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  • Expropriation

    Publié par Guy de Laferrière le 27 mai 2023

    lafautearousseau

    Ville de Anglet - Arts et Voyages

    Au Pays basque, le dernier maraicher d'Anglet est menacé d'expropriation par le Gouvernement, alors qu'il a travaillé là toute sa vie. "On" veut remplacer ses terres et construire une technopole destinée aux "métiers de la construction durable et aux entreprises innovantes"... Le "découplage" complet entre nos dirigeants techno/bobos et le pays réel, la terre, les réalités charnelles continue d eplus belle...

    (extrait vidéo 1'29)

    https://twitter.com/_2019_nCoV/status/1661706127787040770?s=20

  • Christelle Comet : « A Saint-Etienne, on est venu expliquer aux enfants ce qu’était la sodomie ou la fellation ! »

    Publié par Guy de Laferrière le 27 mai 2023

    Selon Christelle Comet, porte-parole de l’association “Mamans Louves”, la manière dont on aborde la sexualité avec les enfants peut avoir des conséquences néfastes sur leur développement psycho-affectif. Elle cite l’exemple d’une école de Saint-Etienne où une infirmière scolaire a expliqué à des enfants de 9 à 10 ans ce qu’était la fellation, la sodomie, le cunnilingus, le changement de sexe ou encore de caresser les testicules.

    Cela revient à traumatiser les enfants et à faire tout l’inverse de l’objectif fixé. En effet, si l’enfant est confronté à un prédateur sexuel alors qu’on lui a dit que certaines pratiques étaient possibles, il risque d’être davantage exposé. De plus, cela peut inciter les enfants à essayer ces pratiques entre eux.

    https://twitter.com/Ligne__Droite/status/1661301755898896384

    Source

  • En France, 87% des femmes déclarent avoir déjà été victimes de harcèlement ou de violences sexuelles ou sexistes dans les transports

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mai 2023

    En France, 87% des femmes déclarent avoir déjà été victimes de harcèlement ou de violences sexuelles ou sexistes dans les transports. Le gouvernement a organisé un premier comité d’action afin de lutter contre ces atteintes qui constituent une entrave importante à la mobilité des femmes.

    Le 11 mai 2023, la ministre déléguée à l’égalité entre les femmes et les hommes, Isabelle Lonvis-Rome, et le ministre délégué aux transports, Clément Beaune, ont lancé le premier comité d’action contre le harcèlement et les violences sexuelles et sexistes faites aux femmes dans les transports.

    Ce comité a réuni l’ensemble des acteurs impliqués (opérateurs de transports publics et privés, autorités organisatrices de la mobilité, associations) dans le but d’identifier les bonnes pratiques à promouvoir dans les réseaux de transport.

    Un sentiment d’insécurité dans les transports qui concerne surtout les femmes

    Deux voyageurs sur trois dans les transports collectifs sont des femmes. Selon les chiffres du ministère de la transition écologique, 87% d’entre elles ont déjà été victimes de harcèlement, d’agressions sexuelles ou de viols. Elles sont nombreuses à mettre en place des stratégies d’évitement : 54% déclarent s’abstenir de prendre les transports en commun à certaines heures.

    Depuis la loi d’orientation des mobilités (LOM) de 2019, le ministère chargé des transports est chargé de publier chaque année un bilan national des atteintes à caractère sexuel ou sexiste dans les transports. Le dernier bilan fait état de près de 3 500 atteintes sexuelles et sexistes en 2021 (dont 74% dirigées vers les femmes), en hausse de 37% par rapport à 2020 :

    • 34% sont des atteintes sexuelles avec contact (viols et tentatives de viols, attouchements sexuels…) ;
    • 34% sont des atteintes sexuelles sans contact (harcèlement, exhibition, voyeurisme, notamment le “upskirting” qui consiste à filmer ou photographier les sous-vêtements des femmes) ;
    • 31% d’outrages sexistes (sifflements, gestes ou bruits obscènes, propositions sexuelles…).
    […]

     

    Transports en commun : un comité contre les violences faites aux femmes | vie-publique.fr (Gouvernement)

  • Violences à l’hôpital… comme partout ailleurs !

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mai 2023

    Marie Delarue 24 mai 2023

    La France est en émoi : une infirmière du CHU de Reims est morte des suites de son agression au couteau par un patient psychiatrisable ; sa collègue, agressée elle aussi, a heureusement survécu à ses blessures. Et l’on semble découvrir la lune…

    Des gens poignardés en pleine rue, il y a en toutes les semaines en France. Des enseignants tués dans l’exercice de leur "sacerdoce" – aujourd’hui c’en est un –, il y en a eu une dizaine depuis 40 ans. Des prêtres, des policiers, des militaires aussi sont décapités… Alors où est la surprise ?

    On feint de croire que l’hôpital est un sanctuaire, mais il n’y a plus aucun sanctuaire aujourd’hui. Coïncidence morbide, le Conseil national de l’ordre des médecins publie au lendemain du drame de Reims son rapport sur la sécurité. Les chiffres font apparaître, en 2022, « une forte augmentation des violences de 23 % depuis l’année 2021 », soit une hausse « inédite » nous dit-on.

    Signalons en passant que d’après le dernier baromètre du climat scolaire, le niveau de violence dans les établissements français a « augmenté lui aussi de près de 20 % en un an ». Quant aux chiffres de l’insécurité et de la délinquance (communiqués par le ministère de l’Intérieur le 31 janvier 2023), ils montrent en 2022 une augmentation des crimes de 8 %, et des coups et blessures volontaires de plus de 15 %. Entre autres.

    Aujourd’hui les projecteurs sont braqués sur l’hôpital, notre "cour des miracles" contemporaine. Mal aimés, mal payés, les soignants sont tout autant victimes de la chienlit administrative et judiciaire que des patients irascibles. L’hôpital est malade, particulièrement le secteur de la psychiatrie, l’école est malade, la justice est malade, la société est malade.

    Au dernier drame, celui de cette infirmière tuée – son meurtrier avait déjà été mis en examen pour violences aggravées mais bénéficiait d’un non-lieu pour « irresponsabilité pénale » – le gouvernement apporte la seule réponse qu’il connaît : un chèque !

    Comme on jette au chien un os à ronger, on balance « une enveloppe » à l’hôpital : 25 millions d’euros pour la sécurité. C’est le ministre de la Santé, François Braun, qui l’a annoncé ce mercredi matin sur BFM TV : cette somme doit servir « pour l'instant, à l'ensemble de cette sécurité. S'il faut plus, nous mettrons plus pour corriger tout ça, mais en tout cas on ne peut plus accepter des systèmes défaillants », a-t-il dit. Et d’annoncer dans la foulée qu'un audit aurait lieu « dans tous les établissements » dès la semaine prochaine afin de lister « Tout ce qui ne fonctionne plus en termes de sécurité, les portes magnétiques qui ne marchent plus, les badges, les machins ». « Je veux que l'on vérifie tout ça, tout de suite, et que l'on répare », a dit le ministre.

     

    Comme si c’était une question de machins… Comme si la folie qui s’est emparée de nos sociétés malades allait se régler avec une burette d’huile. Sans courage politique, incapable de nommer les maux qui nous rongent, le ministre Braun, comme ses collègues de la Justice, de l’Intérieur ou de l’Education, comme le président Macron lui-même, Monsieur Braun fait de la com'. Rien d’autre.

     

    Source : bvoltaire

  • Cannes, un festival du conformisme arc-en-ciel

    Publié par Guy de Laferrière le 25 mai 2023

    PAR  LE 

     

     

     

     

    Depuis longtemps le Festival de Cannes s’applique, à travers ses starlettes excentriques et ses films « en avance », à choquer le bourgeois qui adore ça. C’est devenu un conformisme total à la révolution économique et morale qui avance sous le triple drapeau de l’arc-en-ciel des LGBT+, du Rainbow warrior de l’écologisme et de la nation arc-en-ciel sans frontières d’Etat, de race ni d’espèce. L’édition 2023 n’est pas terminée, mais elle a déjà frappé fort.

    Le Festival de Cannes, c’est surtout un tapis rouge

    Bien sûr, il y a un peu de cinéma dans les salles du palais des congrès de Cannes, et beaucoup de bizness dans les couloirs, dont Harvey Weinstein était une figure il n’y a pas si longtemps, mais la grande affaire du Festival est de lorgner la montée du tapis rouge, d’y compter les vedettes (les Américains sont particulièrement prisés) et d’y admirer les toilettes des femmes (et maintenant des hommes qui leur font concurrence). Dans cet exercice Bilal Hassani a particulièrement plu avec sa minirobe et sa coiffure en crête de coq iroquois. Cette chance pour la France homosexuelle, décrite comme youtubeur et en même temps youtubeuse par Wikipédia, passée par The Voice, a représenté la France à l’Eurovision en 2019 et posé en couverture du magazine gay Têtu parodiant la Sainte Vierge : sa montée des marches au Festival de Cannes était une symbolique petite marche des fiertés qui a mis de l’arc-en-ciel dans le cœur des afficionados. C’est important : un tapis rouge, on le déroule devant ce qu’on admire et promeut.

    Conformisme social, conformisme moral, conformisme politique

    Je ne suis pas chroniqueuse mondaine, mais j’ai vu passer aussi quelques tenues extravagantes portées par des vedettes dont j’aurai la charité de taire le nom, surtout marquées par la vulgarité et parfois aussi, hélas, par la laideur. La mode des sous-vêtements apparents était déjà vieille dans les bordels du temps d’Edouard VII d’Angleterre… Mais le conformisme politique a paru plus lourd encore. Dimanche à Cannes, une jeune femme vêtue d’une robe jaune et bleue aux couleurs de l’Ukraine a tiré de son soutien-gorge une poche de faux sang pour s’en asperger le visage. Les videurs l’ont évacuée, mais tout le monde était content.

    Vieilles gloires et cinéma arc-en-ciel

    Ce sont pourtant deux hommes, et d’un certain âge, qui ont confirmé le conformisme du festival de Cannes. A 80 balais, Robert de Niro et Harrison Ford ont fait chacun son petit cinéma arc-en-ciel, comme quoi il peut servir d’être un acteur passable pour jouer les idiots utiles. De Niro est sorti un instant de son statut de vieux coq en pâte pour tirer compulsivement sur sa cible préférée, Donald Trump, à propos de rien. Quant à Ford (Harrison), grand amateur d’avions privés venu tout exprès en jet vendre son dernier Indiana Jones, il a fait une violente sortie écologiste sur le plateau de France 2. Cette colère était-elle simulée ? Était-il conscient que son amour des jets pouvait sembler contradictoire ?

    La « Science » au secours du conformisme arc-en-ciel

    En tout cas il a récité le crédo climatiste sans faute : « Si on ne se bouge pas le cul maintenant, on va perdre cette planète ! » Il a laissé tomber ses foudres sur l’inaction des gouvernements et l’ignorance de la population. « La science est la science, basée sur des faits, ce n’est pas une opinion, Il faut respecter la science, elle nous a apporté les médicaments, elle nous a apporté l’espace. […] Écoutons la science, écoutons ce que nous dit le monde. Il nous dit qu’il est abîmé, attaqué, que nous détruisons la capacité de la nature à nous servir. » Sous le très artistique trémolo indigné on reconnaissait l’argument majeur de la révolution arc-en-ciel : la science, son autorité nécessaire, le consensus scientifique. La science qui impose de croire que l’homme réchauffe le climat, que manger de la viande est une faute, que les races n’existent pas, que les frontières sont mauvaises, qu’il y a une infinité de genres, etc. Un festival de mensonges, mais de mensonges dominants, qui ouvrent la porte à la révolution arc-en-ciel.

    PAULINE MILLE

     

    Source : http://view.robothumb.com/leblogalupus.com/