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On ne compte plus les provocations antichrétiennes qui se multiplient. Cette fois, c’est la ville de Cambrai qui ouvre ce 6 mai et jusqu’au 11 juin au public la chapelle des Jésuites, entièrement redécorée avec des peintures de démons. Cette exposition prétend faire la promotion du jeu vidéo américain « Diablo IV ».
Nous connaissons la fameuse formule : ce lieu de culte a été “désacralisé”. Certes. Mais ce n’est pas un hasard si, parmi tous les lieux disponibles pour une telle exposition, c’est précisément une chapelle qui a été choisie. Et le scandale est donc évident. Dans ce lieu construit pour être une maison de Dieu, le visiteur est désormais accueilli par cette annonce : « Les enfers vous souhaitent la bienvenue ».
La chapelle a été largement recouverte, des murs aux plafonds, de peintures réalisées par l’équipe de l’artiste américain Adam Miller, payées par la riche société américaine de jeux Blizzard pour la promotion de son jeu vidéo « Diablo IV ».
Quelle honte, quelle ignominie de constater la présence sur 220 m2 de fresques à la gloire du Diable et des démons dans cette chapelle de style baroque classée monument historique.
Bruno Hirout secrétaire général du Parti de la France
Depuis que la Haute Autorité de Santé a recommandé « la levée de l’obligation vaccinale chez les soignants » et que l’Assemblée nationale a adopté un texte allant dans ce sens, le sujet de la réintégration des soignants non piqués au jus d’Albert Bourla déchaîne les hystériques nostalgiques de la partition de la France entre pfizerisés et non-pfizerisés.
Dernier exemple en date, le médecin urgentiste Mathias Wargon, « devenu une personnalité médiatique auprès du grand public durant la pandémie de Covid-19 » et qui « like » toute les publications traitant compulsivement les opposants à Pfizer d’antivax, est en croisade contre la réintégration des « soignants non vaccinés ».
Ces abrutis covidistes nostalgiques de l’apartheid sont tellement fanatiques de l’injection (d’ailleurs ont-ils bien fait tous leurs « boosts » depuis que le pass sanitaire n’existe plus ?), qu’ils croient plus en Pfizer que les dirigeants de Pfizer eux-mêmes. Pour rappel, Janine Small, dirigeante de Pfizer, a été obligée de reconnaître devant les députés européens en octobre dernier que « au sujet de la question de savoir si nous savions ou non si le vaccin arrêtait la transmission lors de sa mise sur le marché, la réponse est non ».
Les thuriféraires de la vaccination, et ceux qui ont acquis comme Wargon un dérisoire petit bout de notoriété sur le dos de la propagande covidiste du Gouvernement, sont persuadés d’être du côté de la science, alors qu’ils ne sont que du côté de l’action politique du macronisme (d’ailleurs Wargon considère LFI et le RN comme des partis nazis) et des dirigeants corrompus de Pfizer (entreprise la plus condamnée au monde dans le domaine de la santé).
De plus, ces « pro-science » ne voient aucun problème à ce que des speakerines et des speakers hâtivement rebaptisés « journalistes » se soient déplacés jusque dans le bureau du professeur Didier Raoult, l’un des plus grands épidémiologistes du monde, pour lui faire la leçon, preuve que ce qui compte le plus à leurs yeux ce n’est pas du tout la « science » mais la sauvegarde du discours et de la politique covidistes.
N’en déplaise à ces ersatz de petits dictateurs, nous sommes encore des citoyens libres et ce n’est pas demain la veille que ceux qui ont résisté à la discrimination par le pass sanitaire déposeront les armes devant des blouses blanches aussi médiocres.
Plusieurs tags ont été découverts sur une église de la commune de Lieusaint en Seine-et-Marne dans la matinée du jeudi 4 mai 2023. L’inscription «Vive l’islam et la paix» a été inscrite sur un mur de l’édifice.
«Un geste inadmissible, inacceptable et condamnable», a dénoncé Michel Bisson, maire de la commune de Lieusaint en Seine-et-Marne. Le maire s’est d’abord exprimé sur un groupe Facebook regroupant les Lieusaintais, après que des tags ont été découverts sur les murs d’une église jeudi 4 mai au matin.
«Comme tous les Lieusaintais, je suis révolté par de tels actes, avec une pensée pour nos amis catholiques», a écrit Michel Bisson. Un des murs de l’église a été recouvert de l’inscription : «Vive l’islam et la paix».
[…]
«Je rencontre le commissaire la semaine prochaine, je vais suivre l’avancée de l’enquête et j’irai jusqu’au bout» a continué Michel Bisson. Il a également confié que l’Amicale des musulmans, qui gère la grande mosquée de Lieusaint, a exprimé son «entière indignation» et condamne «fermement le geste», «au nom de la communauté musulmane de Lieusaint».
Cependant, l’association n’aurait pas contacté le curé de la paroisse, avec qui les relations seraient toutefois cordiales «mais sans plus», a indiqué une source locale. La Grande Mosquée de Lieusaint a précisé à CNEWS que les relations entre les deux communautés sont bonnes et a exprimé ses doutes quant au fait que l’acte ait pu être commis par des musulmans.
Il a tenu douze minutes. Montre en main. À peine sorti de prison, un jeune de 20 ans n’a pas résisté à la tentation de voler une voiture. Elle était simplement sur son chemin, moteur tournant. Interpellé ce jeudi 4 mai 2023 à Fontenay-le-Fleury, l’individu a reconnu les faits.
Retour à la matinée du 2 avril. Ce dimanche, à 9 heures, les lourdes portes de la maison d’arrêt de Bois-d’Arcy laissent passer Sillemane. Il a obtenu un régime de faveur : la semi-liberté. Il va pouvoir aller poursuivre sa formation pour poser des pare-brises de voitures. Il compte aussi passer son permis de conduire.
Le jeune homme s’engage à pied dans la rue Alexandre Turpault. Quelques mètres plus loin, alors que l’ombre des murs de la prison est encore toute proche, il repère une voiture moteur tournant. Son propriétaire, âgé de 70 ans, vient de la sortir de sa propriété. Il est occupé à refermer son portail.
À 9h12, Sillemane s’installe au volant. Il passe la première et démarre. La victime tente de s’interposer. En vain.
(…)
Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête. En plus, je me réinsérais tranquillement…
Pour enfoncer le clou, l’audience permet d’apprendre que Sillemane a tenté de jouer au roi de l’évasion le matin même. Avant de passer devant le juge de l’application des peines, il a tenté de s’enfuir en courant… Menottes dans le dos… En vain.
Face à la situation, la procureure de la République demande un an de prison avec incarcération immédiate et la révocation de 6 mois de sursis.
Le tribunal a finalement prononcé une peine de 8 mois de prison, avec placement en détention. Sillemane devra aussi rembourser la victime. Son assurance a refusé de l’indemniser.