matière de caillots sanguins, d’attaques auto-immunes et de tempêtes de cytokines dans tout le corps, selon l’endroit où elles sont allées chez un individu donné.”

    « Enfin, les agents ARNm ont été formulés dans des nanoparticules lipidiques, connues depuis 2012 pour provoquer une accumulation dans certains viscères, notamment les ovaires. Les impacts négatifs sur la fertilité étaient également assurés.”

    “Rien de tout cela n’est arrivé par inadvertance”, a conclu Yeadon.

     

    Source : medias-presse.info