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  • Béthencourt (25) : construite dans les années 50, l’église Sainte-Thérèse a été transformée en 10 logements sociaux

    Publié par Guy de Laferrière le 08 août 2023

    Voici une transformation rarissime. L’ancienne église catholique Sainte-Thérèse de Bethoncourt, dans le Doubs (25) abrite désormais dix HLM, de 2 à 4 pièces. La configuration de l’ancienne église, avec sa nef surélevée accessible depuis un escalier extérieur de quelques marches, a dicté sa transformation.

    «La grande nef à l’étage a rendu possible d’y installer cinq duplex avec balcons. La partie basse donnant sur l’extérieur est devenue un rez-de-jardin de quatre appartements avec terrasse et il restait la chapelle, qui était dimensionnée pour accueillir un 2 pièces», explique Xavier Llamas, directeur de développement territorial chez Néolia, le bailleur social qui gère le nouvel immeuble.

    Parmi les occupants, le couple Benmahdi a troqué un 3-pièces chez Néolia pour un quatre pièces de 82 m2, agrémenté d’une terrasse de 50 m2. «On était bien là où on était avant, mais là on tombe dans le prestige!», a apprécié Soraya Benmahdi, malgré un loyer «plus cher, mais ça se comprend». Les loyers «se situent dans la moyenne» du bailleur, pour une «performance énergétique égale à du neuf», obtenue notamment grâce aux épais murs en pierre d’origine, a souligné Xavier Llamas. Ils grimpent jusqu’à 530 euros par mois pour les plus grands T4 de 82 m2, auxquels s’ajoutent environ 50 euros de charges.  […]

    L’église avait été construite en 1953 dans la commune ouvrière de Bethoncourt, voisine de l’usine Peugeot (aujourd’hui Stellantis) de Sochaux, dans le contexte d’une arrivée importante de main-d’œuvre majoritairement catholique avant et après la Seconde Guerre mondiale. Elle a été désacralisée en 2018 et revendue par le diocèse de Belfort-Montbéliard à Néolia, après avoir perdu beaucoup de fidèles. […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Journée d’Amitié française à Montréjeau (31) – commémoration de l’insurrection contre-révolutionnaire du Midi en 1799, le 20 août

    Publié par Guy de Laferrière le 08 août 2023

    Pour la cinquième année consécutive, le Comité du Souvenir des victimes de la Révolution en Midi toulousain organise à Montréjeau (Haute-Garonne) le dimanche 20 août 2023, avec le soutien de la Maintenance Catholique du Comminges, une grande journée d’amitié française, à l’occasion de la commémoration de l’insurrection catholique et royaliste de 1799 dans le Midi toulousain, insurrection qui s’acheva par le massacre de milliers d’insurgés par les troupes révolutionnaires le 20 août 1799 à Montréjeau, ainsi que d’autres localités du Midi.

    Il ne s’agit pas seulement, ni principalement, d’un évènement mémoriel, teinté de nostalgie. Il s’agit, le 20 août, de se souvenir du passé, mais pour préparer l’avenir ! Notre journée d’Amitié Française entend réunir tous ceux qui entendent oeuvrer concrètement, ici et maintenant, à la défense de notre civilisation, de nos terroirs et à la restauration d’une société conforme à l’ordre naturel et chrétien. En effet, “de la forme donnée à la société, conforme ou non aux lois divines, dépend et découle le bien ou le mal des âmes” (Pie XII).

    INFORMATIONS PRATIQUES

    Cette journée d’amitié aura lieu cette année le dimanche 20 août 2023, à partir de 10 h 00 à Montréjeau (31210), boulevard de Lassus.
    Elle commencera par plusieurs allocutions (à partir de 10 h 30).

    Celles-ci seront suivies par la sainte Messe (rite tridentin) chantée, célébrée en plein air, qui commencera à 12 h 30.

    La journée se poursuivra ensuite avec le traditionnel pique-nique amical (pour lequel chacun prévoit son repas) organisé dans une propriété voisine. Des stands militants seront présents.

    Pour faciliter l’organisation de ce pique-nique, il vous est demandé de vous inscrire impérativement à l’adresse suivante : comitesouvenir1799@gmail.com (en indiquant le nombre de personnes présentes).

     

     

    Source : lesalonbeige

  • La police en prison, les voyous en liberté

    Publié par Guy de Laferrière le 08 août 2023

    La police en prison, les voyous en liberté

    prison-230x180.jpeg

    Vendredi soir, un policier municipal lyonnais a été traîné sur plusieurs mètres par une voiture dont il contrôlait le stationnement illicite. Rapidement arrêté, le conducteur a été placé en garde à vue avant d’être présenté en comparution immédiate ce lundi. Il sera jugé le 14 décembre. Le parquet, qui avait requis un mandat de dépôt n’a pas été suivi par le juge des libertés et de la détention qui a décidé de placer le suspect sous contrôle judiciaire.

    Pendant ce temps, le policier de Nanterre et celui de Marseille sont toujours incarcérés…

    Un policier témoigne :

    «Je l’ai eu plusieurs fois aujourd’hui. Il souffre d’une blessure à l’épaule. Il a appris, comme nous tous, que la personne qui l’a traîné sur plusieurs mètres a été remise en liberté. Cette annonce a peut-être été pire que la blessure elle-même pour lui». «Bientôt nous ne verbaliserons plus que les gens qui respectent la loi puisque d’autres préfèrent nous mettre en danger en refusant de respecter les règles. Quand on voit la réponse judiciaire derrière, c’est la prime à ceux qui prennent la fuite».

    Le conducteur était sous l’emprise d’alcool au moment des faits. Il sera jugé pour «refus d’obtempérer, défaut de permis de conduire, conduite sous l’empire d’un état alcoolique et violences avec arme (le véhicule, NDLR) sur personne dépositaire de l’autorité publique».

     

    Source : lesalonbeige

  • 7 août 1932 : « loi des épis » et génocide ukrainien

    Publié par Guy de Laferrière le 07 août 2023

    holodomor_v1Le 7 août 1932, le gouvernement de l’URSS promulgue une loi qui punit de dix ans de déportation, voire de la peine de mort, « tout vol ou dilapidation de la propriété socialiste », y compris le simple vol de quelques épis dans un champ.

    Cette « loi des épis » survient alors que les campagnes soviétiques connaissent un début de famine du fait des réquisitions forcées par le pouvoir et de la « dékoulakisation » (élimination des paysans considérés comme riches).

    On estime qu’en Ukraine, au moins six millions de paysans vont mourir de faim dans les mois suivants, de par la responsabilité des autorités communistes.
    Cette « Grande famine » (« Holodomor », « extermination par la faim » en ukrainien), intentionnellement entretenue et amplifiée par Staline (qui s’appuyait sur de nombreux cadres soviétiques juifs – d’où un ressentiment longtemps tenace des Ukrainiens envers cette communauté) est assimilée à un génocide par la plupart des historiens ainsi que par les Ukrainiens.

     

    Source : contre-info

  • «Notre appartement est invendable, on est bloqués» : à Paris, les riverains de la prison de la Santé excédés par les nuisances et l’insécurité autour de l’enceinte

    Publié par Guy de Laferrière le 07 août 2023

    Depuis la réouverture de la prison parisienne en 2019, le quotidien des habitants du quartier s’est fortement dégradé. À bout, ces derniers ont alerté le ministre de l’Intérieur.

    En ce début de soirée d’été, à l’angle des rues Jean Dolent et Messier dans le 14e arrondissement de Paris, plusieurs jeunes traînent devant un immeuble. Ces détenus en semi-liberté se retrouvent pour rejoindre, ensemble, la prison de la Santé. «Aujourd’hui, c’est la version soft. Le problème, c’est quand ils parlent fort, dealent et font preuve d’incivilité», explique une riveraine qui sort sa poubelle puis montre du doigt un filet de pomme de terre resté coincé sur l’enceinte du célèbre centre pénitentiaire, inauguré en 1867. «La nuit ici, c’est lancer de paquets par-dessus le mur et parloirs sauvages», témoigne un autre résident, quelques portes plus loin. «Ce soir, la pluie est plus efficace que la police», ironise-t-il. Depuis la réouverture, en 2019, du dernier centre pénitentiaire de Paris intra-muros après quatre ans de rénovation, la cohabitation, même à bonne distance, avec les détenus est très mal vécue par les habitants du quartier.

    «Tout ça se passe sous les yeux des caméras»

    Dans une lettre adressée au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, en date du 28 juillet dernier, ils font état de «trafic de drogue, invectives, incivilités, bruits, agressions verbales, menaces», notamment au moment du transfert des détenus en semi-liberté, entre 18 heures et 20 heures. Ils décrivent aussi les nuisances sonores la nuit : les bruits de moteur ou de klaxon des voitures, les conversations entre détenus à travers les fenêtres à barreaux . «À bout», les riverains réclament «une réunion avec un représentant de la Préfecture de police» afin de trouver des solutions. Ils sont pour le moment sans réponse. Déjà, quelques mois après la réouverture de la Santé, l’association avait écrit à la directrice de l’établissement pour alerter sur les dégradations de leur quotidien.

    (…) Le Figaro via fdesouche