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Le Parti de la France - Page 451

  • Stalinisme et pluralisme

    Publié par Guy de Laferrière le 12 avril 2023

    Sophie Binet, âgée de 40 ans, vient de succéder à Philippe Martinez à la tête de la très stalinienne CGT, à la faveur de la contestation de la ligne « trop modérée » (sic !) du dirigeant sortant.

    Il est assez intéressant de constater que la nouvelle secrétaire générale a fait ses premières armes à la Jeunesse ouvrière chrétienne.

    J’ignore si, à l’époque, elle était pratiquante catholique. Mais ce qui est sûr est que Sophie Binet est la plus récente d’une longue série de militants passés par l’Action catholique et transformés en compagnons de route du communisme, voire en bons tchékistes (malgré l’officielle séparation entre la CGT et le PCF, je doute fort qu’il soit possible de prendre la tête du syndicat sans la « bénédiction » du politburo du parti).

    Quand on pense que l’Action catholique avait été imaginée au début du XXe siècle pour rebâtir la civilisation chrétienne et notamment que la JOC visait alors à contester l’influence révolutionnaire au sein même du monde ouvrier, on mesure l’effondrement – et on mesure à quel point la crise de l’Église est désastreuse pour le monde occidental tout entier.

    Mais revenons à notre sémillante pasionaria.

    Je passe sur les « figures obligées » du fameux « parcours militant ».

    Mais je note tout de même au passage que les temps changent. En 1968, le PCF avait le plus souverain mépris pour les agitateurs estudiantins et considérait que les revendications que l’on n’appelait pas encore « sociétales » cachaient des « vices bourgeois ».

    Désormais, on peut arriver à la tête de la CGT par des manifs étudiantes et le féminisme.

    Cependant, je voudrais surtout relever une permanence fondamentale. Dès sa première sortie publique, la camarade Binet a été filmée refusant de répondre à des journalistes de Cnews au nom du pluralisme ! Plus exactement, elle affirme s’adresser à « tous les médias qui garantissent la liberté d’expression et la pluralité ». Comme la « Pravda » ou « L’Humanité » ?

    On croit rêver. Que des staliniens osent encore, en France, en 2023, donner des leçons de liberté d’expression laisse pantois.

    Mais il y a plus coupable que Sophie Binet : les majorités de centre gauche ou de centre droit qui distribuent des millions d’euros à la CGT, à « L’Humanité » et aux centaines de pseudopodes d’un parti qui n’a toujours pas dénoncé les crimes de Lénine, Trotski, Staline, Mao ou Pol Pot portent une responsabilité écrasante dans cette profonde imprégnation de notre société par le marxisme.

    Les propos scandaleux de Sophie Binet vont-ils enfin réveiller ces « idiots utiles » ?

     
  • Tu es complotiste.

    Publié par Guy de Laferrière le 12 avril 2023

    Tu es chaque jour entouré d'allogènes et tu crois au Grand Remplacement ? Tu es complotiste.
    Tu es chaque année en gants et en bonnet début avril et tu ne crois pas à l'apocalypse climatique ? Tu es complotiste.
    Chaque jour est une apologie du complotisme, vive le complotisme !
    Qui sont les véritables complotistes ? | Réseau International
  • Un immigré sous OQTF mis en examen pour meurtre, quand cela cessera-t-il ?

    Publié par Guy de Laferrière le 12 avril 2023

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    Michel Festivi

    Un Ivoirien de 26 ans, « déjà connu des services de police », selon l’expression mille fois ressassée, vient d’être mis en examen et écroué pour avoir tué, à l’arme blanche, un homme, dans un foyer de « jeunes travailleurs » de Meaux, ce 6 avril 2023. (Cf le Figaro du 10 avril 2023).

    La « victime » plantée par deux couteaux dans le thorax, est décédée, « il s’agit d’une altercation entre personnes alcoolisées pour un motif sans aucun doute futile » a cru devoir préciser le Procureur de la République. Le suspect est connu pour avoir fait l’objet de plusieurs OQTF, il aurait reconnu les faits. Pourquoi alors restait-il tranquillement dans notre pays, au vu et au su de tous ? Pourquoi Monsieur Darmanin, si prompt en propos virils n’avait-il rien fait entreprendre par ses services pour faire appliquer les décisions de ses propres préfets ?

    Mais ce phénomène migratoire du tiers monde remonte à loin, très loin. Déjà en 1985, Bernard Stasi, ce parfait représentant de la caste politique française sclérosée et anémiée, avait écrit un livre au titre annonciateur des futurs Callac d’aujourd’hui : « l’Immigration une chance pour la France ». Effectivement, les milliers d’OQTF délivrées sans aucune suite, en sont la preuve. L’Histoire n’est jamais une suite de hasards.  

    Tous nos compatriotes devraient lire le remarquable discours sur l’immigration, prononcé le 15 novembre 2022 à l’amicale gaulliste du Sénat, dans le cadre d’un colloque de la Fondation Res Publica, par Pierre Brochand, ex Directeur Général de la DGSE, ancien ambassadeur de France, devant notamment une kyrielle de Sénateurs et de Monsieur Gérard Larcher, Président du Sénat, qui devrait le méditer plutôt que de s’en prendre aux français patriotes. Monsieur Pierre Brochand est tout sauf un farfelu extrémiste me semble-t-il.

    Que dit-il d’essentiel ? Tout d’abord le titre de son exposé annonce la couleur : « Pourquoi l’immigration est l’enjeu central de notre vie publique ». Et ensuite et surtout : « Commençons par tordre le cou au « canard », selon lequel la France aurait toujours été un pays d’immigration. Pendant 1000 ans, des Carolingiens à Napoléon III, rien ne s’est produit. ». Et de confirmer que la première vague d’immigration, de 1850 à 1970 a été une immigration : « d’origine euro-chrétienne, discrète, laborieuse, reconnaissante, régulée par l’économique et le politique, elle a représenté un modèle indépassable de fusion réussie ». C’est notre immigration des italiens, polonais, russes, belges, espagnols, portugais etc., et de divers pays d’Europe de l’Est du nord ou du sud, qui se sont fondus immédiatement dans le creuset français.

    Puis, comme le signale Pierre Brochand, la deuxième, depuis 1970, « est l’exact contraire de la première ». Et de préciser : « C’est une immigration de peuplement irréversible, qui n’est calibrée ni par l’emploi, ni par le politique, mais engendrée par des droits individuels, soumis au seul juge national ou supranational. Nous sommes donc submergés par des flux en pilotage automatique, « en roue libre », dont les Français n’ont jamais explicitement décidé ».

    Pierre Brochand rajoute, ce que tout le monde pense mais ne dit jamais : « L’écart identitaire qui nous sépare des arrivants n’a aucun équivalent dans notre histoire. Tous viennent du « tiers-monde », de sociétés hautement défaillantes, et la majorité est de religion musulmane… ». Selon lui, « de tous les défis qu’affronte notre pays, l’immigration est le seul qui menace la paix civile et, à ce titre, j’y vois un préalable à tous les autres. » A l’échelle de l’Histoire cette vague n’a qu’une cinquantaine d’année.

    C’est pourquoi nous assistons aujourd’hui à la dégénérescence de l’Etat, à des Callac que l’on veut imposer contre l’avis de la population mordicus, ainsi qu’à des milliers d’OQTF, jamais mises en œuvre. L’Histoire est une fois de plus éclairante. Car comme le souligne Pierre Brochand, on nous ressert en permanence cette fable : « On nous raconte simultanément que l’immigration n’existe pas, qu’elle existe et que c’est une bénédiction (ex Bernard Stasi nda), qu’elle a toujours existé et que c’est une fatalité, que l’accueillir est un devoir moral, mais qu’elle va payer nos retraites et pourvoir aux emplois dont les français ne veulent pas. »

    Gérald Darmanin est strictement sur cette même ligne, que celle avant lui, Bernard Stasi. Notre ministre de l’intérieur avait déclaré le 6 novembre 2022 à l’Assemblée Nationale : « Nous pensons que l’immigration fait partie de la France et des français depuis toujours. ». Ce qui est un mensonge historique absolu. C’est exactement se situer à l’opposé du formidable discours de Monsieur Pierre Brochand. Dès lors on comprend la politique de Monsieur Darmanin : des OQTF jamais mises en applications et des Tentatives de Callac à n’en plus finir.

     

    Source : synthesenationale

  • Détruire une église désacralisée

    Publié par Guy de Laferrière le 12 avril 2023

    Par un snobisme ridicule qui n'a rien à envier à l'ex-ministre de la culture Roselyne Bachelot pour qui détruire une église désacralisée n'est qu'une question immobilière comme une autre à laquelle il est ridicule de s'opposer au nom de la foi, les pseudo-intellos de droite, qui se moquent des activistes qui ont provoqué l'annulation du concert de Bilal Hassani sous prétexte qu'ils seraient tombés dans le piège d'une provocation, et que de toutes façons l'église n'était plus une église mais une salle de spectacle, passent à côté du cœur du sujet : les Français conscients de leur identité et du combat qui est quotidiennement mené contre ce qu'ils sont, des Blancs et des catholiques, sont révoltés par la profanation que cette société promet à leur héritage de pierres, de sang et de spiritualité.
    C'est un mouvement de résistance au camp de l'anti-France, c'est le signe extérieur d'une France en rupture avec ce monde moderne, mais bon, comme ce n'est pas un manifeste de 700 pages signé Evola, nos intellos « du milieu » préfèrent hausser les épaules...
     
    Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France
     
    Peut être une image de 2 personnes et barbe
     
     
     
     
     
     
     
  • Charles Michel, un président du Conseil européen aux voyages coûteux et polluants

    Publié par Guy de Laferrière le 11 avril 2023

    Les dépenses liées aux déplacements du dirigeant européen sont très supérieures à celles de ses prédécesseurs. Elles s’expliquent notamment par un recours fréquent aux avions privés, y compris pour de courts trajets. Une enquête du Monde atteste une augmentation substantielle des dépenses du dirigeant européen et un usage intensif des avions privés, très coûteux et néfaste en termes de bilan carbone.

    A Bruxelles, le goût de Charles Michel pour les voyages fait jaser. Depuis le reflux du Covid-19, le président du Conseil européen s’est transformé en véritable globe-trotter. De New York à Pékin, de Phnom Penh à Johannesburg, de Doha à Tokyo, en passant par Berlin, Paris ou Prague, il parcourt la planète. Dans les institutions, des diplomates comme des fonctionnaires s’offusquent des déplacements « coûteux » de l’ex-premier ministre belge. La presse spécialisée sur les affaires communautaires, que Charles Michel et son entourage consultent avec angoisse chaque matin, se fait régulièrement l’écho de ces critiques.

    Pour 2024, le budget du président du Conseil européen, en cours d’adoption, s’élève à 2,6 millions d’euros, en hausse de 27,5 % par rapport à 2023, comme l’a révélé Politico. Cette augmentation s’explique « principalement », indique le secrétariat général du Conseil dans une note du 1er mars, par « l’intense activité internationale » de Charles Michel « à la suite de la guerre en Ukraine ». « Il faut expliquer aux pays tiers nos sanctions contre Moscou et lutter contre le narratif de Poutine selon lequel elles seraient responsables de l’inflation », détaille son entourage. Lors d’une réunion consacrée au sujet, le 9 mars, neuf pays, dont l’Allemagne, l’Italie et la Pologne, ont néanmoins demandé des « éclaircissements » sur cette hausse. L’Autriche et la Slovaquie ont évoqué les « problèmes d’image » qu’un tel train de vie peut poser.

    L’an prochain, les dépenses de voyages de Charles Michel et des délégations qu’il emmène – membres du cabinet, personnels du protocole, de la sécurité, du service communication, cameraman, photographe… – devraient atteindre 1,985 million d’euros, supérieures de plus d’un tiers à celles inscrites au budget 2023. Du temps de ses prédécesseurs, son compatriote Herman Van Rompuy (2010-2014) et le Polonais Donald Tusk (2014-2019), ces frais ne dépassaient pas 500 000 euros pour un budget total contenu sous le million d’euros. L’inflation ne peut expliquer à elle seule cette envolée.

    Désireux de faire exister l’Union européenne (UE) sur la scène mondiale, de l’incarner aux côtés des présidents américain ou chinois, Charles Michel conçoit sa fonction comme éminemment internationale. Au-delà des obligations qu’elle implique – rencontrer des dirigeants européens afin de préparer les conseils des chefs d’Etat et de gouvernement, participer à des sommets internationaux (G20, G8, G7, COP, sommets bilatéraux…) –, l’ex-premier ministre belge veut faire entendre la voix de l’Europe partout sur la planète. « Plusieurs dirigeants, comme Merkel ou Macron, lui ont demandé, avant sa nomination, de s’engager plus avec les pays tiers », assure une source. « Au lieu d’aborder la fonction avec humilité, il considérait qu’il avait rendez-vous avec l’histoire », ironise un diplomate européen. […]

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