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Le Parti de la France - Page 246

  • Le Christ au Festival de Cannes

    Publié par Guy de Laferrière le 30 mai 2024

    Le Christ au Festival de Cannes

    L’actrice dominicaine Massiel Taveras n’est pas passée inaperçue au Festival de Cannes. Cette jeune actrice s’est présentée sur les marches menant au célèbre Festival cinématographique vêtue d’une robe avec une très longue traine sur laquelle figurait une représentation artistique du visage du Christ qu’elle entendait bien mettre ainsi à l’honneur. C’était sans compter sur le service d’ordre du festival qui cherchait systématiquement à replier la traine et cacher ainsi le visage christique. Excédée, l’actrice dominicaine Massiel Taveras s’est physiquement interposée aux agissements du service d’ordre du festival et a posté vendredi sur Instagram des photos de sa robe ainsi qu’un commentaire se félicitant d’avoir emmené Jésus-Christ à Cannes.

    Le Christ au Festival de Cannes

    «C’est la première fois en 77 ans du grand festival de Cannes que Jésus est exposé sur cette scène et c’est la première fois qu’une œuvre d’art dominicaine est publiée et valorisée par le légendaire magazine #vanityfairitalia #vanityfairitaly».

     


    Pierre-Alain Depauw
     
     
    Source : medias-presse.info
  • Boutique du Vatican et drapeau LGBT

    Publié par Guy de Laferrière le 30 mai 2024

    Boutique du Vatican et drapeau LGBT

    Nous recevons cette photographie prise dans une boutique du Vatican. Les mots nous manquent pour traduire notre indignation.

    Léo Kersauzie

     

    Source : medias-presse.info

  • 30 mai… 1431 : mort de Sainte Jeanne d’Arc ; son cœur resté intact miraculeusement, après le bûcher

    Publié par Guy de Laferrière le 30 mai 2024

    Ce jour est la fête religieuse de Sainte Jeanne d’Arc.
    En effet, elle mourut brûlée vive un 30 mai, sur la place du Vieux Marché à Rouen. Elle avait préalablement demandé une croix, de l’eau bénite, et invoqué Saint Michel, puis sainte Catherine, qui jadis lui étaient apparu. Elle cria à plusieurs reprises : « Jésus ! Jésus ! ».
    Elle n’avait que 19 ans. Béatifiée en 1909, elle fut canonisée par Benoît XV le 9 mai 1920.

    D’après les témoignages le cœur de la sainte fut l’objet d’un miracle : dans l’impossibilité de le consumer, le bourreau l’a jeté dans la Seine.

    Concernant sa mort et ce fait, voici la déposition de frère Isambard de la Pierre, dominicain ayant assisté aux événements :

    « A son dernier jour, Jeanne se confessa et communia. La sentence ecclésiastique fut ensuite prononcée. Ayant assisté à tout le dénouement du procès, j’ai bien et clairement vu qu’il n’y ut pas de sentence portée par le juge séculier. Celui-ci était à son siège, mais il ne formula pas de conclusion. L’attente avait été longue. A la fin du sermon, les gens du roi d’Angleterre emmenèrent Jeanne et la livrèrent au bourreau pour être brûlée. Le juge se borna à dire au bourreau, sans autre sentence : « Fais ton office ! »

    Frère Martin Ladvenu et moi suivîmes Jeanne et restâmes avec elle jusqu’aux derniers moments. Sa fin fut admirable tant elle montra grande contrition et belle repentance. Elle disait des paroles si piteuses, dévotes et chrétiennes que la multitude des assistants pleurait à chaudes larmes. Le cardinal d’Angleterre et plusieurs autres Anglais ne purent se tenir de pleurer ; l’évêque de Beauvais, même lui, versa quelques pleurs.

    Comme j’étais près d’elle, la pauvre pucelle me supplia humblement d’aller à l’église prochaine et de lui apporter la croix pour la tenir élevée tout droit devant ses yeux jusqu’au pas de la mort, afin que la croix où Dieu pendit, fût, elle vivante, continuellement devant sa vue.

    C’était bien une vraie et bonne chrétienne. Au milieu des flammes, elle ne s’interrompit pas de confesser à haute voix le saint nom de Jésus, implorant et invoquant l’aide des saints du paradis. En même temps elle disait qu’elle n’était ni hérétique, ni schismatique comme le portait l’écriteau. Elle m’avait prié de descendre avec la croix, une fois le feu allumé, et de la lui faire voir toujours. Ainsi je fis.
    A sa fin, inclinant la tête et rendant l’esprit, Jeanne prononça encore avec force le nom de Jésus. Ainsi signifiait-elle qu’elle était fervente en la foi de Dieu, comme nous lisons que le firent saint Ignace d’Antioche et plusieurs autres martyrs. Les assistants pleuraient.

    Un soldat anglais qui la haïssait mortellement avait juré qu’il mettrait de sa propre main un fagot au bûcher de Jeanne. Il le fit. Mais à ce moment, qui était celui où Jeanne expirait, il l’entendit crier le nom de Jésus. Il demeura terrifié et comme foudroyé. Ses camarades l’emmenèrent dans une taverne près du Vieux-Marché pour le ragaillardir en le faisant boire. L’après-midi, le même Anglais confessa en ma présence à un frère prêcheur de son pays, qui me répéta ses paroles, qu’il avait gravement erré, qu’il se repentait bien de ce qu’il avait fait contre Jeanne, qu’il la réputait maintenant bonne et brave pucelle ; car au moment où elle rendait l’esprit dans les flammes il avait pensé voir sortir une colombe blanche volant du côté de la France.

    Le même jour, l’après-midi, peu de temps après l’exécution, le bourreau vint au couvent des frères prêcheurs trouver frère Martin Ladvenu et moi. Il était tout frappé et ému d’une merveilleuse repentance et angoissante contrition. Dans son désespoir il redoutait de ne jamais obtenir de Dieu indulgence et pardon pour ce qu’il avait fait à cette sainte femme : « Je crains fort d’être, damné, nous disait-il, car j’ai brûlé une sainte ».

    Ce même bourreau disait et affirmait que nonobstant l’huile, le soufre et le charbon qu’il avait appliqués contre les entrailles et le coeur de Jeanne, il n’avait pu venir à bout de consumer et réduire en cendres ni les entrailles ni le coeur. Il en était très perplexe, comme d’un miracle évident. »

    Et cet extrait de la déposition de Jean Massieu, huissier :

    « Accompagnée de frère Martin, Jeanne fut conduite et liée, et jusqu’au dernier moment elle continua les louanges et lamentations dévotes envers Dieu, saint Michel, sainte Catherine et tous les saints.
    En mourant, elle cria à haute voix : Jésus !

    Je tiens de Jean Fleury, clerc et greffier du bailli, qu’au rapport du bourreau, le corps étant réduit en cendres, le coeur de Jeanne était resté intact et plein de sang.
    On donna ordre au bourreau de recueillir tout ce qui restait de Jeanne et de le jeter à la Seine, il le fit. »

    Source

    La dernière communion de Sainte Jeanne d'Arc

  • L’Association “Les amis de Saint-Louis”, Normandie, comme l’abbé Frédéric Weil, FSSPX, s’élèvent contre “les prières islamiques” dans la cathédrale de Coutances

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2024

    Une prière islamique proclamée en chaire, là

    même où les curés conciliaires ne montent plus…

    Le 24 mai, l’Association “Les amis de Saint-Louis” a adressé une lettre à Mgr Grégoire CADOR, évêque de Coutances-Avranches, dans laquelle elle l’alerte sur un concert intitulé : « L’homme armé : une messe pour la paix » du compositeur gallois Karl JENKIS, pendant lequel serait récité un appel à la prière musulmane l’adhan :

    « Allah est le plus grand/Je témoigne qu’il n’y a pas de Dieu, excepté Allah/Je témoigne que Mohamed est le messager d’Allah/Venez vite vers la prière/Venez vite vers le succès/Allah est le plus grand/Il n’y a pas de Dieu, excepté Allah. »

    Olivier Bertin, Président de l’association normande, écrit :

    Cette « œuvre », nous vous l’apprenons peut-être, a de fait causé un grand scandale chez de très nombreux croyants et enflammé les réseaux sociaux depuis l’appel à la prière musulmane, l’ADHAN, intégré dans l’œuvre, chanté dans l’église de la Trinité à Paris le 11 novembre 2023 par Yassine HAWA.

    Une même réaction s’était aussi levée en 2019 lors de son accueil à la cathédrale Saint-Louis des Invalides (PARIS) où 100 officiers et sous-officiers avaient signé une tribune libre à Monseigneur des Romanet, évêque aux armées. […]

    Outre l’appel à la prière musulmane, il mêle en effet aux textes de l’Ordinaire de la Messe des extraits du MAHABHRATA, épopée mythologique indienne fondatrice de l’hindouisme, des textes de Rudyard KIPPLING, fervent maçon membre de la Société Rosicrucienne d’Angleterre ésotéro-occultiste et d’Alfred TENNYSON, poète anglais adepte de la société secrète des « Cambridge Apostols ».

    Nous  convenons  que  cette  représentation  pourrait  se  tenir  dans  quelque  autre  espace profane local mais certainement pas dans l’édifice sacré qu’est une cathédrale, dévolue au culte et où seule peut être entendue la musique sacrée (Texte de la Conférence des Evêques de France/ Code de droit canonique – canon 1210).

    Enfin, nous sommes d’autant plus outrés que celle-ci se tiendra le jour de la fête de la Sainte- Trinité, dogme fondamental et expression solennelle de notre foi en cette vie des trois personnes divines. Quelle manière outrageante de la célébrer !

    En conséquence, nous vous adjurons très solennellement, Excellence, en votre qualité de Pasteur chargé de la sanctification des 369 470 catholiques du département de la Manche, de procéder de toute urgence à l’annulation de cet évènement.

    Aussi, nous catholiques normands, vous exprimons aujourd’hui notre indignation devant la réitération prochaine de qu’il faut bien nommer une représentation profanatoire, blasphématoire et sacrilège et ce, dans l’édifice coutançais témoin depuis huit cents ans d’une chrétienté triomphante. 

    Faisant suite à cette scandaleuse profanation anti-catholique qui a bien eu lieu, La Porte Latine, sous la plume de M. l’abbé Frédéric Weil, collaborateur du Prieuré de la Sainte-Croix, FSSPX, fait part, le 28 mai, de sa totale réprobation :

    Dimanche dernier 26 mai, la cathédrale de Coutances a été le théâtre d’un concert intitulé « L’homme armé, une messe pour la paix ». Une « messe » pas très catholique puisque cette œuvre musicale contient l’adhan, l’appel à la prière musulmane dont le message anti christique est clair : « Allah est le plus grand/Je témoigne qu’il n’y a pas de Dieu, excepté Allah/Je témoigne que Mohamed est le messager d’Allah/Venez vite vers la prière/Venez vite vers le succès/Allah est le plus grand/Il n’y a pas de Dieu, excepté Allah. » C’est la même œuvre blasphématoire qui a été interprétée à Saint-Louis des Invalides le 22 mai 2019 et qui a déjà causé un torrent de justes protestations.

    On se rappelle également les sourates du coran récitées à l’église Saint-Sulpice à Paris lors d’une grande rencontre entre chrétiens et musulmans le 6 février 2022. Ces scandales sont immenses, mais ils se répètent hélas. Beaucoup ne s’émeuvent qu’à trop juste titre de ces actes gravissimes. Mais s’agit-il d’abus indépendants du Concile Vatican II ? L’exemple n’est-il pas venu d’en haut ?

    Imagine-t-on un chœur grégorien chanter le Salve Regina dans une mosquée ? Ou un abbé qui lirait le prologue de l’Évangile selon saint Jean et le commenterait en haut du minbar de la grande mosquée de Paris ? Bien sûr que non. C’est toujours à sens unique.

    Comment ne pas se dire que l’islam se nourrit de la faiblesse du clergé catholique – en phase de dhimmitude avancée – puisque Mgr de Coutances n’a même pas daigné répondre aux demandes des fidèles normands qui ont fait appel à ce qui lui reste de “Sensus Fidei”…

    Il est heureux que certains fidèles – et quelques rares prêtres – soient moins naïfs que leurs pasteurs.

    MPI remercie “Les Amis de Saint-Louis” et ce courageux membre de la FSSPX de résister, contre vents et marées, à une christianophobie qui semble ne plus choquer grand monde.

    Sources : Les Amis de Saint-Louis [ lesamisdesaint-louis@protonmail.com ] / La Porte Latine du 28 mai 2024

    Christian LASSALE