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  • VIVE LE KOSOVO SERBE ! VIVE L'ARTSAKH LIBRE, PARTIE INTÉGRANTE DE L'ARMÉNIE !

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023

    lafautearousseau

    Hier, nous parlions ici-même de nos frères du Kosovo, pour, modestement et avec nos trop faibles moyens, au moins dire qu'ils sont chez eux, chez eux, dans leur terre du Kosovo serbe, et qu'ils sont fondés à reprendre, fût-ce par la force, ce qu'on leur a injustement enlevé, par la force...

    Nous exprimons aujourd'hui - une fois de plus !... - notre soutien à d'autres frères : ceux d'Arménie, en général, et de l'Artsakh, en particulier : ils sont en première ligne face à l'agression brutale et haineuse de l'Islam expansionniste exterminateur, comme en 1915...

    Au moins, nous ne les oublions pas, nous ne restons pas indifférents : mieux vaut allumer une lumière, si petite soit-elle, que de maudire l'obscurité...

    https://factuel.media/blogs/blog-articles/quel-avenir-pour-les-120-000-armeniens-du-haut-karabagh_ba_20506902

    Paris : Rassemblement pour Artsakh

     

    VIVE LE KOSOVO SERBE !

     

    VIVE L'ARTSAKH LIBRE,

     

    PARTIE INTÉGRANTE DE L'ARMÉNIE !

     

     

  • Agression mortelle et violence : l’ensauvagement sur les terrains de foot

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023

    Paul n’avait que 15 ans. Passionné de football depuis son plus jeune âge, ce jeune Allemand évoluait au JFC Berlin. Dimanche dernier, en marge de la demi-finale de la Germany Cup que son club disputait contre l’équipe française du FC Metz, le jeune adolescent a été mortellement agressé. Selon les différents témoignages recueillis par le parquet, une « bataille rangée » aurait éclaté entre les deux équipes. L’agresseur présumé, jeune footballeur de Metz, aurait commencé par frapper au visage l’un de ses adversaires. Rapidement, il aurait ensuite dirigé ses coups contre Paul. À l’aide ses deux poings, il l’aurait alors violemment frappé à la gorge avant de l’étrangler et de lui assener un coup dans l’estomac. Alors qu’il se libérait de la menace, le jeune Allemand aurait fini par recevoir un coup sec sur la tête et se serait effondré. Le joueur de Metz aurait alors quitté les lieux sans lui porter assistance. Malgré l’intervention rapide des secours, Paul est déclaré en état de mort cérébrale. Interpellé et placé en détention, l’agresseur présumé, de confession musulmane, aurait présenté ses excuses et assuré la famille de la victime de ses prières.

    Cette violente agression, qui entraîne des réactions jusqu’au Royaume-Uni, laisse l’Allemagne et le monde du football sous le choc. Outre-Rhin, Iris Spranger, ministre de l’Intérieur de Berlin, s’est ainsi exprimée, sur Twitter : « Qu’un jeune joueur perde la vie après un match de football me laisse sans voix. Je souhaite à la famille, aux amis et à l’équipe beaucoup de courage dans ces moments obscurs. » Pour la Fédération allemande de football, cette agression mortelle est le signe que « nous avoir à faire à un problème de société ». Côté français, le FC Metz, qui a adressé ses condoléances à la famille de la victime, indique rester à la disposition des enquêteurs.

    Ensauvagement

    Il est loin, le temps où le football amateur n’était qu’une activité sportive et familiale des dimanches après-midi. Si les affrontements mortels sur les terrains restent encore un phénomène exceptionnel, la montée de la violence dans le milieu du football est, quant à elle, bien réelle. Dans le Pas-de-Calais, le président de l’US Noyelles-sous-Lens, las, a ainsi décidé de fermer les portes de son club. Menacé par un joueur exclu d’une rencontre, il aurait ensuite été insulté et giflé au bord du terrain avant de découvrir le local de l’auto-école, dont il est le gérant, ravagé par les flammes. Quelques semaines plus tôt, le président du club de Saint-Martin-du-Mont (Ain) était lui aussi victime d’une agression en marge d’un match disputé par ses jeunes joueurs. Dans les Côtes-d’Armor, l’US Prat est sous le choc depuis l’agression violente dont a été victime l’une de ses joueuses, en janvier dernier. À la fin du match, alors qu’elle se retrouve au sol, elle reçoit « volontairement » un coup de pied à la tête porté par l’une de ses adversaires. Transportée à l’hôpital pour des douleurs aux cervicales, ses parents décident de porter plainte. Face à cette violence, si les joueurs sont en première ligne, les arbitres ne sont pas non plus épargnés. Ainsi dans le Morbihan, sur les dix sanctions de plus de trois mois prononcées contre des joueurs la saison dernière, sept concernaient des atteintes physiques contre les arbitres. Enfin, quand elle n’est pas sur le terrain, la violence se propage dans les gradins. Des parents, prêts à tout pour voir leur enfant réussir, finissent par s’invectiver et se bagarrer dans les tribunes.

    Pourtant, à en croire la Fédération française de football, la violence sur les terrains n’existe pas. Dans son dernier baromètre, elle estime ainsi qu’à peine 2 % des rencontres sont émaillées d’incidents. Mais pour Jean-Jacques Demarez, secrétaire général de l’Union nationale des arbitres de football (UNAF), interrogé par Causeur en janvier 2017, ces chiffres ne sont pas « sérieux ». « Les districts ne font pas remonter les plaintes pour préserver leur image. Tout le monde le sait. Dans le football, on se voile la face », précise-t-il.

    Pour comprendre cette violence, inutile de chercher bien loin. Les terrains de football ne sont que le reflet de l’ensauvagement qui gagne notre société. Si, au lendemain de la première victoire des Bleus en Coupe du monde, le football était présenté comme un vecteur d’intégration, aujourd’hui, force est de constater qu’il n’est plus qu’un symptôme parmi d’autres de notre décivilisation.

     
     
     
     
  • La Russie disposera bientôt d’une base militaire en Centrafrique

    Publié par Guy de Laferrière le 01 juin 2023

    La coopération militaire entre la Russie et la Centrafrique se renforcera par une base militaire russe sur le territoire centrafricain
    La coopération militaire entre la Russie et la Centrafrique se renforcera par une base militaire russe sur le territoire centrafricain

    L’ambassadeur centrafricain à Moscou a fait savoir que son pays était prêt à accueillir une base militaire russe. Celle-ci pourrait rassembler jusqu’à 10.000 soldats russes. Le président Touadéra fera un déplacement à Saint-Pétersbourg pour le sommet Russie-Afrique.

    C’est un véritable camouflet pour Emmanuel Macron qui confirme l’échec de sa politique africaine marquée par une arrogance déplacée. La coopération entre la Centrafrique et la Russie fait l’objet d’un entretien accordé par l’ambassadeur centrafricain à Moscou au quotidien russe Izvestia, dans lequel il évoque une augmentation considérable de l’aide militaire russe à son pays. L’ambassadeur Léon Dodonu-Punagaza a clairement évoqué la construction d’une « base militaire » russe sur le territoire centrafricain.

    Selon le diplomate, cette base militaire pourrait accueillir, à terme, « 5 à 10 000 soldats russes ». « Si nécessaire, ces troupes pourraient être utilisées dans d’autres pays » d’Afrique centrale, a-t-il ajouté. Le Soudan, voisin de la Centrafrique, vit depuis un mois et demi au rythme du conflit opposant les troupes d’Abdel Fattah al-Burhane et Mohamed Hamdan Dagalo, tandis que la situation dans l’est de la RDC a aussi alerté Moscou.

    Le prochain sommet Russie-Afrique promet d’être un grand moment à suivre, avec une redistribution des cartes géopolitiques.

    Nsango ya Bisu ia medias-presse.info

  • Dispersion façon puzzle

    Publié par Guy de Laferrière le 01 juin 2023

    dispresion,immigrés comoriens,puzzle

    Dispersion façon puzzle

    Le grand remplacement n’existe pas, mais un rapport parlementaire préconise de répartir les immigrés comoriens sur l’ensemble du territoire français. Or, à Mayotte, 90% des consultations en PMI sont des mères comoriennes.

    Ce rapport, rédigé par Laurent Marcangeli, député Horizons de Corse, et Estelle Youssouffa, députée Liot de Mayotte, est présenté en plein débat sur l’immigration et livre des chiffres sur la santé à Mayotte. Comme l’île grecque de Samos et l’île italienne de Lampedusa, Mayotte est en proie à une importante immigration illégale, avec des services publics asphyxiés (sécurité, santé, éducation…), des difficultés d’approvisionnements (en eau et nourriture).

    90% des consultations en PMI sont des mères comoriennes, mais on apprend aussi que l’an dernier, l’Hôpital de Mamoudzou a soigné presque autant de Français que d’étrangers. 93 626 Français contre 85 567 étrangers.

    Le rapport fait des recommandations avec notamment l’instauration de l’Aide Médicale d’Etat à Mayotte… et préconise la fin du “Visa Territorialisé à Mayotte”, un léger détail qui fait qu’un Comorien régularisé ne peut pas quitter Mayotte. Or, cette carte de séjour “territorialisée” sur l’île empêche les bénéficiaires bloqués sur l’île de quitter le département, sauf s’ils remplissent les conditions précises définies par l’administration, avec notamment des “attaches familiales en France”, des “services rendus à la France” ou si le demandeur bénéficie “d’une protection internationale”. Faire sauter ce verrou permettrait de répartir sur l’ensemble du territoire français l’immigration comorienne.

     

    Source : lesalonbeige

  • Ecoles libres : l’armistice n’a jamais eu lieu dans cette fameuse guerre qui remonte à la Révolution française

    Publié par Guy de Laferrière le 01 juin 2023

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    Suite à la volonté du ministre d’obliger l’enseignement sous contrat à faire de la mixité sociale, Anne Coffinier écrit dans La Nef :

    […] Le Secrétariat de l’Enseignement catholique n’a donc pas eu d’autres choix que se prêter au jeu. À court terme, il a gagné puisque le protocole d’accord Ndiaye/Delorme n’oblige pas les établissements privés sous contrat à un quota chiffré annuel d’élèves d’origine sociale défavorisée ou en difficulté scolaire. Il gagne aussi en ayant réussi à conditionner les efforts de mixité sociale à la perception par les écoles privées sous contrat du même montant d’aides sociales (notamment pour la cantine) de la part les collectivités locales que ce que reçoivent les écoles publiques. Mais à moyen terme, rien n’est garanti, surtout que l’Enseignement catholique a accepté de publier désormais les tarifs et la politique sociale pratiqués par chaque établissement sous contrat. Il est plus que probable que l’État, sur la base de ces données, imposera bientôt des quotas contraignants par école et restreindra drastiquement la liberté de recrutement des élèves.
    À droite, nombreux sont ceux qui ont accusé le gouvernement de prendre la responsabilité de « rouvrir la guerre scolaire » en voulant amputer la liberté de recrutement des élèves par les écoles privées sous contrat. Mais il faut bien reconnaître que l’armistice n’a jamais eu lieu dans cette fameuse guerre qui remonte à la Révolution française : il suffit pour s’en convaincre de se souvenir de la suppression à l’été 2021 de l’école à la maison ou de l’enchaînement de lois depuis 2018 pour restreindre les libertés des écoles privées indépendantes. Dans cette guerre, l’Enseignement catholique s’est bien moins mobilisé pour défendre la liberté d’enseignement et les libertés éducatives des familles qu’il ne l’a fait pour conquérir des avantages financiers au profit des écoles sous contrat.

    Les parents veulent la liberté de choix

    Aujourd’hui, et c’est assez peu souligné, les motifs justifiant politiquement le financement de l’école privée par l’État ne sont plus évidents. La loi Debré de 1959 prévoyait un secteur privé subventionné par l’État pour assurer la liberté de religion et permettre aux Français qui le désiraient de choisir « l’école avec Dieu » quand l’État proposait « l’école sans Dieu », comme le chantait Michel Sardou. Aujourd’hui, ce n’est pas pour la religion mais pour le niveau scolaire et la sérénité qu’elle offre que l’école privée est recherchée par les parents. Si l’État doit la financer, c’est désormais davantage au nom du droit au choix de l’école et à la liberté éducative qu’en raison de la liberté religieuse. En conséquence, deux réalités deviennent difficilement compréhensibles – et donc difficilement admissibles : la première est que l’État ne laisse pas plus de 20 % des élèves rejoindre les écoles privées sous contrat, alors que 60 % des Français le désireraient et que c’est un droit démocratique pour eux de pouvoir le faire. La seconde est les discriminations financières que fait peser l’État sur les familles qui choisissent une école privée. Rien ne permet de justifier le caractère payant des écoles privées sous contrat, puisque le principe du libre choix de l’école est reconnu et que l’enjeu n’est plus supposé être d’arracher à l’Église un maximum d’enfants pour enraciner la République.

    Un sondage du 22 mai 2023, réalisé par l’IFOP, vient de montrer que les Français sont conscients du caractère très inégalitaire de notre système et qu’ils sont prêts à des changements importants. Pour augmenter l’égalité des chances, près de 6 Français sur 10 réclament une intervention de l’État en faveur du libre choix de l’école publique comme privée, c’est-à-dire la suppression de la carte scolaire régissant les affectations d’élèves entre les écoles publiques, et la prise en charge des frais de scolarité qui sont jusqu’à présent à la charge des parents choisissant une école privée. Cette enquête d’opinion est très encourageante et montre les progrès de la confiance en la liberté d’enseignement dans l’opinion publique. Pouvoir choisir son école publique ou privée au regard des besoins concrets de chaque enfant apparaît comme une évidence de plus en plus largement reconnue. Mais les Français veulent que ce choix se marie à la possibilité de côtoyer des enfants de tous horizons pour que l’école reste le creuset de la nation. En attendant que l’État subventionne le privé autant que le public, il faut instaurer des bourses sociales pour permettre aux enfants méritants d’origine humble d’intégrer les écoles privées. C’est justement ce que font les bourses d’accessibilité délivrées par la Fondation Kairos pour l’innovation éducative.

     

    Source : lesalonbeige