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Le Parti de la France - Page 454

  • LE MONDES DES « COLLABOS » SE PORTE BIEN !

    Publié par Guy de Laferrière le 11 avril 2023

    Le bloc-notes de

    Jean-Claude Rolinat

    collabos,jean-claude rolinat

    Le 6 février 1945, la République française faisait fusiller l’écrivain Robert Brasillach, coupable d’avoir écrit « des choses pas bien » dans la presse du Paris occupé… Les 10 et 15 octobre suivants, Joseph Darnand – héros des deux guerres, qui avait eu la tragique et malheureuse idée de mettre à la disposition de l’occupant sa force supplétive, la Milice, – et Pierre Laval, qui  commit la stupide et regrettable erreur de « souhaiter la victoire de l’Allemagne » – étaient, eux aussi, passés par les armes. Dont acte.

    Le maréchal Pétain, qui avait fait « don de sa personne à la France » et mis un terme provisoire  au drame  de mai/juin 1940 qu’il n’avait en rien provoqué, échappa de peu à la peine de mort en raison de son grand âge et, surtout, grâce à l’intervention de son ancien protégé, un certain Charles De Gaulle, alors Président du gouvernement provisoire de la République française.

    La justice française dit-elle réellement le droit ?

    Deux exemples. À quoi assistons-nous aujourd’hui ? Le Conseil d’Etat veut éjecter la statue de Saint-Michel, patron entre autre des « paras », hors du domaine public aux Sables d’Olonne, cédant ainsi à la pression d’une petite bande de laïcards invétérés. Hier, la justice condamnait de jeunes identitaires pour avoir, parait-il, « usurpé » à nos frontières  des fonctions régaliennes  que l’État n’exerçait pas. Et pendant que nos juges punissaient des patriotes, les financiers et les équipages de SOS Méditerranée - avec leur bateau l’Océan Viking – pouvaient et continuent sans crainte aucune, de récupérer les clandestins africains rançonnés par des « passeurs », bien tranquillement installés sur les côtes libyennes.

    De l’argent pour financer « l’invasion »

    Mieux, toute une kyrielle d’associations, telles que France Terre d’asile, la CIMADE, le  Lab fraternel, etc…, sous des prétextes humanitaires,aident, conseillent, logent, nourrissent, entretiennent une marée de clandestins hâtivement renommés du terme de « migrants » - c’est plus « chic », ç’est plus émouvant dans l’imaginaire public – et participent ainsi, à actionner quotidiennement les pompes aspirantes d’une immigration non désirée. Sans parler de ces quelques 40 à 50 000 pseudos « mineurs isolés » - on ne sait plus ! - bien protégés par la justice et qui nous coûtent quelques  2 milliards d’euros  par an. Les signaux sont bien perçus en Afrique - continent à la dérive comme nous l’explique si bien le Professeur Bernard Lugan - qui exporte ainsi sa monstrueuse démographie. Alors qu’il suffirait de lancer des messages, comme l’Australie le fait, « No Way » !

    De nouveaux collabos

    Pire, des complices de cette invasion pas toujours pacifique, qui opèrent en dehors de tout contexte d’immigration légale, bénéficient de la clémence de Thémis, alors que des jeunes gens de Génération identitaire - nous venons de le voir - qui avaient occupé d’une manière symbolique un col alpin sans commettre de dégâts ni d’agressions, ont été condamnés.

    L’auteur de ces lignes, voyageur averti, a pratiqué plusieurs cols franco-espagnols et peut témoigner : très souvent - trop – ces passages n’étaient pas contrôlés, tant du côté espagnol – vierges de gardes civils – que du côté français, où aucun képi n’apparaissait à l’horizon. Peut-être CRS, gendarmes et douaniers étaient-ils trop occupés à traquer le fumeur compulsif, qui cherchait à passer en contrebande des cartouches de cigarettes à la frontière franco-andorrane ? N’ayons pas non plus la mémoire courte, ce sont bien les autorités françaises qui autorisèrent l’année dernière, un bateau chargé de clandestins à accoster à Toulon, au fallacieux prétexte  qu’aucun port méditerranéen ne s’ouvrait à lui.

    Sans aller, bien entendu, jusqu’à des mesures « définitives » dont les collaborateurs de 1940-1944 furent les victimes – c’est, bien sûr, volontairement que j’ai pris ces exemple extrêmes - la VRAIE justice ne pourrait-elle pas s’occuper de ceux qui violent les lois françaises, et permettent ainsi l’arrivée illégale d’étrangers trop souvent inassimilables, dans notre pays ? Faciliter l’entrée frauduleuse sur notre territoire, n’est-ce pas un  acte de collaboration à une sorte « d’invasion », même si cette dernière revêt, dans un premier temps, un visage pacifique ? Je sais, croire en cela ou au Père Noël, c’est la même chose. Alors, oui, vite, vite, un Gouvernement National aux manettes de l’État français, pour dire et faire appliquer le droit, bref remettre les pendules à l’heure !

     

    Source : synthesenationale

  • Les ministres étrangers de « l’Education » et de la « Culture » soutiennent la provocation antichrétienne d’un travelo maghrébin

    Publié par Guy de Laferrière le 10 avril 2023

    Qui aurait pu imaginer un tel spectacle il y a 20 ans, à part les nationalistes les plus lucides ?

    Après la victoire que des Français et chrétiens non-reniés ont obtenu en exigeant fermement l’abandon d’un projet scandaleux, certaines réactions valent d’être mises en valeur :

    1. Deux envahisseurs sont à la tête d’importants ministères (ministères auxquels la gauche s’est toujours accroché à juste titre pour son combat culturel, et dont l’un – la culture – lui fut offert par De Gaulle avec des conséquences terribles).
    2. Ces deux funestes personnages brandissent les armes du « politiquement correct », avec des mots sensés tuer tout débat (et qui font hélas encore effet sur les esprits faibles), pour défendre le projet d’un concert quasi-pornographique donné par un travesti maghrébin dans une église désacralisée.

    Vraiment, quel symbole de cette benne à ordures qu’est devenue la France !

    Et bravo aux résistants qui ont empêché ce répugnant spectacle, a fortiori dans un édifice qui, même s’il est désacralisé, fut érigé pour la gloire de Dieu, dans une époque de foi et de progrès moral (le vrai « progrès »).

     

    Source : contre-info

  • Joyeuses Pâques !

    Publié par Guy de Laferrière le 09 avril 2023

    La plus importante fête chrétienne de l’année commémore la résurrection du Christ et l’instauration d’une nouvelle ère de rédemption pour l’humanité.

  • Carcassonne (11) : “Je vais revenir pour tout faire sauter à la kalach ! Je vous le jure sur le Coran !” ; Nahima, qui assure n’être “pas radicalisée du tout”, condamnée à 6 mois de sursis pour menaces répétées

    Publié par Guy de Laferrière le 08 avril 2023

    Placée en détention provisoire à l’unité pour femmes de la prison de Seysses depuis mercredi soir, c’est sous escorte des agents de la pénitentiaire que Nahima est arrivée à la barre du tribunal hier après-midi, pour son jugement en comparution immédiate. À cette native de Montpellier tout juste majeure, il était reproché des faits de “menace de mort à l’encontre d’un chargé de mission de service public”, le 3 avril à Carcassonne. Mais aussi un “outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique” et une “rébellion”, datant du 9 mars à Lavaur (Tarn).

    (…) Le 9 mars, Nahima tout juste majeure va alors outrager deux agents pénitentiaires alors qu’elle était en train de casser sa cellule : “Sur le Coran, je vais vous niquer bande de fils de pute…” Sur le trajet la menant au quartier disciplinaire, Nahima a poursuivi les insultes en se rebellant.

    Le 16 mars, suite aux menaces proférées envers des agents du foyer de Perpignan en début d’année, la jeune femme sera donc condamnée à 3 mois de prison assortis d’un sursis probatoire pour deux ans, avec une obligation de soins et celle de faire un travail d’intérêt général de 70 heures. Pas de prison mais un passage obligé en psychiatrie, avant de prendre le train pour Carcassonne depuis Lavaur, le 23 mars. Une semaine après, c’est à la Maison Départementale des Solidarités (MDS), rue du Palais à Carcassonne, que Nahima va se rendre pour récupérer ses papiers d’identité. En vain, puisqu’elle va se heurter à un agent de sécurité qui ne la laissera pas rentrer. Aux agents présents ce lundi 3 avril : “Je vais revenir pour tout faire sauter à la kalach, et cette fois-ci ce ne sera pas des guns factices ! Je vous le jure sur le Coran et le bébé que j’ai perdu à cause de vous !”

    Devant le tribunal, Nahima a reconnu l’ensemble des faits reprochés, en indiquant que ses mots avaient dépassé sa pensée et qu’elle n’était “pas radicalisée, du tout !” (…)

    La Dépêche via fdesouche