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Lundi soir, un individu encore non identifié a mis le feu aux voitures de police stationnées devant le commissariat de Montauban (Tarn-et-Garonne). Il n’y a pas de blessé, le suspect a pris la fuite.
C’est le syndicat Alliance qui donne l’information ce mardi matin. Les riverains du commissariat de Montauban, à proximité de l’hyper-centre historique boulevard Alsace-Lorraine, en ont été témoins vers 23h le lundi 8 mai. Quelqu’un a aspergé d’un produit inflammable les véhicules garés devant l’hôtel de police.
Un “acte criminel inédit à Montauban” selon Alliance Police 82
En y mettant le feu, trois voitures ont été détruites. Les pompiers sont intervenus rapidement ce qui a limité la propagation des flammes à d’autres véhicules et au bâtiment.
La nouvelle qu’un drone russe aurait été abattu au-dessus du palais présidentiel de Kiev le 5 mai dernier fait le tour du monde. L’attaque serait une riposte au drone envoyé plus tôt au-dessus du Kremlin. En réalité, comme l’affirme le Kyivpost, et non un média russe, c’est un drone ukrainien qui est devenu incontrôlable. Tant de mensonges circulent sur cette guerre…
Moscou répondra à l’attaque contre le Kremlin, mais quand il le jugera « nécessaire », comme l’a dit l’ambassadeur de Russie aux Etats-Unis. Les déclarations d’Anatoly Antonov ont été rapportées par le député Bhadrakumar sur Indianpunchline, dans un article intitulé : Le sort du régime de Zelensky est scellé.
Actions désespérées et pressions sur le Kremlin : le sort du régime de Zelensky pourrait bien être scellé
Selon l’analyste, après l’attentat, la Russie n’aurait d’autre choix que d’éliminer ses ennemis à Kiev, désormais trop dangereux. Elle s’est retenue jusqu’à présent, maintenant elle enlève ses gants. Le choix serait facilité par le désengagement américain qui, selon Indianpunchline, commence à s’esquiver, comme en témoignent les propos du chef d’état-major Mark Milley, qui dans une interview aux Affaires étrangères a non seulement exprimé des doutes sur l’issue de la contre-offensive, mais est en fait resté vague sur sa mise en œuvre effective.
Le retrait de l’administration américaine, selon l’analyste, serait l’une des raisons pour lesquelles Kiev et ses parrains néoconservateurs auraient décidé de lancer l’attaque soudaine contre le Kremlin. La tentative serait de déclencher une réaction qui aurait rassemblé des alliés réticents autour de Kiev et peut-être à intervenir dans la guerre (cette dernière opinion a été exprimée par l’analyste de la CIA Larry Johnson). Elle a échoué dans son propos : il y aura une réaction, mais elle sera froide et calculée.
La contre-offensive ukrainienne aura cependant lieu malgré tout. Comme le rapporte The Times, Kiev est obligée d’aller de l’avant après l’avoir tant annoncée, même si elle était consciente de sa tragique inutilité. D’où l’intensification des attaques ukrainiennes en Crimée et en territoire russe, pour éroder la logistique ennemie, l’attaque du Kremlin faisait aussi partie de cette préparation, mais dans un tout autre but, pousser la Russie à la faute afin que Kiev obtienne toute l’aide de l’OTAN nécessaire à gagner la guerre.
La contre-offensive ukrainienne aura cependant lieu malgré tout même si elle risque d’être fatale à l’Ukraine
Les Russes se préparent, comme en témoigne l’intensification des bombardements pour couper les ailes de l’attaque ennemie, mais aussi par le fait qu’ils évacuent les civils de la région de Zaporozhye, où l’attaque aura probablement lieu, peut-être aussi l’annonce du retrait de Wagner de Bakhmut d’ici le 10 mai s’inscrit dans la même logique.
Ces derniers jours, la Russie et l’Ukraine ont ciblé de plus en plus de cibles derrière l’ennemi. Les installations stratégiques de sécurisation des approvisionnements, telles que les dépôts d’armes et de carburant ou les raffineries et les voies ferrées, ont été particulièrement touchées par les attaques, dont la plupart ont été menées à l’aide de drones de combat, voire de roquettes. Selon les analystes, l’augmentation des bombardements à l’arrière est le signe avant-coureur d’une offensive majeure qui devrait venir d’Ukraine. Le gouvernement ukrainien l’a officiellement annoncé. Selon le président Volodymyr Zelensky, cela va bientôt commencer
Quoi qu’il en soit, une grande bataille pourrait être sur le point de se produire…
Dresser le portrait de Jean-Luc Mélenchon n’est pas un plaisir tant le personnage regorge de laideur et d’ineptie intellectuelle.
On nous le présente en verve tribunitienne, à l’éloquence facile, à l’arrogance républicaine, entouré de son parterre populacier où tout transpire la morgue phrygienne. Certes, et c’est tout cela, précisément, qui est rebutant et si déplaisant dans ce fils de receveur des postes et d’institutrice que la péninsule ibérique originellement puis la terre chaude d’Afrique auraient dû garder dans leurs entrailles. Or la fuite du temps, paisible lorsqu’elle est poétique, l’a fait échouer, jeune, dans le Jura puis en Franche-Comté pour le malheur des français.
Il n’y a rien d’ignoble à être le fils d’un agent des PTT et d’une maitresse d’école. Sûr que non. Rien n’empêche un honnête homme de rester un homme honnête et un homme modeste de rester modeste. Rien n’empêche non plus un berger de devenir un prince ! Sauf à s’abîmer dans la rancœur de classe, sauf à jalouser ceux qui sont d’un rang supérieur par la naissance, le talent et le mérite. Sauf à dresser l’ergot de la malice ou de la haine sur le sabot du labeur. Il n’y a rien de sympathique à s’enorgueillir de sa basse condition quand il s’agit de la cultiver pour l’enlaidir et la rendre plus basse encore. Mélenchon, qui porte si mal le prénom de son baptême, celui de deux évangélistes dont on lui a appris, enfant, l’existence, et dont il a absolument tout rejeté, ignore, depuis, que Jean est l’évangéliste de l’amour divin et Luc l’évangéliste de la miséricorde divine. Deux grands saints qui ne parlent plus à l’oreille du rejeton catholique pour leur avoir préféré Saint-Just et Robespierre. Quand on ne prête plus soin à l’éloquence de l’âme pour l’ordonner à son salut, on l’abandonne à la terreur verbale, à la terreur de la pensée fixée dans sa propre terreur. On abandonne son être à la guillotine. Les deux égéries révolutionnaires finirent sur l’échafaud. Mélenchon finira coupé en deux, pour l’éternité. Plus de résurrection possible chez cet être sans être. Plus de finalité possible chez ce malheureux dont les attributs entitatifs et opératifs ne l’ordonnent plus au Bien ; plus d’espérance ni de joie surnaturelles. De la haine seulement, du dégoût seulement. De la gouaille toujours pour ce qui est au-dessus de lui, pour ce qui est supérieur à lui.
Cet homme qui vit depuis 1986 dans les palais de l’Ancien Régime – le Palais du Luxembourg, résidence de Marie de Médicis, et le Palais Bourbon, palais des ducs de Bourbon – ; ce mauvais homme qui se prélasse sous les tapisseries et les dorures du temps de la monarchie et de l’empire, paradoxalement entretenues par « la » République ; ce misérable sans culotte qui goutte les jardins à la française entretenus par un collectif de jardiniers affairés, ne cesse de cracher, ses indemnités parlementaires en poche, sur l’histoire du pays qui l’a accueilli, lui, le fils venu d’ailleurs, lui, le déshérité des contrées chaudes devenues hostiles. Quel toupet ! Quelle malhonnêteté intellectuelle ! Quelle sourde hypocrisie ! Les lettres modernes et la philosophie moderne – on ne s’en étonne guère – ont fait jaillir sur le terreau de son intelligence amère les armes de la révolte permanente, et font suinter depuis tous les accents de la morve laïcarde.
Les propos qu’il vient de tenir sur le couronnement du nouveau roi d’Angleterre sont à la mesure de la trivialité du personnage.
Quoique l’on pense de la monarchie britannique, quelles que soient les déviances et les turpitudes de son lignage pluriséculaire et qui ont failli, jadis, mettre en péril notre royaume, quelle que soit aussi la pauvreté intellectuelle de Charles III, elle a le mérite de transmettre encore, à la face du monde, ce qui lui reste d’héritage. Et elle le fait avec ce faste que l’histoire lui autorise. La France, elle, a rompu avec l’héritage, et ce n’est pas la République qui peut le faire résonner de nouveau.
Mélenchon, la fourche allocutive à la main, fait, quant à lui, résonner sa cloche plébéienne. Il fustige, écœuré, « les sirops dégoulinants de la monarchie » d’outre-Manche et « le cinéma de cet homme couvert de déguisement, de bijoux et de pierres précieuses, tandis que le peuple vit dans la misère ». Mais de quelle misère s’agit-il ? D’une misère provoquée par les vestiges d’une monarchie insulaire et séculaire ou bien d’une misère provoquée par les tortueux méandres d’un mondialisme que le socialisme à la sauce Mélenchon fait éclater au bout de deux cents ans
Mélenchon et les cerveaux embrumés qui l’écoutent sont responsables de leur propre malheur.
C’est à la lueur de leur socialisme imprécatoire, plein des relents de l’Organisation communiste internationaliste, que la misère humaine s’est répandue dans les nations européennes. Et c’est sur les paroles sordides de l’Internationale et les couplets honteux de la Marseillaise que la misère du peuple français se répand encore sur notre terre chrétienne.
Ne nous y trompons pas : Mélenchon est un faucheur de vies humaines ; il a perdu la foi et, en faux prophète porté aux nues, il tue l’espérance. Il est le chanteur de l’impasse, celui de la révolte sans issue, à la mode « insoumise », que l’on fait encore monter sur scène et à qui l’on tend un micro. Cela flatte son orgueil.
L’envie puise dans la haine. Elle est « une tristesse du bien d’autrui, une joie du mal qui lui arrive » selon la belle écriture de Léon Bloy. Elles sont les deux mamelles de l’agonie d’un peuple. Mélenchon les nourrit l’une et l’autre pour se hisser plus haut. Elles seront sa roche Tarpéienne.
Le 9 mai 1994, le jeune militant nationaliste Sébastien Deyzieu rendait l’âme, victime de la répression, lors d’une manifestation organisée par le GUD et d’autres associations.
Il était âgé de 22 ans.
Le traitement médiatique n’eut évidemment rien à voir avec l’affaire Malik Oussekine, qui en son temps entraîna d’ailleurs la démission d’un ministre. Là le gouvernement, dont le ministre de l’Intérieur était le gaullo-mafieux Charles Pasqua, ne fit montre d’aucune émotion.
Chansons des groupes de « rock identitaire français » In Memoriam et Vae Victis dédiées à Sébastien Deyzieu :
Madame Rama Yade, ancien ministre sous la présidence de Nicolas Sarkozy, a pris la défense du rappeur « maître Gims » qui, lors d’un entretien de nature surréaliste publié le 22 mars dernier sur Youtube, expliquait doctement que les anciens Egyptiens qui, selon lui étaient naturellement noirs de peau, connaissaient entre autres l’électricité : « Les pyramides (…) au sommet il y a de l’or. L’or, c’est le meilleur conducteur pour l’électricité. C’était des foutues antennes, les gens avaient l’électricité […]. Les Égyptiens, la science, qu’ils avaient, dépasse l’entendement et les historiens le savent.
Dans sa défense du « rappeur-historien », Madame Rama Yade développe un argumentaire « encyclopédique » embrassant les millénaires allant du néolithique à l’Antiquité pour asséner sa vérité qui est que l’Afrique - lire les Noirs-, a détenu au début de l’humanité « le leadership » sur le reste des continents, en particulier sur l’Europe - lire les Blancs ».
Or, en dépit de ses immenses talents, Madame Rama Yade n’a pas inventé l’affirmation de la supériorité ontologique de la « négritude » actuellement mise en avant par l’afrocentrisme et le « décolonialisme »,. Cette idéologie racialo-revancharde repose en effet sur les postulats énoncés par Cheikh Anta Diop dans les années « 1950-1960 ». Autodidacte-compilateur ce dernier soutenait ainsi que l’histoire est une falsification des Blancs destinée à occulter le legs « nègre » au capital de l’humanité. Pour Cheikh Anta Diop, les Noirs ont en effet tout inventé, le premier homme était un Noir et l’ancienne Egypte était « nègre ». Or, par racisme, parce qu’ils ne pouvaient admettre de tout devoir aux Noirs, les Blancs ont caché que la culture grecque est « nègre » et que, par conséquent, la civilisation européenne dont elle découle est un héritage, un legs « nègre ».
Pour Cheikh Anta Diop :« Le Nègre ignore que ses ancêtres (…) sont les plus anciens guides de l’humanité dans la voie de la civilisation ; que ce sont eux qui ont créé les Arts, la religion, (en particulier le monothéisme), la littérature, les premiers systèmes philosophiques, l’écriture, les sciences exactes (physique, mathématiques, mécanique, astronomie, calendrier…), la médecine, l’architecture, l’agriculture, etc., à une époque où le reste de la Terre (Asie, Europe : Grèce, Rome…) était plongé dans la barbarie » .
Sans entrer dans une polémique stérile au sujet des fantasmes et des contre-vérités frisant le surréalisme contenus dans les lignes qui précèdent, disons simplement, pour nous en tenir à la seule agriculture, que vers – 5000 av.J.C., des Flandres au Danube se constitua une civilisation paysanne européenne utilisant la traction animale, tandis-que l’Afrique sud-saharienne, l’Afrique noire, n’a, quant à elle, découvert cette dernière, ainsi d’ailleurs que la roue, la poulie et la culture attelée… qu’avec la conquête arabe puis la colonisation, soit presque 6000 ans plus tard… Quant aux trois-quarts des plantes alimentaires consommées aujourd’hui au sud du Sahara (maïs, haricots, manioc, patates douces, bananes, etc…), elles sont d’origine américaine ou asiatique et elles y ont été introduites à partir du XVI° siècle par les colonisateurs portugais…
Or, nous devons bien avoir à l’esprit qu’avec l’afrocentrisme et ses dérivés, nous ne sommes pas face à de simples élucubrations, mais en présence d’une idéologie abreuvée au mythe d’une « nation africaine » dont l’histoire grandiose aurait été occultée à la suite d’un complot raciste de la science historique occidentale. Ses postulats farfelus sont devenus vérités à l’ère du wokisme et ils prospèrent dans la négation du réel. Pour oublier l’enfer de leur histoire, les afrocentristes s’inventent ainsi un passé paradisiaque, enfouissant leurs frustrations dans le refuge de l’imaginaire tout en proposant une compensation-revanche par l’invention d’une suprématie passée.