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  • L’antichristianisme juif à Jérusalem testé par un journaliste abasourdi

    Publié par Guy de Laferrière le 05 juillet 2023

    Un journaliste s'est habillé en franciscain pour tester l'antichristianisme juif dans les rues de Jérusalem
    Un journaliste (à droite) s’est habillé en franciscain pour tester l’antichristianisme juif dans les rues de Jérusalem ©Capture d’écran/Channel 13

    Il se développe une certaine prise de conscience de l’antichristianisme juif très perceptible dans les rues de Jérusalem. Le sujet a même fait récemment l’objet d’un colloque universitaire à Jérusalem avec comme intitulé : « Pourquoi certains juifs crachent-ils sur les gentils ? »
    La chaîne de télévision israélienne Channel 13 a fait réaliser une enquête sur la multiplication des actes anti-chrétiens en Israël. Pour ce faire, le journaliste Yossi Levi a revêtu la bure franciscaine et a accompagné un véritable franciscain dans les rues de Jérusalem. Il marchait depuis seulement cinq minutes lorsqu’il s’est fait cracher dessus pour la première fois.

    Accompagné du frère Alberto Pari, secrétaire de la Custodie de Terre Sainte, qui parle parfaitement hébreu, le journaliste israélien Yossi Eli, revêtu de la bure franciscaine, a ensuite essuyé les railleries d’un autre homme. Puis c’est un enfant âgé d’à peine huit ans qui leur crache dessus. Ensuite, au mont Sion, lieu où les tensions inter-religieuses sont régulières, ils croisent un groupe de soldats en service militaire dont l’un crache à leurs pieds. Le journaliste n’en peut plus, ôte la bure franciscaine et interpelle les jeunes soldats.

    Les conclusions de son reportage sont, pour lui, « très difficiles à digérer ». « Imaginez quelle aurait été la réaction de ces juifs si un chrétien leur avait craché dessus en Europe », ajoute-t-il.

    Ces gestes de haine antichrétienne ne sont ni isolés ni nouveaux. Le phénomène connaît cependant une croissance exponentielle ces derniers mois. Les rapports de police les justifient régulièrement par « l’instabilité mentale » de leurs auteurs. « Ce n’est pas vrai, explique le journaliste Yossi Eli, dans un post Facebook. Notre enquête a prouvé que les attaques ne provenaient pas vraiment de malades mentaux, mais de personnes qui détestent tout ce qui est différent. On leur a lavé le cerveau avec l’idée que Jésus est mauvais. »

    Interviewé dans le documentaire de Channel 13, le frère Francesco Patton, Custode de Terre Sainte, note que les attitudes antichrétiennes se sont multipliées « lorsque le langage politique est devenu plus violent » et souligne « la responsabilité des dirigeants, de ceux qui ont le pouvoir ».

     

    Source : medias-presse.info

  • Le « vivre ensemble » est une chimère.

    Publié par Guy de Laferrière le 04 juillet 2023

    À la différence d'un grand nombre d'afro-maghrébins occupant notre pays, les Français de souche ne ressentent aucune solidarité ethnique avec les délinquants et criminels blancs. Ceux-ci s'excluent eux-mêmes de la communauté nationale par leur comportement asocial et se retrouvent naturellement marginalisés.
    Il s'agit d'un fossé civilisationnel fondamental. Pour les allogènes, la haine viscérale du pays d'accueil et de ses symboles d'autorité prime largement sur toute notion d'honnêteté, de respectabilité et de probité individuelle. Pour ces gens-là, soutenir une petite crapule comme Nahel Mezrouk tombe sous le sens. Ils s'identifient sans difficulté à ses proches ou à lui-même.
    Le « vivre ensemble » est une chimère. Notre société multiraciale est une poudrière constamment prête à exploser à la moindre étincelle.
    L'unique salut possible pour le peuple français est la remigration d'une majorité d'extra-européens. Tout le reste n'est qu'illusion et voué à l'échec.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
    Peut être une image de foule et texte
     
     
     
     
     
     
     
     
  • La France rapatrie 10 femmes et 25 enfants des camps de prisonniers jihadistes en Syrie ; 132 enfants et 55 femmes ont ainsi été rapatriés lors de 4 opérations depuis un an

    Publié par Guy de Laferrière le 04 juillet 2023

    Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a annoncé avoir procédé au rapatriement de 10 femmes et 25 enfants des camps de prisonniers jihadistes en Syrie.

    La France a procédé mardi au rapatriement de 25 enfants et de 10 femmes qui étaient détenus dans des camps du nord-est de la Syrie, a fait savoir le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué, ajoutant remercier l’administration du nord-est syrien pour sa coopération.

    […]

     

    BFMTV via fdesouche

  • Vladimir Poutine s’entretient avec Mahmoud Abbas… la Russie renforce ses liens avec la Palestine et s’éloigne d’Israël

    Publié par Guy de Laferrière le 04 juillet 2023

    Les deux parties ont exprimé leur volonté de poursuivre le développement progressif des relations russo-palestiniennes traditionnellement amicales. La Russie a réaffirmé sa position de principe en faveur d’une solution juste et durable au conflit palestino-israélien sur la base juridique internationale existante.

    M. Poutine a réaffirmé le “soutien indéfectible de la Russie au peuple palestinien dans la réalisation de ses aspirations à la liberté et à l’indépendance, avec l’établissement d’un État indépendant avec Jérusalem-Est comme capitale”.

    Le président russe a également félicité Mahmoud Abbas et tous les Palestiniens pour l’Aïd al-Adha. Il a été convenu de poursuivre les contacts entre les deux parties.

    Quand la Russie rappelle Israël à l’ordre

  • 3 juillet 1940 : la trahison gaullo-britannique à Mers el-Kebir

    Publié par Guy de Laferrière le 03 juillet 2023

     
    L’armistice franco-allemand du 18 juin 1940 consacre l’échec de nos armées sur terre ; notre flotte, une des plus puissantes qui n’avait pas été vaincue, est libre. Ni l’amiral Darlan, ni le général Weygand n’ont l’intention « …de livrer à l’ennemi une unité quelconque de notre flotte de guerre » et même de Gaulle le dira, le 16 juin à Churchill en ces termes  « La flotte ne sera jamais livrée, d’ailleurs, c’est le fief de Darlan ; un féodal ne livre pas son fief. Pétain lui-même n’y consentirait pas ».

    Les Anglais, de leur côté, désirent que notre flotte, riche en unités lourdes et légères, se rende dans leurs ports. Hitler ne demande pas livraison de notre flotte (le projet d’armistice ne le prévoyant d’ailleurs pas), pas plus que de nos colonies, sachant qu’il n’est pas dans nos intentions d’accepter de telles exigences.

    Mieux abrité que Gibraltar, le port de Mers el-Kébir possède une des rades les plus belles et les plus sûres de l’Algérie. Les clauses de l’armistice ont été scrupuleusement observées, et dans le délai qui avait été fixé. Sur nos bâtiments, les culasses des pièces ont été démontées ; il en a été de même dans les batteries de côtes et de D.C.A. Dans les hangars d’aviation, les mesures de démobilisation ont été prises ; on a vidé les réservoirs de leur essence, démonté les canons des chasseurs et les mitrailleuses de tous les appareils ; les munitions ont été rassemblées et mises en dépôt.

    L’agression britannique

    Le 27 juin 1940, Churchill, en dépit des assurances données par le gouvernement Français, décide, dans le plus grand secret, de mettre « hors d’état de nuire » la marine française. Cette opération aura pour nom Catapult.

    Vers 7 heures du matin, un torpilleur anglais, le Foxhound, se présente devant Mers El-Kébir. Un premier message annonce qu’il a à son bord un officier britannique, chargé d’apporter au commandant en chef de la flotte de l’Atlantique une communication de la plus haute importance. Mais une véritable force navale l’accompagne : le Hood, bâtiment de 42000 tonnes, le plus grand cuirassé du monde, armé de pièces de 380 ; le Vaillant, la Résolution, armés également de pièces de 380 ; l’Ark-Royal, le plus rapide des porte-avions anglais, tous escortés de bâtiments légers et de torpilleurs.

    Un officier d’état-major français est envoyé par l’amiral Gensoul à la rencontre de l’officier britannique, le commandant Holland. Celui-ci est porteur d’un document qu’on peut résumer ainsi :

    « La flotte de l’Atlantique est invitée à rallier la flotte britannique, ou à défaut, un port de l’Amérique, avec équipages réduits. En cas de refus de cette offre, elle devra se saborder, sinon, par ordre du gouvernement de Sa Majesté, la flotte britannique usera de la force. »

    L’amiral Gensoul réaffirma au parlementaire britannique que les craintes de voir les bâtiments français tomber aux mains des Allemands et des Italiens étaient injustifiées : « La marine française n’a pas l’habitude de manquer à sa parole ! », s’exclama-t-il.

    Plus tard, il affirmera qu’il ne pouvait accepter « un ultimatum se terminant par : « ou vous coulez vos bateaux ou je vous coule. C’est exactement : la bourse ou la vie… quelquefois, on donne sa bourse pour sauver sa vie. Dans la Marine, nous n’avons pas cette habitude-là »

    Dès 14h, heure approximative de l’expiration de l’ultimatum, les avions de l’Ark Royal volant sur l’eau déposent des mines magnétiques, à l’entrée du port et de la rade de Mers El-Kébir. L’escadre française est pratiquement bloquée.

    A 16h56, la flotte anglaise commence le feu. Abritée derrière l’éperon rocheux du fort de Mers El-Kébir, elle tire à cadence accélérée sur nos bâtiments qui cherchent à sortir de la rade. Les consignes s’exécutent partout avec ordre, à Oran comme à Kébir. Après 12 ou 15 minutes de « tir au gîte », les batteries côtières du Santon et de Canastel répondent au feu des Anglais ; le Strasbourg sort des passes. Le bilan s’établit ainsi : le croiseur Bretagne, atteint, explose, coule en sept minutes et disparaît sous l’eau : 150 hommes seulement sur 1300 fuient la mort, soit à la nage, soit en chaloupes. Le croiseur Dunkerque, n’ayant pu prendre la mer, à cause d’une avarie à son gouvernail, reçoit un obus qui tue 150 marins, plus de 100 mécaniciens et chauffeurs, 2 ingénieurs… Le bâtiment est hors de combat. Le croiseur Provence, touché, peut par ses propres moyens, aller s’échouer sur la côte de Kébir : il y a 4 morts. Le contre-torpilleur Mogador X61, incendié par l’arrière, s’échoue et compte 14 morts. Le Rigaut de Genouilli est atteint, seul le Commandant Teste, non cuirassé, amarré à la jetée en construction, est intact. Le Strasbourg fonce vers la haute mer, part vers Alger, puis Toulon.

    Et partout ces mêmes visions apocalyptiques ;  parmi les carcasses d’acier éventrées, calcinées, retentissaient les cris déchirants de centaines et de centaines de marins agonisants, mutilés, brûlés ou suffoquant au milieu d’une fumée âcre et d’un mazout noirâtre qui étouffent leurs dernières plaintes.

    Le drame n’est pas terminé pour autant. La haine ancestrale de nos « alliés » allait se concrétiser ce 6 juillet 1940. A 6h30, par trois fois en vagues successives, des avions britanniques survolent la rade, à basse altitude, déposent des mines magnétiques entre le Dunkerque et la passe, prennent le navire comme cible. Torpilles et bombes atteignent le bâtiment qui s’enfonce et échoue sur le fond, en donnant de la bande. Les trois chalutiers ou remorqueurs, coopérant à l’évacuation des morts du 3 juillet, sont coulés à leur tour. La D.C.A  côtière, les batteries du Santon, Bel Horizon et Lamoune, les mitrailleuses installées sur la côte, au stade de la Marsa et à l’usine électrique répondent. Le drame, c’est que cette attaque fera encore 205 tués et 250 blessés atteints gravement.

    Au total, la marine française déplore plus de 1927 morts ou disparus et plusieurs centaines de blessés dont la plupart gravement brûlés. Deux avions anglais sont abattus.

    Les marins anglais ont tué en une semaine plus de marins français que la Flotte allemande pendant toute la seconde guerre mondiale. Nous ne sommes pas loin des 2403 morts du drame de Pearl Harbor, qui décida de l’entrée en guerre des Etats-Unis d’Amérique, à ceci près que les Japonais étaient leurs ennemis, alors que les Anglais étaient censés être nos alliés. C’est là un crime inqualifiable… impardonnable. Une trahison, mais pas la seule de cette affaire.

    La trahison gaulliste

    Le 8 juillet, De Gaulle, parlant au micro de la BBC, déclare :

    « En vertu d’un engagement déshonorant, le gouvernement qui fut à Bordeaux avait consenti à livrer nos navires à la discrétion de l’ennemi… J’aime mieux savoir que le « Dunkerque » notre beau, notre cher, notre puissant « Dunkerque » échoué devant Mers El-Kébir, que de le voir un jour, monté par les Allemands, bombarder les ports anglais, ou bien Alger, Casablanca, Dakar. » … et pas le moindre mot de compassion envers les victimes de cette tragédie.

    Contrevérité dans la bouche du prétendu « général » français : Alger, Casablanca, Dakar, donc les clés de l’Empire, allaient être utilisées contre les alliés britanniques.

    Mers El-Kébir explique en grande partie l’attitude de bon nombre de nos gouvernants de Vichy durant le conflit comme elle explique aussi celle des autorités civiles et militaires d’Algérie en 1942-1943 et d’une population acquise au Maréchal Pétain.

    L’Afrique du Nord, malgré son traumatisme, rentrera en guerre en 1942 et sera avec son « armée d’Afrique », l’une des composantes de la victoire alliée. Elle conservera, néanmoins, son hostilité à de Gaulle, devenu président du Comité de la Libération. Il se souviendra toujours de ce sentiment d’inimitié à son égard et, dès 1958, remis au pouvoir par ceux-là mêmes qui l’avaient blâmé, leur fera supporter amèrement le poids de sa rancune… Enième de ses trahisons !

    Jose Castano

    Source : Le blog de Jose castano