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agression - Page 10

  • Après une nouvelle agression, SOS Médecins a suspendu ses activités à Saint-Etienne pendant quelques jours

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2022

    Vendredi 8 juillet, le personnel de SOS Médecins de Saint-Etienne (Loire) a décidé d’exercer son droit de retrait en raison de l’agression d’un de ses membres par un patient.

    L’agression de trop. Vendredi 8 juillet, Le Parisien rapporte que les membres de l’antenne de Saint-Etienne (Loire) de SOS Médecins ont pris la décision d’exercer leur droit de retrait en raison de l’agression d’un de leur membre par un patient. En effet, la veille, soit le jeudi 7 juillet, aux alentours de 20 heures 30, « un médecin du Centre de consultation de Bellevue a été menacé et bousculé par un patient à qui il avait refusé de renouveler une ordonnance pour un antalgique dont le médecin estimait que l’usage pouvait être détourné », a déclaré Nacer Boukhezra, président de SOS Médecins Saint-Étienne. « Le patient s’est énervé, il a menacé le médecin et a renversé des objets qui se trouvaient sur son bureau » a expliqué la police stéphanoise.

    En conséquence, les quinze praticiens de SOS Médecins, qui interviennent en cabinet ou à domicile, ont décidé d’exercer leur droit de retrait jusqu’au lundi suivant, le 11 juillet. « Dans un contexte de déficit de médecins qui génère des tensions récurrentes, de la violence verbale et des insultes de patients de plus en plus exigeants, c’est l’agression de trop », a expliqué Nacer Boukhezra, précisant qu’il s’agissait du « premier exercice du droit de retrait de l’association stéphanoise pour ce motif ».

    (…) Valeurs via fdesouche

  • Les Mureaux (78) : Jocelyne, 68 ans, s’est fait agresser en rentrant chez elle par deux jeunes qui l’ont étranglée puis dépouillée. “J’ai eu très peur”

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2022

    Mercredi 29 juin, alors qu’elle rentrait chez elle dans le centre-ville des Mureaux, Jocelyne C. s’est fait agresser par deux jeunes gens qui l’ont étranglée avant de lui arracher son collier.

    « J’ai eu très peur ». Alors qu’elle rentrait chez elle ce mercredi 29 juin, un peu après midi, Jocelyne C. s’est fait arracher son collier devant son immeuble, en plein centre-ville, a-t-on appris de source policière. « J’y tenais beaucoup, c’était un cadeau de mes filles. Ça fait 30 ans que je l’avais » indique-t-elle à Valeurs actuelles, en parlant de ce collier, un bijou simplement « plaqué or ». Ses agresseurs, deux « grands blacks, minces », âgés d’environ 17 à 18 ans, selon la victime, ont pris la fuite après leur méfait. « L’un m’a serré au cou, l’autre m’a arraché mon collier » indique Jocyline C., qui n’a heureusement pas été blessée. Elle a porté plainte ce jeudi au commissariat des Mureaux et présenté une photo de son collier aux policiers, qui ont également prélevé les empreintes présentes sur son cou, les agresseurs ne portant pas de gants.

    (…) Quelques jours plus tôt, à la gare des Mureaux, un couple de sourds-muets s’était fait lui aussi agressé lors d’un vol à l’arraché. La police avait pu interpeller l’agresseur ainsi qu’un de ses complices, tous deux originaires du Maghreb et en situation irrégulière sur le territoire français.

    Valeurs via fdesouche

  • Elles se réveillent avec un inconnu dans leur lit à Caen : un Afghan condamné pour agression sexuelle

    Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2022

    Elles se réveillent avec un inconnu dans leur lit à Caen : un homme condamné pour agression sexuelle

    Mardi 28 juin, le tribunal judiciaire de Caen a jugé un Afghan de 24 ans pour des agressions sexuelles et des vols. Il entrait chez ses victimes en pleine nuit, rue Caponière, à Caen. Il a écopé de deux ans de prison.

    (…)

    Mohammad Mayar est condamné à deux ans de prison ferme, assortis d’un suivi socio-judiciaire pendant trois ans, d’une injonction de soins psychologiques et toxicologiques, d’une interdiction de territoire français pendant dix ans et d’une inscription au fichier des délinquants sexuels. Il est maintenu en détention.

    www.ouest-france.fr via fdesouche

  • Montpellier : un contrôleur de bus agressé au couteau par un usager, l’ensemble des bus et tramways rentrent au dépôt

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2022

    Un contrôleur de bus du réseau Tam a été agressé au couteau par un usager, ce mercredi 8 juin vers 15 h à l’arrêt Les Bouisses. L’auteur des faits a pris la fuite avant d’être interpellé. Le contrôleur a été conduit à la clinique Saint-Roch et opéré d’urgence. L’ensemble des bus et tramways du réseau rentrent progressivement au dépôt.   

    L’auteur des faits a pris la fuite. Imméditament recherché, il a été interpellé par la police municipale en fin d’après-midi. “Plainte est déposée, il devra rendre compte devant la justice. J’exprime soutien et solidarité à l’ensemble du personnel”, a aussitôt réagi le maire Michaël Delafosse. L’agent a quant à lui été transporté par des collègues à la clinique Saint-Roch. “Il vient d’entrer au bloc opératoire”, indiquait, moins d’une heure après l’agression, Laurent Murcia, secrétaire du syndicat F.O. du personnel de Tam. “Il présente une plaie de 10 cm à la cuisse”, précisait-il. La victime est âgée d’environ 45 ans. Lui et l’autre contrôleur qui l’accompagnait sont choqués.

    La circulation des lignes de bus 15 (celle où intervenait le contrôleur agressé), puis 11, qui dessert également Les Bouisses, ont été interrompues. Le droit de retrait a ensuite été appliqué, peu avant 16 heures, à l’ensemble des bus et tramways, dirigés vers le dépôt. Le trafic s’arrête progressivement sur le réseau. (…)

    Laurent Murcia alerte sur l’aggravation des violences et incivilités, dont sont victimes les agents sur le réseau montpelliérain. Le 20 avril dernier, c’est un chauffeur de bus qui avait reçu un coup de poing d’un passager à l’arrêt Observatoire. “Les conducteurs sont à bout, ils n’en peuvent plus. Ils sont épuisés des incivilités qui se multiplient. De mémoire, c’est la première fois qu’un contrôleur est victime d’un coup de couteau”.

    (…) Midi Libre via fdesouche

  • Boulazac (24) : une jeune réfugiée ukrainienne de 21 ans affirme avoir été agressée et violée, le parquet ouvre une enquête

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin  2022

    Une jeune Ukrainienne de 21 ans réfugiée en Dordogne dit avoir été violée par un homme, chez elle à Boulazac, dans la nuit de dimanche à lundi. Le parquet a ouvert une enquête en flagrance, confiée à la police de Périgueux.

    Les enquêteurs du commissariat de Périgueux sont lancés à la recherche d’un homme suspecté du viol d’une jeune réfugiée ukrainienne de 21 ans, selon les informations de France Bleu Périgord. Les faits remonteraient à dimanche 5 juin, dans la soirée, dans un appartement du quartier de Barnabé à Boulazac. 

    La jeune femme est arrivée en Dordogne il y a seulement quelques semaines, avec une amie. Leurs conjoints sont restés en Ukraine, mais ils ont de la famille en Périgord noir qui a pu accueillir leurs compagnes. Rapidement, elles prennent leur indépendance et s’installent toutes les deux à Boulazac, dans un petit appartement du quartier de Barnabé. Les beaux-parents ont l’habitude de prendre très régulièrement de leurs nouvelles. Dimanche soir, ils s’inquiètent de ne pas réussir à les joindre et décident de faire la route en voiture pour aller chercher les deux jeunes femmes. Ils les retrouvent chez elles, avec un homme. La soirée, visiblement, a été arrosée. 

    La police retrouve la jeune femme tuméfiée

    L’inconnu repart de son côté, et les beaux-parents proposent de ramener chez eux les deux jeunes Ukrainiennes. Mais une seule accepte de venir avec eux. L’autre reste seule dans l’appartement. La famille repart, ils sont encore sur la route quand ils reçoivent un coup de téléphone. La jeune femme raconte que l’homme est revenu, en prétextant un téléphone oublié. Elle affirme qu’il l’a agressée, et violée. La famille compose immédiatement le 17. Mais quand les policiers arrivent, ils ne retrouvent que la jeune femme, tuméfiée. Le suspect a déjà pris la fuite. 

    France Bleu via fdesouche