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Depuis 2016, le flux de migrants qui traverse illégalement la frontière entre l’Italie et la France, s’il a parfois faibli, ne s’est jamais tari. Chaque jour, une poignée de personnes exilées rejoignent Briançon après plusieurs heures de marche sur les sommets enneigés. Ils sont originaires du Maghreb, de l’Afrique de l’Ouest ou encore des Balkans.
Face à ces arrivées, les associations locales d’aide aux migrants continuent de se mobiliser. Mais le ton vis-à-dis de ces associations se durcit. La nouvelle municipalité refuse d’apporter toute aide financière à ces associations et la Préfecture souhaite encore renforcer les forces de police à la frontière. Les bénévoles réfutent, eux, les accusations d’encourager les passages illégaux et de créer un appel d’air. Ils dénoncent en retour “le désengagement de la Ville et de l’État” sur les mises à l’abri. La crispation s’intensifie dans le Briançonnais, sept ans après le début des premiers passages.
Le projet de centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) à Beyssenac fait débat. Ce samedi 18 février, opposants et défenseurs se sont fait face, sur la place du château de Pompadour.
Un drapeau français. Une affiche « Non aux migrants dans nos campagnes ». Le message du collectif, « Sauvons Beyssenac », pouvait difficilement être plus clair, ce samedi 18 février, devant les remparts du château de Pompadour. Soutenu par les partis des Patriotes et Reconquête, ce rassemblement, réunissant une vingtaine de personnes, s’opposait au projet de création de centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada) à Beyssenac, d’une capacité de 40 places.
Un nouveau Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile va voir le jour en Corrèze, avec la création de 40 places d’hébergement dans une ancienne auberge de Beyssenac. L’implantation de cette nouvelle structure, décidée par le préfet, soulève l’opposition de certains riverains.
La Corrèze va ouvrir 40 places d’hébergement supplémentaires pour les demandeurs d’asile. Un CADA va ainsi s’installer à Beyssenac, dans une ancienne auberge rachetée par l’association Viltaïs, qui sera chargée de gérer ce centre d’accueil. Cela permettra de passer de 310 à 350 places pour les demandeurs d’asile en Corrèze, où le préfet Etienne Desplanques précise qu’il y avait encore des efforts à faire pour permettre d’assurer une meilleure répartition des demandeurs d’asile au sein de la Nouvelle-Aquitaine. L’ouverture est prévue dès le mois d’avril, malgré les critiques et les inquiétudes que suscite cette nouvelle structure.
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Mais ça pose des questions de sécurité pour Philippe Ponge, référent du collectif “Sauvons Beyssenac”, qui a lancé une pétition contre ce CADA.
“On ne sait pas qui seront les gens, donc on ne sait pas ce que ça va donner autour du village et ça nous inquiète. Les gens ont l’habitude de laisser leurs portes ouvertes, ils ne pourront plus le faire. J’ai parlé à une dame qui m’a dit qu’elle ne pourra plus faire son footing dans le coin parce que c’est risqué… Pour les écoles, ça risque aussi de rabaisser le niveau scolaire, c’est tout un ensemble qui nous inquiète.”
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La peur de l’inconnu va vite s’estomper selon l’association Viltaïs
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Le représentant de l’Etat espère que, parmi les futurs pensionnaires du CADA de Beyssenac, certains choisiront aussi de rester dans le secteur, pour postuler dans des entreprises qui peinent à recruter.
Rencontre avec la population : ce matin j'étais sur le petit marché de Grisolles (82 Tarn-et-Garonne) pour présenter les 9 Idées-Forces du Parti de la France
Les deux policières venaient d’interpeller un adolescent soupçonné d’avoir volé un scooter, lorsqu’elles ont été rouées de coups par un groupe d’une dizaines de personnes. Trois suspects ont été interpellés et placés en garde à vue.
Deux policières ont été agressées par une dizaine d’individus lors d’une intervention dans le quartier Nocaze à Montélimar (Drôme), ce mercredi après-midi. Elles ont été blessées au niveau du visage. Trois suspects, dont un mineur de 13 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue le lendemain matin a appris Actu17.
Un équipage de police-secours a été requis pour le vol d’un scooter vers 16 heures. Les deux policières arrivent rue Joliot-Curie et prennent contact avec la victime. Un adolescent âgé de 13 ans, voleur présumé du deux-roues, est alors interpellé mais un groupe d’une dizaine de personnes surgit et s’en prend aux deux fonctionnaires ainsi qu’à la victime. “Les deux agents ont été rouées de coups, notamment au visage, et le suspect en a profité pour s’enfuir”, indique une source proche de l’enquête.