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Le Parti de la France - Page 400

  • Euthanasie pour pauvres et SDF, le sondage choc au Canada

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2023

    L'euthanasie pour les pauvres au Canada

    Près d’un Canadien sur trois serait favorable à l’euthanasie pour les sans-abris et les plus pauvres, et pas seulement pour des raisons de santé.

    La culture de mort a le vent en poupe dans le Canada progressiste

    Sondage choc au Canada, pays gouverné par le progressiste Justin Trudeau, le premier ministre toujours aux premières loges dans les batailles du politiquement correct. Selon un sondage de ResearchCo, près d’un tiers des Canadiens croient que les gens devraient avoir accès à l’euthanasie même pour des causes liées à la pauvreté, donc étendue aux sans-abris et aux pauvres en général et pas seulement pour ceux qui souffrent d’une maladie incurable. Au Canada, actuellement, les lignes directrices fédérales en matière d’euthanasie prévoient la présence d’une condition médicale grave et irrémédiable : la demande volontaire d’aide au suicide ne doit pas non plus résulter d’une pression ou d’une influence extérieure.

    Mais selon le dernier sondage sur le sujet, environ un Canadien sur trois serait favorable à l’élargissement de l’accès à l’euthanasie même pour des causes qui ne concernent pas directement la santé des gens. Parmi les Canadiens, en effet, 27 % pensent que l’euthanasie devrait être étendue aux personnes en situation de pauvreté – un pourcentage qui monte à 41 % chez les 18-34 ans – tandis que 28 % conviennent qu’elle devrait être gratuite pour les sans-abris (sic).

    Un Canadien sur cinq pense que l’euthanasie devrait toujours être permise

    Un Canadien sur cinq (20 %) croit également que l’euthanasie devrait toujours être permise, peu importe qui la demande, tandis que 12 % croient qu’elle ne devrait jamais être permise. Dans la province de l’Alberta, près d’un habitant sur cinq (19 %) préférerait, tandis qu’au Canada atlantique, près de trois habitants sur dix (28 %) pensent que la pratique devrait être accessible à tous. Près de la moitié des Canadiens (48 %) sont satisfaits de la réglementation actuelle du pays, tandis que 27 % sont insatisfaits et 25 % incertains.

    En revanche, la question des maladies mentales et de leur éventuelle justification à l’accès à l’euthanasie est partagée : 45% soutiennent cette hypothèse, tandis que 45%, la majorité de la population, se disent contre. Autre fait intéressant : « Plus de la moitié des Canadiens âgés de 18 à 34 ans (52 %) croient que conseiller à une personne de mettre fin à ses jours devrait continuer d’être un crime », affirme Mario Canseco, président de Research Co. 

    Bonus pour le Canada progressiste : avec l’euthanasie pour les pauvres, l’Etat et les mutuelles vont réaliser des économies de soins de santé 

    En février dernier, le gouvernement canadien a retardé d’un an l’élargissement de l’accès à l’euthanasie pour les personnes atteintes de maladie mentale. Le ministre de la Santé, David Lametti, a souligné que ce report de l’entrée en vigueur de la loi laissera suffisamment de temps pour s’assurer que le système de santé protège ceux qui peuvent être vulnérables.

    Mourir avec dignité, un groupe qui défend les droits de fin de vie, a appelé à une action rapide de l’exécutif sur la question. « Pour ceux qui se sont vu refuser la compassion, l’autonomie et le choix personnel, ce n’est pas un court délai mais un autre obstacle », a déclaré le groupe dans un communiqué diffusé à la BBC. Aux États-Unis voisins, l’euthanasie est illégale dans la plupart des États. Les seules juridictions qui autorisent cette pratique sont l’Oregon, Washington DC, Hawaï, Washington, le Maine, le Colorado, le New Jersey, la Californie et le Vermont.

    Ce que ce sondage démontre est l’angle uniquement matérialiste par lequel la vie est jugée par la majeure partie des Canadiens, prototypes de l’homme post-moderne occidental, sans conscience, sans religion, déchristianisé, abruti : le pauvre ne mérite pas de vivre, sa vie n’étant pas digne d’être vécue serait-il le meilleur, le plus bon et le plus vertueux des hommes.   

    La culture de mort a le vent en poupe dans le Canada du progressiste Justin Trudeau, notamment quand l’on songe que l’on y a confiné les gens de manière drastiques, arrêter l’économie, et rendus pauvres des centaines de milliers de personnes par la même occasion, pendant la pseudo-pandémie covidienne, pour sauver des personnes âgées de plus de 90 ans que l’on va ensuite euthanasier pour cause de pauvreté.

    Plus que jamais le ‘progrès’ sociétal du monde post-moderne est synonyme de nihilisme : la haine de la Création est son mantra, et les économies des soins de santé sa finalité. 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Trois jeunes policiers assassinés par une racaille

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mai 2023

    Le Parti de la France salue la mémoire des trois jeunes policiers assassinés par une racaille qui a percuté leur véhicule en roulant à contre-sens, à une vitesse excessive, en pleine agglomération.
    Si les noms et photos des policiers ont rapidement circulé, ceux du chauffard et de son acolyte ne sont pour l'instant pas révélés. On commence à avoir l'habitude avec la presse aux ordres, toujours soucieuse que les Français ne fassent pas d'« amalgame ».
    Pourtant, quiconque habite une grande ville peut constater l'incivilité permanente des allogènes au volant ou sur deux roues, mettant en danger la vie des piétons et des autres utilisateurs de la route, bien souvent avec une écœurante impunité.
    Déjà surreprésentés dans les prisons, il serait bien étonnant que les immigrés ou individus d'origine immigrée ne le soient pas également dans la délinquance routière. Des statistiques ethniques - hélas interdites en France - seraient sûrement édifiantes.
    Pour éviter ce genre de drame, la remigration massive des extra-européens qui n'ont rien à faire en France serait un préalable indispensable.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
    Peut être une image de 3 personnes et texte qui dit ’Hommage à Paul 25 ans Hommage à Manon 24 ans Hommage à Steven 25 ans’
     
     
     
     
     
     
     
     
  • Bordeaux. «On bafoue le principe de laïcité et c’est assumé» : le menu halal du collège Émile Combes inquiète des parents d’élèves

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mai 2023

    Au collège Émile Combes à Bordeaux, lundi, le menu de la cantine présente un sauté de bœuf halal. Une connotation religieuse qui suscite une vive inquiétude chez certains parents d’élèves. Le mouvement Parents vigilants de la Gironde, fondé par Reconquête ! en 2022, alerte sur la politisation des enfants dans l’assiette.

    Émile Combes (1835-1921), homme politique français, a mené a une politique très anticléricale, qui aboutira en 1905 à la loi de séparation des Églises et de l’État et à l’instauration de la laïcité dans les établissements scolaires. [NDLR]

    Miniroulé au fromage, sauté de bœuf halal, chou-fleur, fromage et fruit. Sur Pronote, le collège Émile Combes de Bordeaux n’affiche aucune alternative au plat principal qui sera servi à la cantine, lundi. «Ce qui choque, c’est qu’on bafoue le principe de laïcité et que c’est assumé», s’indigne Virginie Tournay, porte-parole des Parents vigilants en Gironde. Le mouvement, lancé par Reconquête ! en septembre 2022, a été alerté par le père d’un des collégiens, aussi soucieux qu’offusqué. «Cela inquiète car on cède à une pression communautaire qui cible nos enfants parce qu’ils sont malléables. On leur apprend une manière politisée de vivre et de voir la société alors que le collège devrait justement être un rempart aux problèmes d’adultes», insiste Virginie Tournay. […]

    Le Département de la Gironde réfute cette accusation. Il rétorque pour clore le débat, que le choix des menus est à la discrétion des établissements scolaires qui, de surcroît, «sont autorisés à servir de la viande halal sans obligation de le stipuler».

    Le Figaro via fdesouche

  • Dieu est Trans : c’est le titre d’une exposition dans une église de New York

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mai 2022

    église New York Dieu trans
     

    Selon le New York Post, l’église catholique new-yorkaise de Saint-Paul a organisé début mai une exposition artistique avec pour titre : « Dieu est Trans, un voyage spirituel Queer. » Queer se traduit mal en français, il désigne une identité sexuelle « bizarre », multiple. En général, selon ceux qui illustrent et défendent la chose, le mot désigne « toute personne ou identité allant à l’encontre des normes structurant le modèle social hétéronormatif et cisnormatif » et refuse de reconnaître la « binarité des genres (féminin/masculin) ». Mis au courant par la presse, l’archidiocèse de New York a exprimé sa « préoccupation » et l’exposition aurait été retirée, sans qu’on sache précisément où.

     

     

    Dieu est Trans, le diable n’existe pas, l’archevêque « préoccupé »

     

    Adah Unachukwu, l’« artiste » à l’origine de l’exposition sur « Dieu Trans », entendait « tracer la carte du voyage spirituel Queer par trois points principaux : Sacrifice, Identité, Communion. » Et d’affirmer la nécessité de se dépouiller le vieil homme pour « se concentrer sur notre besoin spirituel. Il n’y a pas de diable : seulement nos vieux moi ». Joseph Zwilling, le porte-parole de l’archidiocèse, tout en exprimant sa « préoccupation », n’a pas confirmé que l’exposition avait été retirée, mais s’est défaussé sur la paroisse, tenue par des « Pères de Saint Paul ». Celle-ci n’a pas répondu aux demandes de CNA sur la question.

     

     

    L’église new-yorkaise partagée

     

    Les paroissiens ne savent pas très bien ce qu’il en est du retrait. L’un d’entre eux affirme que « les prêtres n’ont pas répondu. Vous pouvez la cacher ». Ceux qui fréquentent cette église new-yorkaise seraient partagés, les uns pour, les autres contre cette exposition. Le site web de la paroisse estime que son devoir pastoral est de « se sensibiliser à la communauté LGBTQ ». Sur sa page Facebook, à la date du 3 mai 2022, voilà un an, l’équipe pastorale a célébré la journée internationale de visibilité des Trans et affirmé qu’elle avait « l’intention d’organiser des événements avec des plateaux de discussions sur la théologie Trans et la santé très prochainement ». Cette exposition est un apéritif en quelque sorte.

     

     

    Pauline Mille

     

    Source : reinformation.tv

  • Le Soler (66) : suite à la fermeture de son épicerie pour trouble à l’ordre public, un migrant fait irruption dans la mairie et menace de mettre la ville “à feu et à sang” ; la maire placée sous protection (MàJ : procès)

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mai 2023

    fdesouche

    22/05/23

    Il comparait ce matin pour “menaces de mort” et “menaces à l’encontre de personnes dépositaires de l’autorité publique”. Le tribunal correctionnel de Perpignan se penche ce lundi 22 mai sur le cas d’un commerçant du Soler (Pyrénées-Orientales) qui avait proféré, en novembre dernier, des menaces à l’encontre de plusieurs élus locaux.

    Armelle Revel-Fourcade, maire du Soler, avait porté plainte à la gendarmerie le 17 novembre 2022 après l’irruption dans sa mairie d’un individu “agressif”. Selon les mots de l’élue, l’homme se serait montré “menaçant et obscène envers les agents et les élus présents”, et aurait menacé, selon L’Indépendant, “de mettre Le Soler à feu et à sang”.

    “Vente illégale” de cigarettes

    Ce différend trouve son origine dans la fermeture administrative de l’établissement que tenait ce commerçant, une épicerie de nuit qui provoquait, selon les dires de l’élue, un “trouble à l’ordre public”, en raison de la “vente illégale” de cigarettes et d’un “stationnement anarchique” dans la rue principale de sa commune.

    Le propriétaire d’une épicerie de nuit du Soler (Pyrénées-Orientales) a été placé en garde à vue ce lundi dans les locaux de la gendarmerie. Suite à la fermeture administrative de son établissement, il a fait irruption à la mairie en proférant “des menaces de destructions graves”.

    Je vous avoue que depuis quelques jours, je ne dors pas très bien.” La maire du Soler (Pyrénées-Orientales), Armelle Revel-Fourcade, a porté plainte à la gendarmerie ce jeudi 17 novembre après l’irruption dans sa mairie d’un individu “agressif”. “Il était furieux que l’on ait obtenu la fermeture administrative de son épicerie de nuit. Ce monsieur a tenu des propos obscènes et menaçants.” L’élue indique avoir été “placée sous protection“. 

    (…) La Dépêche


    23/11/22

    Après avoir procédé à plusieurs auditions ces derniers jours, les gendarmes ont placé un suspect en garde-à-vue ce lundi pour “menaces de destructions graves“. Déjà condamné pour violences par le passé, cet homme aurait notamment menacé de “mettre la ville du Soler à feu et à sang“, pour se venger de la fermeture administrative de son établissement. Des vérifications sont en cours auprès de la préfecture pour savoir si l’individu, d’origine étrangère, est en situation régulière sur le sol français. 

    Selon Armelle Revel-Fourcade, l’épicerie de nuit provoquait un “trouble à l’ordre public“, en raison de la “vente illégale” de cigarettes et d’un “stationnement anarchique” dans la rue principale de sa commune. La police municipale et les services de gendarmerie ont travaillé “plusieurs mois” à la fermeture administrative de l’établissement. 

    Surprise : dès le lendemain, l’épicerie de nuit a rouvert ses portes dans un autre local, situé à une dizaine de mètres du précédent, avec “un nouveau gérant qui n’est qu’un prête-nom“, s’indigne la maire du Soler. “J’en ai immédiatement informé le préfet, qui a prononcé une deuxième fermeture administrative, dès jeudi. Mais depuis, le commerce est toujours ouvert. En tant qu’élue locale, je me sens impuissante.” 

    France Bleu