Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023
Le Parti de la France - Page 625
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En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France
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Zelensky annonce qu’il envisage de rejoindre le Forum économique mondial de Davos, de signer de nouveaux prêts d’après-guerre avec BlackRock
Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023
« Volodymyr Zelenskyy et Larry Fink ont convenu de se concentrer à court terme sur la coordination des efforts de tous les investisseurs et participants potentiels à la reconstruction de notre pays, en canalisant les investissements vers les secteurs les plus pertinents et les plus impactants de l’économie ukrainienne », indique le post.
Mercredi, il a été révélé que le gouvernement du président ukrainien Volodymyr Zelensky se prépare à participer au Forum économique mondial (FEM) de Davos en janvier, et que le dirigeant ukrainien est en pourparlers avec Larry Fink, PDG de BlackRock, concernant les efforts de reconstruction après la guerre avec la Russie.
Selon Bloomberg, M. Zelensky a déclaré lors d’un discours à la nation en soirée : « Les spécialistes de cette société aident déjà l’Ukraine à structurer le fonds pour la reconstruction de notre État. »
Zelensky aurait eu un appel vidéo avec Fink en septembre. Il n’a pas révélé s’il assisterait au FEM en personne ou virtuellement.
Selon un message publié mercredi sur le site officiel du président ukrainien, M. Zelensky a déclaré : « Conformément aux accords préliminaires conclus au début de l’année entre le chef de l’État et Larry Fink, l’équipe de BlackRock travaille depuis plusieurs mois sur un projet visant à conseiller le gouvernement ukrainien sur la manière de structurer les fonds de reconstruction du pays. »
« Volodymyr Zelenskyy et Larry Fink ont convenu de se concentrer à court terme sur la coordination des efforts de tous les investisseurs et participants potentiels à la reconstruction de notre pays, en canalisant les investissements vers les secteurs les plus pertinents et les plus impactants de l’économie ukrainienne », ajoute le post.
« Au cours de la conversation, il a été souligné que certains dirigeants de BlackRock prévoient de se rendre en Ukraine au cours de la nouvelle année », poursuit le post. « Le président a remercié Larry Fink pour le travail de l’équipe professionnelle que BlackRock a chargée de conseiller sur la structuration des projets de reconstruction. »
Source : The Post Millennial – Traduit par Anguille sous roche
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Ukraine et accords de Minsk : après les aveux de duplicité de Merkel, ceux de Hollande
Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023
Auteur : Francesca de Villasmundo
Les accords de Minsk n’auraient été qu’une vaste opération télécommandée par les Etats-Unis pour « donner du temps à l’Ukraine » et non un véritable accord en vue de la paix, c’est ce qu’a laissé entendre Angela Merkel il y a quelques semaines, et ce qu’est venu corroborer François Hollande.
Les accords de Minsk, « donner du temps » à Kiev
Lors de la signature des Accords de Minsk en 2014, médiés par la France et l’Allemagne, convenus entre l’Ukraine et la Russie et acceptés par les États-Unis et les Nations Unies, la chancelière allemande et le président français de l’époque étaient désignés comme les garants de leur application. Une application qui, si l’on en croit les aveux de l’ancien chef d’Etat allemand du 10 décembre dernier, n’était pas envisagée à long terme, le véritable objectif révélé par Merkel étant de « donner du temps » à Kiev.
Le 28 décembre dernier, François Hollande a soutenu auprès The Kyiv Independent que la version d’Angela Merkel est la bonne : « Oui, Angela Merkel a raison sur ce point », les protocoles de Minsk ont donné à l’Ukraine un temps précieux afin de se renforcer militairement en vue d’une confrontation future avec Moscou.
« Depuis 2014, continue Hollande, l’Ukraine a renforcé sa posture militaire. En effet, l’armée ukrainienne était complètement différente de celle de 2014. Elle était mieux entraînée et équipée. C’est le mérite des accords de Minsk d’avoir donné cette chance à l’armée ukrainienne. »
« Selon Hollande, est-il écrit dans le journal ukrainien, les réunions au format Normandie, lancées en juin 2014 et comprenant les dirigeants de la France, de l’Allemagne, de l’Ukraine et de la Russie, ont donné à l’Ukraine du temps pour se préparer, tandis que les accords de Minsk qui ont suivi ont tenté de pousser Poutine vers une voie diplomatique. »
Les accords de Minsk « qui peuvent être ressuscités pour établir un cadre juridique déjà accepté par toutes les parties »
Concluant son entretien, François Hollande suggère que la guerre peut se terminer par des négociations ayant comme base les accords de Minsk « qui peuvent être ressuscités pour établir un cadre juridique déjà accepté par toutes les parties ».
Ces propos dénotent soit une grande naïveté soit un profond orgueil chez l’ancien président de la République française. Pense-t-il réellement que Vladimir Poutine, qui a souligné la tromperie manifeste de l’occident, va considérer les accords de Minsk comme une base solide ? Le dirigeant russe a pourtant prévenu, après les aveux de duplicité d’Angela Merkel, que trouver un terrain de négociation sera difficile à l’avenir :
« La confiance est presque inexistante, mais après de telles déclarations, une question de confiance se pose : comment négocier, sur quoi, et s’il est possible de négocier avec quelqu’un, et quelles sont les garanties ? ».
Les confidences des deux anciens chefs d’Etat sont loin d’aider à une solution diplomatique, tout au contraire elles créent du côté russe un juste sentiment de défiance vis-à-vis de la partie occidentale.
L’année 2022 se clôt, mais la guerre en Europe n’est pas près de prendre fin, en ce début de nouvelle année 2023. Les
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
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Bonne année 2023 !
Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023
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Mayotte, une préfiguration de la France de demain ?
Publié par Guy de Laferrière le 31 décembre 2022
Mayotte est le 101e département français. Les Mahorais, par référendum, ont voté en 2009 pour rejoindre la France et la classe politique a écouté le peuple (privilège qu'elle n'accorde pas toujours aux Français de métropole, comme on sait). Depuis, l'île concentre toutes les difficultés que quarante ans d'encouragement à l'invasion migratoire ont fait naître partout en France. Ainsi, le droit du sol pousse les femmes comoriennes à accoucher dans les maternités mahoraises pour avoir des enfants déclarés français. Le taux de fécondité des Mahoraises est en moyenne de cinq enfants par femme. On n'a pas dû leur dire qu'une telle capacité de reproduction provoquait des crises d'éco-anxiété dans Paris. Le département est celui de tous les records : 66 % de chômage, 40 % de cases en tôle en guise d'habitations, une densité de population de 682 habitants au kilomètre carré (la plus forte de la France d'outre-mer). Tous les ingrédients sont donc réunis pour que ça se passe mal.
De fait, sans énorme surprise, le département du miracle est une poubelle. Le long de routes en terre battue, des cabanes de tôle abritent des chômeurs, souvent jeunes, souvent drogués, et des quartiers entiers vivent en dehors de la loi commune (là, pour le coup, c'est comme en métropole). Petite différence, toutefois : les agresseurs, qui s'en prennent aux passants comme aux voitures, et ce, à coups de machette, n'ont pas plus de douze ou treize ans. Ce n'est pas si anodin qu'on l'imagine, puisque le RAID lui-même, appelé en renfort sur l'île il y a quelques semaines, ne peut rien contre des enfants, fussent-ils, selon les mots de la députée Estelle Youssoufa, « des barbares en culotte courte ».
Que faire contre la violence à Mayotte, dans ces conditions ? Il y a 3 à 4.000 « mineurs isolés » sur l'île, soit un quart des 16.000 mineurs isolés déclarés à l'échelle nationale. Par ailleurs, il manque chaque année 1.000 places à l'école pour des enfants qui, nés dans des familles totalement défaillantes, plongent alors dans l'oisiveté, la délinquance, la barbarie. Ils sont alors pris en charge par des adultes qui les enrôlent dans des bandes. Les Mahorais qui le peuvent, las de voir les voitures brûler tous les jours, fatigués d'être rackettés à la machette dans leur voiture, à la faveur des bouchons, fuient vers La Réunion ou la métropole. Les gamins des bidonvilles ne viennent pas de Mayotte mais ils y sont nés. Nombre d'entre eux n'aiment pas la France et celle-ci n'est, à leurs yeux, que l'État qui les nourrit et les traque mollement : une proie facile, en somme. Toutes les conditions de l'embrasement et de la tiers-mondisation de longue durée sont déjà là. Le processus a commencé et il paraît irréversible à vue humaine.
Que retenir de cette carte postale ? C'est la France que nous avons voulue, collectivement, puisque les Français votent pour ça depuis 1970 : une France sans cellules familiales solides, sans éducation de la jeunesse (à part aux bienfaits de la contraception ou du vivre ensemble), sans politesse ni charité, sans coercition de l'État (à part pour le port du masque ou le paiement des impôts).
Arnaud Florac
Source : http://bvoltaire.fr