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Le Parti de la France - Page 247

  • 800 musulmans manifestent pour la construction d’une nouvelle mosquée à Annecy : « C’est une nécessité », réagit le maire

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2024

    Ce lundi 27 mai, en marge du conseil municipal d’Annecy, environ 800 personnes se sont réunies sur le parking de Cap Périaz à l’invitation des associations musulmanes El-Nour et Salem. Ces dernières, qui partagent le même conseil d’administration et comptent près de 1500 fidèles dans leurs rangs, ont interpellé les élus de la Ville au sujet de leur besoin grandissant de mosquée.

    Le Dauphiné

    Locataires de locaux à Seynod jusqu’en 2027, les associations Salem et El-Nour ont interpellé les élus sur leur besoin d’une nouvelle mosquée à Annecy.

    (…) Avec environ 1500 fidèles chaque vendredi et plus de 3000 lors des fêtes, le président se désole du manque de pistes sérieuses pour accueillir le culte. « Nos contraintes, c’est le PLU et le foncier difficile à trouver à Annecy, expose-t-il. Le mieux, ce serait de trouver un terrain pour construire. » Selon Rachid Djeleb, le projet final devrait s’étendre sur environ 5000m², à répartir sur plusieurs étages selon la taille du terrain.

    Devant ce rassemblement qui s’est tenu juste avant le conseil municipal, le maire François Astorg s’est voulu rassurant, rappelant un échange en date du jeudi 23 mai avec son adjointe à l’aménagement durable et de l’habitat. Il a également reconnu que « la construction d’un lieu de culte à la hauteur de la communauté musulmane annécienne n’est pas un débat : c’est une nécessité ». D’après l’édile, près de 10 000 familles annéciennes pratiquent l’islam au sein de trois mosquées, sans compter les fidèles venus de toute la région lors des fêtes, « puisqu’Annecy est la seule ville de l’agglomération à accueillir des lieux de culte musulmans ». (…)

    L’Essor Savoyard

  • Pau (64): Leïla Abaiji et son fils Sofiane sont soupçonnés d’avoir égorgé Renaud, 66 ans, après l’avoir torturé

    Publié par Guy de Laferrière le 28 mai 2024

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    Mère et fils jugés pour meurtre et torture à Pau : un couteau et des bris de néon retrouvés dans le corps de la victime

    Une mère et son fils doivent être jugés cette semaine à partir de ce lundi matin à la cour d’assises des Pyrénées-Atlantiques, à Pau. Dans ce procès, l’un et l’autre sont accusés de meurtre précédé d’acte de torture et de barbarie. L’accusée a 53 ans, son fils quasiment 23 ans. 

     

    […]

     

    Les deux accusés se rejettent la faute

    Le corps de Renaud Leprince a été découvert dans la chambre d’un appartement à Pau. Les experts ont relevé des fractures sur le corps, notamment sur le visage, des ecchymoses, et des dizaines de plaies allant parfois jusqu’à 13 cm de profondeur. Des coupures ont été exécutées avec un couteau à pain qui a ensuite été planté dans la gorge de la victime. Des morceaux de tubes de néon ont retrouvés dans sa bouche et jusque dans son ventre et ses poumons.

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur France Bleu (édition régionale)

  • Répression judiciaire inouïe contre Jérôme Bourbon et Yvan Benedetti

    Publié par Guy de Laferrière le 28 mai 2024

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    Répression judiciaire inouïe contre Yvan Benedetti et Jérôme Bourbon.
    Yvan Benedetti a été condamné à porter un bracelet électronique pendant 3 mois pour avoir voulu rendre hommage à Pierre Sidos dans le cimetière où il repose !
    Jérôme Bourbon a été condamné à payer 43.000 € d'amende pour délit d'opinion !
    Le Parti de la France apporte son soutien à tous les deux dans ce nouvel épisode de persécution politico-judiciaire.
    Le dernier édito de Jérôme Bourbon : https://rivarol.com/.../3003-rivarol-n3448-du-2122020...
  • 28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français et rasait un village (et pour quel motif !)

    Publié par Guy de Laferrière le 28 mai 2024

    Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.

    Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.

    Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?

    Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…

    Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».

    Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.

    Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.

     

    Source : contre-info