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  • Le mouvement sinistrogyre gagne la Pologne

    Publié par Guy de Laferrière le 17 octobre 2023

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    Le mouvement sinistrogyre gagne la Pologne - Le Parti de la France Occitanie Guy JovelinLe mouvement sinistrogyre gagne la Pologne

    Un lecteur me signale que le basculement politique en Pologne fait penser à ces évolutions de mentalités mesurées par le PEW Research Center sur la tolérance de l’homosexualité en société. La tendance progressiste avait progressé de 5 points entre 2013 et 2020 en Pologne :

     

    Source : lesalonbeige

  • Sarah Saldmann utilise le mot “goy” à l’antenne de RMC

    Publié par Guy de Laferrière le 16 octobre 2023

    Sarah Saldmann utilise le mot goy à l'antenne de RMC

    Il y a des mots qui sonnent étrangement lorsqu’ils sont prononcés à l’antenne d’un média français de grande écoute. Lors de l’émission des Grandes Gueules du 11 octobre 2023 sur le sujet “Israël : Le silence des stars… Incompréhensible ?”, l’avocate et chroniqueuse Sarah Saldmann a laissé échapper le mot goy avant de se rendre compte de sa bévue.

    Goy, un mot qui n’est pas innocent

    Sarah Saldmann répondait à Alain Marschall qui demandait pourquoi les Français ne sont pas descendus dans la rue pour soutenir Israël. Sarah Saldmann a lâché : “Alors j’étais à la manifestation lundi et je confirme qu’il n’y avait pas beaucoup de goys !” A peine le mot est-il sorti de sa bouche qu’elle se ravise. Mais, contre toute attente, les deux animateurs qui l’entourent l’encouragent à assumer ce mot, comme s’il appartenait au vocabulaire normal sur un média français.

    Or, le mot “goy” est un terme yiddish péjoratif pour désigner les “non-juif”. Son utilisation était donc plus que malvenue. Les réactions mécontentes n’ont pas manqué sur les réseaux sociaux. Mais les médias ont évidemment fait l’impasse sur le sujet.

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  • Testament de Marie-Antoinette, reine de France assassinée par les républicains un 16 octobre

    Publié par Guy de Laferrière le 16 octobre 2023

    Le 16 octobre 1793, à 4h30 du matin, soit 8 heures avant son exécution, la Reine rédige sa dernière lettre, à l’adresse de la sœur de Louis XVI, Marie-Elisabeth.
    Ce sera son émouvant testament.

    « C’est à vous, ma sœur, que j’écris pour la dernière fois : je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère, comme lui, innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments.

    Je suis calme comme on l’est quand la conscience ne reproche rien ; j’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants : vous savez que je n’existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur. Vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse! J’ai appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n’ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre ; je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra : recevez pour eus deux ici ma bénédiction. J’espère qu’un jour, lorsqu’ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous, et jouir en entier de vos tendres soins.

    Qu’ils pensent tous deux à ce que je n’ai cessé de leur inspirer : que les principes et l’exécution exacte de ses devoirs sont la première base de la vie ; que leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur. Que ma fille sente qu’à l’âge qu’elle a elle doit toujours aider son frère par des conseils que l’expérience qu’elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer; que mon fils, à son tour, rende a sa sœur tous les soins, les services que l’amitié peut inspirer ; qu’ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union. Qu’ils prennent exemple de nous : combien, dans nos malheurs notre amitié nous a donné de consolation; et dans le bonheur on jouit doublement, quand on peut le partager avec un ami ; et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille ? Que mon fils n’oublie jamais, les derniers mots de son père, que je lui répète expressément :  » qu’il ne cherche jamais à venger notre mort. »

    J’ai à vous parler d’une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine; pardonnez-lui, ma chère sœur ; pensez à l’âge qu’il a, et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu’on veut, et même ce qu’il ne comprend pas : un jour viendra, j’espère, où il ne sentira que mieux tout le prix de vos bontés et de votre tendresse pour tous deux. Il me reste à vous confier encore, mes dernières pensées ; J’aurais voulu les écrire dès le commencement du procès ; mais outre qu’on ne me laissait pas écrire, la marche en a été si rapide que je n’en aurais réellement pas eu le temps.

    Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j’ai été élevée, et que j’ai toujours professée ; n’ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s’il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop, s’ils y entraient une fois, je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j’ai pu commettre depuis que j’existe. J’espère que, dans sa bonté, il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps pour qu’il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais, et à vous, ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j’aurais pu vous causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu’ils m’ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J’avais des amis; l’idée d’en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j’emporte en mourant ; qu’ils sachent, du moins, que, jusqu’à mon dernier moment, j’ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur; puisse cette lettre vous arriver! Pensez toujours à moi; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfans : mon Dieu ! qu’il est déchirant de les quitter pour toujours. Adieu, adieu, je ne vais plus m’occuper que de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m’amènera peut-être un prêtre ; mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot, et que je le traiterai comme un être absolument étranger. [1]»

    Notes

    1. La reine désigne ici les prêtres « assermentés », c’est-à-dire qui ont prêté le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, condamnée par Rome,  et qui sont considérés comme ne faisant plus partie de l’Eglise catholique.

     

    Source : contre-info

  • Qui commande chez “nous” ? Les autres !

    Publié par Guy de Laferrière le 16 octobre 2023

    aspirateur à invasion migratoire,passoire,république

    Nicolas Zahar

    La République est une passoire, pire un aspirateur à invasion migratoire de toutes sortes. Il est vrai que dès les premiers jours de la République certains excités de la Révolution proposaient la bienvenue à tous les “mahométans” Ottomans, pendant que d’autres commettaient des “populicides” partout en France, particulièrement en Vendée. Au nom de la Liberté peut être ?
     
    Aujourd’hui, il n’est même plus question de savoir si nous sommes encore chez nous, il est question de savoir si nous sommes encore en sécurité dans ce qui reste de nos frontières ! Sommes-nous sereins de savoir nos enfants livrés à une Rééducation anti-nationale faisant la promotion des théories les plus douteuses, les plus malsaines, les plus anti-nationales, les plus haineuses à l’égard de nos anciens, au lieu de les instruire ? Pire nos enfants subissent-ils du harcèlement et risquent-ils même leur vie à l’École ? Oui ! Et avec le concours de ces associations subventionnées, financées par nos impôts, sans notre consentement, qui exigeaient que le terroriste Mohamed ne soit pas expulsé de chez nous; le gouvernement bien sûr s’exécuta, comme toujours, et nous connaissons la suite !
     
    Qui commande chez nous ? En tout cas pas NOUS ! Nous savons aussi que nos merdias sont aux mains des mêmes, car ils sont partout. Et l’employé de banque mis en place à la tête de ce qui reste de notre État en est le liquidateur.
     
    Bref ! Nous sommes déjà en guerre de basse intensité chez nous, non contre le Covid, mais contre des mafias, parfois allogènes, en tout cas anti-FRANCE. Et voilà que pour couronner le tout, on voudrait absolument nous mêler aux concerts hystériques et fratricides des conflits extérieurs israélo-palestinien et ukraïno-russe. Les mêmes merdias de grands chemins, et politiques à la botte, imposent chez nous de manière crétine, douteuse et finalement absolument contraire à nos intérêts, à une volonté sincère de paix, et même à une vérité finalement complexe, ces objets pour nous distraire de nos propres drames et pour nous diviser davantage au lieu de défendre la France et les Français !

    À plus de 3 000 milliards d’€ de dettes, et avec une paupérisation qui s’étend, ce ne sont pas ces associations que nous devrions subventionner, et encore moins les conflits extérieurs, mais au contraire nous devrions nous concentrer sur une hausse de revenus des travailleurs français, nous soucier davantage de nos enfants et de nos parents. Au lieu de cela nous continuons à encourager une immigration de supposés travailleurs bon marché, en réalité inassimilables. Si nous avions un bon gouvernement, celui-ci veillerait au bonheur exclusif de son peuple et sa seine démographie plutôt que de s’obstiner à le remplacer.

    Qui commande chez NOUS ? Toutes les forces anti-nationales !

    PS : Je complète cet article en vous donnant la liste des associations et partis qui se sont opposés à l’expulsion de la famille du Tchétchène, en 2014.
     
     
     
  • Dans l'immédiat, il faut que nos écoles soient protégées. Armons les volontaires.

    Publié par Guy de Laferrière le 16 octobre 2023

    Afin de sécuriser immédiatement l'ensemble des établissements scolaires, le Parti de la France propose une mesure d'urgence : former et désigner un membre du personnel dans chacun d'entre eux pour en être le référent armé. Ainsi, tout assaillant pourrait être neutralisé rapidement.
    Pour autant, notre pays ne retrouvera sa tranquillité que lorsque la remigration massive des extra-européens inassimilables sera entreprise.
    Dans l'immédiat, il faut que nos écoles soient protégées. Armons les volontaires. Cessons de faire du personnel de l'Éducation nationale et des élèves des cibles faciles.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
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