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  • Des sénateurs réclament l’ouverture des églises aux activités non cultuelles

    Publié par Guy de Laferrière le 11 août 2023

    Des sénateurs réclament l’ouverture des églises aux activités non cultuelles

    Le Monde publiait hier une tribune signée du sénateur communiste Pierre Ouzoulias et des sénatrices Anne Ventalon (LR) et Catherine Morin-Desailly (centriste) dont la thèse générale, après s’être félicité du “relativement bon état” des églises de France (pensez donc: il n’y aurait “que” 500 églises fermées et entre 2500 et 5000 dans une situation préoccupante!), est de contester “l’affectation exclusive” des églises au culte.

    Ces parlementaires ne manquent pas d’air! La Révolution a volé le patrimoine de l’Eglise en 1790 (patrimoine dont on ne rappellera jamais assez qu’il n’entretenait pas seulement les prêtres et le culte, mais encore les écoles, les hôpitaux, les universités, l’assistance publique – et, quand on voit le désastre de l’Etat-providence et du système scolaire contemporains, on ne peut qu’admirer ce que faisaient nos aïeux). Officiellement, cette spoliation visait à secourir les finances publiques dans un triste état (meilleur qu’aujourd’hui, mais à l’époque, l’Etat ne bénéficiait pas de l’argent virtuel de la BCE!). Dans la pratique, elle n’a servi à rien (les finances publiques étaient bien plus ravagées encore en 1799 qu’en 1789), sinon à engraisser des profiteurs. J’en profite pour rappeler que Bonaparte choisit très astucieusement les 200 plus gros profiteurs de ce gigantesque détournement d’héritage pour leur confier la toute nouvelle Banque de France – ce qui est à l’origine du mythe des “200 familles” et je m’étonne toujours que les amis de M. Mélenchon applaudissent la Révolution tout en conspuant ces 200 familles, la cohérence n’est pas ce qui les étouffe.

    Le concordat, négocié par le même Bonaparte, permit le retour de la paix religieuse, mais au prix de l’acceptation par l’Eglise de cette spoliation en échange du paiement des ministres des cultes. En d’autres termes, on gravait dans le marbre le vol des biens de l’Eglise (qui, encore une fois, étaient les biens des pauvres et des morts qui avaient demandé qu’on prie pour leur âme en échange de ces legs innombrables) en échange du salariat des prêtres: c’était non seulement violer la nécessaire liberté du spirituel face à l’Etat, mais encore appliquer avant la lettre la vieille méthode soviétique: donne-moi ta montre, je te donnerai l’heure (je prends le patrimoine qui servait à payer les prêtres et mille autres choses et je consens uniquement à payer les prêtres).

    La parole des régimes révolutionnaires ne valant pas grand-chose, elle fut piétinée en 1905 avec la rupture unilatérale du concordat. Cette fois, on suspendait le traitement des prêtres et l’on volait jusqu’aux édifices cultuels, mais on promettait, la main sur le coeur, d’entretenir lesdits édifices en garantissant à l’Eglise catholique d’en être l’unique affectataire.

    Nous approchons manifestement de la troisième spoliation révolutionnaire. Et il est significatif que deux sénatrices de “droiche” aient prêté la main à l’opération aux côtés (ou sous la houlette?) d’un sénateur communiste – le communisme étant évidemment l’idéologie la plus hostile à toute forme de patrimoine religieux.

    Mais qu’est-ce que cela veut dire “affectation exclusive discutée”? Si cela signifie pouvoir faire des concerts ou des expositions d’art sacré dans les églises, nous n’avons pas attendu ces braves sénateurs. Le plus vraisemblable est que cela signifie en réalité possibilité de “prêter” les églises à d’autres cultes (comme le culte islamique qui l’avait naguère demandé avec insistance) ou possibilité de transformer les églises en boîtes de nuit.

    Je n’ai aucune autorité politique ni spirituelle, mais il me semble que la meilleure contre-attaque consisterait à multiplier les pèlerinages et les messes patronales (il existe en France des dizaines, peut-être des centaines de prêtres, plus ou moins mis sur la touche parce que trop tradis qui seraient sûrement ravis de s’investir dans cette nouvelle évangélisation des campagnes). En tout cas, nous ne pouvons pas rester les bras ballants devant cette troisième spoliation qui s’annonce (et dont les délires macroniens sur Notre-Dame de Paris ont donné une première idée).

    Guillaume de Thieulloy

     

    Source : lesalonbeige

  • Toulouse : une bonne samaritaine prête son logement à deux SDF mais à son retour… le lieu est devenu une plaque tournante d’un trafic de drogues ; l’un des squatteurs placé dans un CRA

    Publié par Guy de Laferrière le 10 août 2023

    Une jeune fille de 21 ans a voulu rendre service à deux hommes sans domicile fixe, il y a quelques semaines. Comme elle devait s’absenter pendant deux mois, elle leur a proposé d’occuper son logement du quartier Croix-Daurade à Toulouse. À son retour, la serrure avait été changée et les invités refusaient de partir. Elle a déposé plainte.

    (…) des policiers se sont rendus sur place. Ils se sont aperçus que le logement s’était transformé en plaque tournante d’un trafic de drogues. (…) 190 g de résine de cannabis, 90 g d’herbe, une balance de précision, des sachets de conditionnement et des téléphones ainsi qu’une vingtaine de cartouches de cigarettes de contrebande.

    Le plus âgé a été placé au centre de rétention administrative de Cornebarrieu. (…) Son comparse sera jugé ce vendredi 11 août par le tribunal correctionnel à l’audience de comparutions immédiates.

    La Dépêche via fdesouche

  • Afrocentrisme, la résistance de l'Egypte

    Publié par Guy de Laferrière le 10 août 2023

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    Bernard Lugan `

    Au moment où en Europe, aux Etats-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande et en Australie, en réalité dans tout le monde blanc « occidental », l’univers slave étant pour le moment épargné, les élites ont capitulé devant les délires et les diktats des afrocentristes, la résistance semble venir d’Egypte.

    Soumis et mentalement émasculés, les « Blancs occidentaux » ont déjà admis qu’un homme pouvait accoucher. Alors pourquoi n’accepteraient-ils pas de reconnaître que la « blonde Athéna aux yeux bleu clair » était en réalité une reine noire africaine et que ce furent des Noirs et non Colomb, qui découvrirent l’Amérique ?

    En Egypte où la population a semble t-il encore une colonne vertébrale, ces provocations ne passent pas. 

    La colère est ainsi très forte contre un film américain ayant osé montrer Cléopâtre sous les traits d’une femme noire. 

    Plus généralement, le monde scientifique est « vent debout » contre le courant afrocentriste qui affirme que l’ancienne Egypte était « nègre ». Pour les afrocentristes, toute l’Afrique, Afrique du Nord, comprise, était peuplée par des Noirs avant que des envahisseurs, à savoir des Berbères Blancs, n’aient génocidé ces primo-habitants noirs de la rive sud de la Méditerranée...

    Toujours à la différence de leurs homologues occidentaux, les dirigeants égyptiens qui ne capitulent pas devant ces falsifications historiques, ont décidé de contre-attaquer. 

    Ainsi, le journal Le Monde en date du 22 juin 2023 publie un article intitulé « Une exposition aux Pays-Bas, jugée afrocentriste, fait polémique ». De fait, l’exposition qui avait pour titre « Kemet », nom que les afrocentristes donnent à l’Egypte, était clairement destinée à faire croire au public hollandais que l’ancienne Egypte était « nègre ».

    Or, dans cet article, nous apprenons que « Les autorités égyptiennes n’ont pas apprécié et ont dénoncé cette falsification de l’histoire ». 

    Tout naturellement acquis à l’idéologie woko-décoloniale, les responsables du musée dénoncent quant à eux « un regain de racisme antinoir en Egypte ». Ce faisant, les voilà ralliés aux postulats farfelus de l’afrocentrisme devenus autant de « vérités » prospérant dans la négation du réel et le refus de reconnaître la différence de nature entre fait et mythe…

     Source : Bernard Lugan

  • Témoignage de Louis de Bourbon, Duc d’Anjou, pour le Jubilé de la Vendée – 2 septembre

    Publié par Guy de Laferrière le 10 août 2023

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    Je suis particulièrement heureux de venir rendre visite à la Vendée et aux Vendéens le 2 septembre prochain, au Mont des Alouettes, ce Haut lieu des guerres de Vendée, mémoire de ce combat inégal mené pour Dieu, pour le Roi et pour les libertés fondamentales.

    Ce faisant, je ne fais qu’accomplir un devoir, celui de la Fidélité :
    – fidélité à la mémoire des Vendéens de toutes conditions, qui ont tout sacrifié pour leur Foi catholique, leur attachement à la royauté très chrétienne et à ma famille ;
    – fidélité au souvenir, et à l’exemple, de ma grande tante Marie-Thérèse de France, duchesse d’Angoulême, l’orpheline du Temple, la « sainte fille de Louis XVI », accueillie au Mont des Alouettes il y a 200 ans, le 18 septembre 1823, par quinze mille vétérans Vendéens qu’elle tenait à remercier de s’être battu pour son frère, le petit Roi Martyr, Louis XVII, dont le nom ornait tant d’emblèmes de l’insurrection vendéenne. C’est elle qui avait voulu que soit édifiée en ce lieu une Chapelle ;
    – fidélité également au souvenir de la duchesse de Berry, mère d’Henri V, comte de Chambord, qui en 1832, vint en cet endroit dans l’espoir de soulever une nouvelle fois la Vendée contre le pouvoir illégitime installé à Paris.

    Mais, en ces temps troublés, ma présence sur cette terre de Vendée autrefois si éprouvée, se veut aussi un message de Foi et d’Espérance, pour tous les Français fidèles à leur Patrie, à leurs racines, à leurs valeurs héritées des civilisations grecque, romaine et chrétienne !
    Forts d’un passé héroïque, regardons avec lucidité, courage et détermination notre avenir qu’il nous appartient de construire.

    Vive la Vendée catholique et royale, vive la France fidèle aux promesses de son Baptême !

    Louis de Bourbon,
    Duc d’Anjou

    Venez rencontrer nos grands témoins sur le Mont des Alouettes le 2 septembre.
    Toute information sur :
    https://www.jubiledelavendee.fr/
    https://www.facebook.com/JubiledelaVendee/

  • 10 août 1792 : naissance de la République dans un massacre

    Publié par Guy de Laferrière le 10 août 2023

    Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
    La tension est vive et, excitée par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.

    La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
    Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationaux crient : « Vive le roi ! ». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté :
    « Vive la Nation ! ». Situation confuse.
    Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
    Apeurés, le roi, la reine et le dauphin traversent le jardin des Tuileries et vont chercher refuge au sein de l’Assemblée.
    Devant le palais, l’émeute enfle. Une porte est malencontreusement ouverte. Un flot de sans-culottes s’y engouffre. Les gardes suisses ouvrent le feu et provoquent un reflux éperdu vers le Carrousel.
    Les émeutiers évacuent la place. Ils semblent près d’abandonner la partie.

    Mais vers dix heures, un groupe de volontaires marseillais parvient à s’introduire à l’intérieur des Tuileries. Le combat reprend de plus belle.
    Le roi griffonne un billet ordonnant aux Suisses de déposer à l’instant les armes et de se retirer dans leurs casernes. Grave erreur du trop bon Louis XVI.
    Obéissants, les gardes se replient vers la place Louis XV (l’actuelle place de la Concorde).

    Mais ils sont bientôt encerclés, capturés, conduits à l’Hôtel de Ville puis massacrés. Mêlées à la foule, les poissardes des halles se livrent à de honteuses mutilations sur les cadavres.
    Les émeutiers envahissent maintenant les Tuileries et lynchent pêle-mêle gardes, serviteurs et fidèles avant de piller le palais.
    Six cents Suisses ainsi que deux cents aristocrates et gens de maison perdent la vie en ce jour du 10 août.

    L’Assemblée législative, enhardie par le succès de l’émeute, prononce la « suspension » du roi. Elle convoque par ailleurs une Convention nationale en vue de prendre toutes mesures « pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l’égalité », et instaure pour la première fois le suffrage universel (masculin). Après une nuit de fortune, la famille royale est emmenée au donjon du Temple pour y être emprisonnée.
    La période appelée « la Terreur » allait commencer.
    Fin d’un régime millénaire qui avait construit la France mais était certes affaibli de l’intérieur.
    Naissance de la République.

     

    Source : contre-info