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  • La Russie se retire de l’accord sur les céréales, les Occidentaux ne tenant pas leurs promesses à son égard

    Publié par Guy de Laferrière le 18 juillet 2023

    La Russie se retire de l'accord sur les céréales
    La Russie se retire de l’accord sur les céréales

    L’Occident et l’Ukraine ont désespérément besoin que l’accord sur le blé soit prolongé. Ce ne sont pas les Africains affamés qui ont besoin de blé ukrainien, comme le répètent faussement nos médias ; ce sont des Européens. Mais la Russie s’est retirée aujourd’hui de l’accord et reprendra les pourparlers sur l’accord sur le blé « lorsque toutes les conditions seront remplies », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

    La Russie « reviendra immédiatement à la mise en œuvre de l’accord dès que la partie russe des accords sera satisfaite » a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov

    L’accord qui permettait jusqu’alors à l’Ukraine d’exporter des céréales depuis ses ports de la mer Noire a cessé d’avoir effet. La Russie reviendra en parler « lorsque toutes les conditions seront réunies » a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, arguant que la partie de l’accord concernant Moscou n’aurait pas été respectée. D’où le recul de la Fédération de Russie qui, a expliqué Peskov lui-même, « reviendra immédiatement à la mise en œuvre de l’accord dès que la partie russe des accords sera satisfaite ».

    « L’accord de la mer Noire a cessé de fonctionner aujourd’hui », a déclaré Peskov, après que la Russie a affirmé à plusieurs reprises ces dernières semaines que « les obstacles » à ses exportations de céréales et d’engrais n’avaient pas été levés.

    L’Initiative sur le blé de la mer Noire, ou Accord sur le blé, a été paraphé à Istanbul le 22 juillet 2022. Les Nations Unies, la Russie, la Turquie et l’Ukraine ont signé deux documents pour ouvrir un corridor céréalier à partir de trois ports ukrainiens (Tchernomorsk, Odessa et Yuzhny) et lever les restrictions sur les exportations russes de produits alimentaires et d’engrais.

    L’accord autorisait effectivement les expéditions internationales de maïs, de blé, d’orge et d’autres produits alimentaires en provenance de Kiev. Cet accord sur le grain comportait deux volets. L’un était l’accès des navires aux ports ukrainiens.

    L’autre était l’exportation normale de céréales et d’engrais de Russie. Alors que la Russie a facilité la première partie de l’accord, ‘l’Occident’ a collectivement bloqué la seconde partie.

    Face au scénario du retrait de la Russie, le secrétaire général des Nations unies a été à Moscou proposer un compromis : le raccordement de la Banque agricole russe à SWIFT

    Face au scénario du retrait de la Russie, qui serait un coup dur pour l’Occident qui a besoin de céréales ukrainiennes pour nourrir sa population, tandis que l’Ukraine a besoin de céréales pour insuffler un peu d’air dans son économie étouffée, une proposition de compromis a été faite non par Joe Biden, ni Ursula von der Leyen, ni Charles Michel ou ni Josep Borrell mais par le secrétaire général des Nations unies afin de donner à la proposition le moins de connotations politiques que possible et pour sauver la face. « Antonio Guterres, a proposé au président russe de prolonger un accord permettant l’exportation en toute sécurité de céréales d’Ukraine vers la mer Noire en échange de la connexion d’une succursale de la Banque agricole russe au système de paiement international SWIFT », ont déclaré des sources à Reuters.

    Comme on le sait, la connexion de la Russie à SWIFT a été interrompue par l’Union européenne en juin 2022 en raison de l’invasion russe de l’Ukraine. Un porte-parole de l’UE avait d’ailleurs déclaré en mai que l’UE n’envisageait pas de rétablir les banques russes. Aujourd’hui, cependant, « l’UE envisage de lier une filiale de Rosselkhozbank à SWIFT pour permettre spécifiquement les transactions de céréales et d’engrais ».

    Une grosse couleuvre que l’Occident doit avaler : l’UE était convaincue, en l’excluant de SWIFT, qu’elle avait porté un coup mortel à l’économie russe et décisif pour isoler la Russie, en en proie au monde entier. Et c’est elle qui risque gros si la Russie sort de l’accord des céréales car il s’avère que ce ne sont pas les Africains affamés qui ont besoin de blé ukrainien, comme le répètent faussement nos médias, ce sont les Européens.

    La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré la semaine dernière que Moscou ne serait pas satisfaite de la proposition de Guterres

    Une enquête récente du média autrichien eXXpress révèle que près de la moitié des exportations ukrainiennes de blé et de maïs vers l’UE ont fini par nourrir des porcs en Espagne pour produire son jambon de renommée mondiale. Selon eXXpress, seuls 15 % des exportations se sont retrouvées dans des pays menacés de famine, dont 167 000 tonnes en Éthiopie et 65 000 tonnes au Soudan. L’Espagne, en revanche, a reçu 2,9 millions de tonnes de blé et de maïs d’Ukraine.

    La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré la semaine dernière que Moscou n’était pas satisfaite de la proposition de Guterres car il faudrait « de nombreux mois » pour ouvrir une succursale et encore trois mois pour la connecter à SWIFT ». Et aujourd’hui Moscou a donc fait savoir que tant que toutes les conditions de l’accord ne seront pas réunies, la Russie se retirait.

    La Russie ne va pas pour autant affamer l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient

    Si les médias mensongers titrent que la Russie va affamer l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient souvenez-vous que la réalité est toute autre.

    Non seulement la Russie, qui intelligemment ménage ses alliés et ses soutiens, continuera à livrer gratuitement beaucoup plus de céréales aux pays des continents africains et asiatiques et du Moyen-Orient, mais l’information selon laquelle la majeure partie des céréales ukrainiennes est allée, depuis le début du conflit, aux pays de l’Union Européenne est du domaine public, l’Asie et l’Afrique n’ayant reçu que 3 à 4 % de cette “part du gâteau”.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  •  L'Observatoire de l'immigration et de la démographie communique :

    Publié par Guy de Laferrière le 17 juillet 2023

     L'Observatoire de l'immigration et de la démographie communique :

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    Source : lafautearousseau

  • Coup de théâtre à Bruxelles : Zelensky éjecté du sommet UE-CELAC suite à l’opposition de l’Amérique latine

    Publié par Guy de Laferrière le 17 juillet 2023

    Les tensions entre Zelensky et les pays d’Amérique latine sont exacerbées par l’attitude du président ukrainien et sa proximité avec les États-Unis. L’Amérique latine affiche ouvertement son soutien au président russe Vladimir Poutine, mettant ainsi en évidence sa position influente et affirmée.

    C’est une énième défaite pour le président ukrainien puisque les dirigeants de 33 pays d’Amérique latine et des Caraïbes ont insisté pour supprimer tous les paragraphes sur le soutien à l’Ukraine du projet de déclaration finale de l’événement. La CELAC (Communauté d’États latino-américains et caraïbes) a soumis une contre-proposition au projet de texte qui lui a été transmis par Bruxelles, supprimant tous les éléments concernant l’Ukraine.

    Cette décision fracassante a mis l’Espagne — qui occupe actuellement la présidence du Conseil de l’Union européenne — dans une position des plus embarrassantes, étant donné que c’est elle qui avait initialement adressé l’invitation à Zelensky. Toutefois, face à l’opposition farouche des dirigeants latino-américains, l’Espagne n’a eu d’autre choix que de se plier à leur volonté et d’annuler l’invitation de manière définitive et sans appel.

     

    La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’était engagée à travailler avec chaque pays du monde pour exiger qu’ils expriment clairement leur position concernant l’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine… elle ne s’attendait pas à un tel revers.

    Source

  • Le gros mensonge de la fin du numerus clausus en médecine

    Publié par Guy de Laferrière le 17 juillet 2023

    Le gros mensonge de la fin du numerus clausus en médecine

    La France se dirige vers une véritable catastrophe sanitaire. “L’âge moyen des médecins inscrits au Tableau de l’Ordre est de 57,2 ans”. Et, parmi eux, plus de la moitié (50,4%) a effectivement plus de 60 ans.

    Or, Challenges montre que la fin du numerus clausus en médecine est un gros mensonge.

    Alors que la population vieillit, que l’hôpital connaît une crise sans précédent et que les déserts médicaux s’accentuent, le gouvernement n’a relevé que de 15% le numerus “apertus” qui retrouve seulement le niveau de formation des années 1970, alors que nous étions 15 millions d’habitants de moins.

    Les résultats dans les facultés de médecine sont maintenant connus. Le couperet est sévère. Les heureux élus ne sont pas nombreux : parfois moins d’une centaine par université pour 1.000 à 1.500 candidats. Comme chaque année, les candidats déçus viendront fournir les bataillons d’étudiants français qui poursuivront leurs études de santé dans les universités européennes en Roumanie, Espagne, Portugal, Belgique, Italie avec des cursus en français pour certaines. A la clé des diplômes qui comme en Roumanie disposent parfois d’une meilleure reconnaissance internationale que le diplôme français.

    “Il n’y a, à ce jour, toujours aucune étude qui permet de documenter avec précision le phénomène de fuite de cerveau à l’étranger”, précise Emmanuel Touzé, doyen de la faculté de Caen et président de l’Observatoire national des professions de santé (ONDPS). En attendant, le gouvernement communique tambour battant sur la suppression du numerus clausus qui doit permettre de régler définitivement à compter de 2035 les déserts médicaux. Courbes à l’appui de la DREES (direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques), les projections de la densité de médecins en activité prévoient une courbe exponentielle qui doit permettre de largement compenser les trous de la démographie médicale des années 2000- 2030.

    Manquant de médecins, la France penche naturellement vers l’élimination des malades…

     

    Source : lesalonbeige

  • Prions pour la France, prions pour le Roy

    Publié par Guy de Laferrière le 16 juillet2023

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