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  • Mais quel numéro de cirque !

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2025

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    Mais quel numéro de cirque ! Marine Le Pen qui débarque à Matignon avec un chaton dans les bras — pardon, dans une boîte de transport qu’elle tente de cacher comme une écolière prise en faute — c’est le degré zéro de la politique. On croirait une candidate dans une émission de téléréalité qui joue de la corde sensible pour attendrir la ménagère, pas une prétendante à gouverner la France.
    Elle croit quoi, que les Français sont des enfants de maternelle qu’on amadoue avec des chatons mignons sur Instagram ? Elle se prend pour Brigitte Bardot alors qu'elle ne lui arrive même pas à la cheville ! Ce n’est pas à Matignon qu’on allaite un chaton, c’est à la cuisine.
    Et surtout, quelle insulte au sérieux des institutions et aux enjeux politiques : être reçue par le Premier ministre et transformer la scène en saynète ridicule. La prochaine fois, quoi ? Elle viendra avec un hamster, un poisson rouge, une poule ? Elle arrivera en pantoufles, robe de chambre et bigoudis pour « faire peuple » ?
    Marine Le Pen a tellement renié, reculé, arrondi, qu’il ne lui reste plus que ses chats comme étendard. Elle ne porte plus la voix de la Nation, elle promène un félin affaibli dans une boîte en plastique. Qu’on ne s’y trompe pas : c’est de la démagogie pure, un spectacle pathétique pour éviter les vrais sujets.
    Une vraie cheffe serait entrée à Matignon tête haute, avec un regard de fer et un discours tranchant. Elle, elle y va avec un malheureux chaton. Pitoyable.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Le Conseil supérieur de l’Education veut renommer les vacances de la Toussaint et de Noël

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2025

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    Lors de la première séance du Conseil supérieur de l’Education, le syndicat FSU-SNUipp a proposé, dans le cadre des discussions sur le calendrier scolaire, un amendement réclamant le changement de nomination des vacances des écoliers et étudiants français.

    Selon eux, le terme de « vacances de Noël » ou « vacances de la Toussaint » n’est plus adéquat pour l’éducation nationale aujourd’hui. Cet amendement a été adopté à 44 voix pour face à seulement 7 contre, dont celle de l’UNI.

    Derrière cette rhétorique laïcarde, on retrouve ce vieux projet révolutionnaire qui consiste à faire table rase du passé : à quand le remplacement de la semaine de 7 jours par celle de 10 jours, les fêtes de nos saints par des noms de plantes, et l’abrogation du calendrier grégorien qui nous place en 2025 après Notre-Seigneur Jésus-Christ ?

    L’UNI a lancé une pétition contre ce déracinement.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le militant LFI Gérard Miller est dans la tourmente.

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2025

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    Le militant LFI Gérard Miller est dans la tourmente. Comme tous les militants de gauche, il a vibré à « Balance ton porc » et à « Me Too ». Et à tous les combats féministes. Mais ingrates, les femmes qu’il a honorées en les endormant se retournent contre lui.
    Les plaintes affluent, et la question se pose : Gérard Miller est-il pire que Dominique Pelicot, et les féministes vont-elles se mobiliser à l’occasion de son procès comme elles l’ont fait pour Gisèle Pelicot ?
    Pour visionner la vidéo de Pierre Cassen à ce sujet, c'est ici : https://youtu.be/RkzQ8WHmio4
  • Octobre Rose

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2025

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    Chaque mois d’octobre, la France se pare de rose. Rubans, affiches, campagnes publicitaires : le pays entier se met au diapason d’Octobre Rose. Qui oserait s’opposer à une cause aussi noble que la lutte contre le cancer du sein ? Personne, évidemment. Mais derrière l’élan d’émotion se cache une hypocrisie révoltante : l’appel aux dons. Car enfin, est-ce vraiment aux Français – pressurés comme jamais par l’impôt, étranglés par l’inflation – de financer la lutte contre le cancer du sein ? Est-ce à eux de sortir leur portefeuille quand ils contribuent déjà à l’un des systèmes fiscaux les plus confiscatoires du monde ?
    Le paradoxe est indécent. Nos hôpitaux, nos médecins, nos infirmières sont contraints de tendre la sébile pour obtenir un scanner ou une IRM, pendant que l’État jette des milliards par les fenêtres. Un exemple parmi d'autres : 3,6 milliards d’euros, chaque année, en « aide publique au développement ». Pour quels résultats ? Pour financer, par exemple, la construction d’infrastructures en Afrique de l’Ouest ou encore des projets de coopération agricole au Sahel qui disparaissent dans la corruption endémique. En revanche, quand il s’agit de soigner une Française atteinte d’un cancer, on nous explique qu’il faut organiser des loteries, des courses solidaires et des quêtes de rue.
    Ajoutons à cela le coût faramineux des soins offerts à une immigration extra-européenne toujours plus nombreuse, qui bénéficie de la gratuité quand nos compatriotes doivent, eux, compter le moindre euro. L’État providence ne connaît plus de frontières mais il demande toujours aux Français de faire l’aumône… à eux-mêmes !
    Ça suffit. La France n’a pas vocation à soigner toute la misère du monde. Les Français ont le droit à des soins de qualité, financés par leurs impôts et exclusivement réservés aux nationaux. Chaque euro prélevé doit servir la Nation, pas l’étranger. Octobre Rose devrait être un rappel de solidarité nationale, pas une entreprise de culpabilisation fiscale déguisée. Les Français paient déjà : qu’ils soient enfin soignés en retour !
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Une femme voilée est-elle emblématique de Strasbourg ?

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2025

    Une femme voilée est-elle emblématique de Strasbourg ?

    Exit la coiffe à grand nœud des costumes traditionnels alsaciens. Pour la municipalité écologiste de Strasbourg, c’est le hijab, le voile musulman, qui semble être devenu emblématique de la ville.

    Dans le cadre d’une campagne d’affichage pour promouvoir « la douceur de ville » de la capitale alsacienne, la municipalité écologiste de Strasbourg a choisi d’afficher le portrait de Nacera portant un hijab jaune.

    Même la socialiste Pernelle Richardot dénonce « une stratégie politique délibérée de la municipalité visant à créer une polarisation artificielle » et y voit « un calcul électoral des plus cyniques ».

    Les costumes traditionnels alsaciens
    Les costumes traditionnels alsaciens

    Le premier adjoint de la maire, un certain Syamak Agha Babaei, a répliqué en déclarant que « Les afficher fièrement en ville, ce n’est pas « faire polémique », c’est rendre justice ». Sur son compte Facebook, il écrit : « Moi je vois l’affiche de Nacera, 66 ans, réalisée dans le cadre d’une campagne de valorisation de nos aînés(e) s. Certains s’en offusquent ? Moi, j’y vois Strasbourg : un sourire lumineux, une histoire de travail, de soin, de dévouement. Des femmes comme Nacera, Fatma-Zohra, Aïcha, Zahia… ont gardé nos enfants, nettoyé nos écoles, accompagné nos aînés, souvent loin de leur pays d’origine, parfois sans les mots de notre langue, mais avec la force tranquille de celles qui tiennent la société debout. Elles sont aussi mes collègues à l’hôpital, invisibilisées mais sans qui vous ne seriez pas soignés. Les afficher fièrement en ville, ce n’est pas “faire polémique”, c’est rendre justice. Strasbourg est leur ville autant que la nôtre. Ici, on honore les trajectoires discrètes, on célèbre celles et ceux qui ont fait de nous une communauté. À celles et ceux qui attisent la colère et divisent : nous opposons la reconnaissance et l’unité ».

    Laïcité, oui mais…

    L’affiche pose un autre problème. Dans un climat républicain qui fait volontiers de la laïcité sa religion de substitution, la socialiste Pernelle Richardot critique le fait de « mobiliser son budget pour mettre en avant une religion à Strasbourg ». Dans tous les cas, il est certain que la municipalité écologiste de Strasbourg n’aurait pas choisi un portrait d’une personne portant la croix autour du cou. La laïcité se fait surtout sur le dos des catholiques.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info