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Le Parti de la France - Page 450

  • Gestion des migrants : Cherbourg craint de devenir un nouveau Calais

    Publié par Guy de Laferrière le 20 février 2023

    La question migratoire étant sous-estimée depuis des années, un défaut d’anticipation est constaté de la part des autorités portuaires. Sur le port de Cherbourg, nouveau « point chaud » pour les migrants depuis le Brexit, les policiers ne chantent ni ne dorment.

    Historiquement port d’émigration vers les États-Unis, le port de Cherbourg connaît depuis le Brexit l’explosion et l’ingérence d’intrusions incontrôlées et illégales. Depuis le démantèlement de la « jungle de Calais », les clandestins, en majorité de jeunes Afghans, tentent leur chance de passer de l’autre côté de la Manche. Désemparées face à cette pression migratoire, les autorités sont contraintes d’employer de nouveaux moyens. « C’est le jeu du chat et de la souris », soulignent les autorités, une enquête réalisée pour Le Figaro par le journaliste cherbourgeois Rodolphe Geisler révèle que les migrants n’hésitent pas à défier les policiers sur leur nouvelle aire de jeu.

    Alors que le port de Cherbourg connaît un renouveau important grâce à plusieurs projets de développement, son succès s’accompagne d’une explosion de l’immigration clandestine, notamment en direction de l’Irlande. Insultes, bagarres, coups de feu, ces dernières années la tension monte entre les clandestins et les autorités sur le port français.

    Avec un millier d’intrusions par mois enregistrées cette année, contre 300 il y a à peine deux ans, les menaces sur la sécurité et sur l’économie ont un poids considérable sur la stabilité du commerce. En effet, d’après Yannick Millet, directeur général du port : « Trois entreprises de transport ont menacé de quitter Cherbourg pour Zeebrugge, en Belgique, qu’elles estiment mieux surveillé ! ». Sans compter que la réparation des dégâts causés par les migrants mobilise un budget considérable.

    Dans le cadre des accords de Touquet de 2003, qui engage le Royaume-Uni à fournir une aide financière pour renforcer les mesures de sécurité et les contrôles aux frontières du coté français, une nouvelle clôture de 4 mètres a été installée en doublon juste devant l’ancienne clôture de 2,80 mètres.

    (…) Omerta via fdesouche

  • Auchan refuse de quitter la Russie, et a bien raison !

    Publié par Guy de Laferrière le 20 février 2023

    Auchan refuse de quitter la Russie, et a bien raison ! "Abandonner nos employés, leurs familles et nos clients n’est pas le choix que nous avons fait" : en effet, le bon choix, c'est de rester là où l'on est implanté. Sinon, pourquoi ne pas arrêter toute relation avec... la Chine, par exemple. Le marxisme-léninisme chinois serait-il "chimiquement pur" ? Plus pur que Poutine ? On demande à voir !!!!!

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    Source : lafautearousseau

  • Cassandre Fristot prône l’alliance des peuples natifs sous la bannière de la Croix

    Publié par Guy de Laferrière le 20 février 2023

    Invitée à tenir une conférence devant le public de Civitas Suisse, Cassandre Fristot a souligné le rôle de Civitas en tant que nouvelle Ligue catholique permettant aux catholiques de se coaliser dans leurs nations respectives.


     

     

    Source : medias-presse.info

  • Fabien Bouglé : «L’Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF»

    Publié par Guy de Laferrière le 20 février 2023

    Fabien Bouglé : «L’Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF»

    Fabien Bouglé, expert en politique énergétique et auteur de l’ouvrage “Nucléaire, les vérités cachées” aux Éditions du Rocher, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, ils s’intéressent aux raisons des difficultés d’EDF.

     

    Source : lesalonbeige

  • Une passion française

    Publié par Guy de Laferrière le 20 février 2023

    synthesenationale

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    Le désir farouche des bourgeois français de faire travailler davantage le populo est tout à fait fascinant. Ce n'est pas un banal calcul économique mais bien une véritable passion qui travaille le corps et l'esprit de la bourgeoisie depuis des lustres. Il faut que les ploucs, qui sont par nature des feignasses, travaillent davantage, plus longtemps. C'est ainsi, c'est une injonction, une incantation, c'est un mantra. Et peu importe que cela ne leur rapporte rien personnellement et que cela ne fasse qu'engraisser un peu plus les exilés fiscaux, les fonds d'investissements et les nababs de l'oligarchie libérale-mondialiste qu'ils rêvent secrètement de devenir en pensant n'être pour le moment que de vagues cousins éloignés de ces êtres d'élite et d'exception. Mais cela reste la famille !

    Il ne s'agit pas tant d'argent que de pouvoir, de rapports de force, de « morale », la leur. La réforme des retraites, c'est la poursuite de la lutte des classes par d'autres moyens. Le peuple doit marner, c'est son rôle, sa fonction. Les milliardaires n'ont jamais été aussi nombreux et aussi riches, croulant sous des fortunes qui ont depuis longtemps dépassées la plus abjecte indécence, pendant que les salaires sont au plus bas et que l'inflation ronge chaque jour un peu plus le pouvoir d'achat, mais peu importe, l'ennemi c'est le facteur, le cheminot, l'agent EDF, l'ouvrier, l'infirmier... Au boulot, au boulot, sinon cette belle économie, juste et équilibrée, risque de s'effondrer ! Vous imaginez le drame ?

    Et ce n'est pas l'incohérence complète du projet – entre chômage de masse, inactivité forcée des plus de 50 ans, immigration incontrôlée, milliards distribués à l'Ukraine et à l'Afrique... - qui gêne ces prétendus grands réalistes et « pragmatiques » puisqu'il s'agit avant tout d'un combat idéologique. C'est la revanche des descendants des Maîtres des forges et des propriétaires miniers privés du travail des enfants et de la semaine de 7 jours sans repos. Et ce n'est qu'un début ! A grands coups « d'efforts collectifs », de « lutte contre les avantages indus » et de « valeur travail », le 19e siècle est devant nous ! Ceux qui sont – ou pensent être – du bon côté du manche, du bon côté du système, s'en réjouiront sans doute, mais pour combien de temps ? Peut-être jusqu'au moment où leurs enfants ou petits-enfants, déclassés et paupérisés, viendront leur demander des comptes, réclameront des explications, voudront savoir pourquoi, au nom de mesquines jalousies et de mépris de classe, ils ont sabordé et détruit un système bâti dans le sang et la sueur, arraché à la cupidité et au froid calcul marchand, et qui, sans être parfait, apportait un peu de justice et d'équité à un monde qui ne peut être supportable que si l'on brise l'avidité féroce et sans limite des prédateurs, qui seront toujours plus néfastes et dangereux que les « parasites » au SMIC ou au RSA, exclus de facto de la société, du pouvoir décisionnel et de la vie publique, dont ils se servent comme de faciles boucs-émissaires.

    Source : ICI