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agriculteurs - Page 2

  • Le bobo des villes et le bobo des champs.

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2021

    Suite à l’appel de la Fédération nationale des chasseurs, des manifestations ont eu lieu le 18 septembre dernier, dans toute la France, pour dénoncer la politique de Barbara Pompili, ministre écolo à l’initiative de plusieurs décisions d’interdiction de chasses traditionnelles et notoire bobo anti-chasse parachutée à la Transition écologique.

    bobo des champs,bobo des villesChasseurs, agriculteurs et pêcheurs demandent sa démission et dénoncent « les attaques incessantes contre la ruralité » en mettant notamment en avant leur rôle dans la préservation de la biodiversité.

    « Pompili, au pilori ! »« Macron fossoyeur de nos traditions »« Arrêtez d’emmerder les ruraux »« Que les urbains nous foutent la paix ! », pouvait-on entendre au cours de ces manifestations. Au-delà de ces cris du cœur, il s’agit également, et peut-être surtout, de défendre un art de vivre, une « culture qui part en lambeaux », transmettre des traditions et préserver un patrimoine mis à mal par les « idéologues de la capitale ».

    À la ville comme au champ, le bobo est adepte de la diversité ; le bobo des villes milite pour la diversité culturelle, le bobo des champs prône la diversité naturelle. Quoi de plus louable, somme toute ? Sauf que le bobo, dans son écosystème citadin naturel, a le regard, à bien des égards, bien plus bienveillant que dans l’écosystème rural qu’il essaye de coloniser. En dehors de son milieu naturel initial, celui de la ville écoresponsable, connectée, sanitaire et solidaire, le bobo urbanisé s’avère être une espèce ubérisée assez envahissante. Et dominante.

    La France périphérique, celle des  des ronds-points, victime de la mondialisation, a été reléguée au rang de citoyens de seconde zone au profit d’une population importée et d’une paix civile subsidiée à coups de milliards. Si la République des banlieues a été gavée de politique de la ville, après la France périphérique, c’est maintenant à la France profonde, privée d’une politique rurale et dernier rempart à l’homogénéisation idéologique, de subir les coups de boutoir d’une caste hors-sol.

    « On a en face de nous des démagogues. On ne demandera jamais à un vegan de manger de la viande, qu’on nous foute la paix ! Qu’on nous laisse vivre », a lancé Willy Schraen, président de la Fédération nationale des chasseurs, appelant à la création d’un grand ministère de la Ruralité « pour s’y sentir enfin chez nous ». Après la police de la pensée républicaine, nous voici dans l’ère de la police alimentaire et de l’ radical. Et de poursuivre : « On est entrés dans une période de fracture idéologique assez forte ». Des fractures dont on ne compte plus le nombre au sein d’une République fragmentée qui a déconstruit la France : fractures sociale, cultuelle, sanitaire, éducationnelle, civilisationnelle ; une tribalisation idéologique, conséquence de la déconstruction de nos racines historiques, de la liquéfaction progressiste d’un socle de valeurs communes.

    La chasse est le troisième loisir préféré des Français. Avec plus d’un million de chasseurs en possession d’un permis de chasse valide, la France est le pays européen le plus peuplé de chasseurs. Pire, 97,8 % des chasseurs sont des mâles, dont presque la moitié ont moins de 55 ans. Un électorat très courtisé en période de chasse à l’électeur. Nos campagnes sont donc armées de fusils de chasse mais désarmées face à la démagogie de minorités agissantes qui conçoivent cette activité comme le reliquat d’une société patriarcale à déviriliser.

     

    Pierre Mylestin

    Médecin

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Paris : genou à terre, des agriculteurs alertent sur les suicides et les «fermes qui ferment»

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2021

    Ils voulaient marquer les esprits : environ 70 agriculteurs de la Coordination rurale se sont rassemblés jeudi 4 mars à Paris, entourés de mannequins en combinaison de travail pendus à des arbres, pour témoigner du malaise d’une profession qui vend trop souvent à perte, a constaté une journaliste de l’AFP.

    Chasuble jaune sur le dos, les militants ont posé devant la presse un genou à terre et poing levé, dans un nuage de fumigènes, jaunes également. «Genou à terre, cela veut dire que ceux qui sont encore debout pensent à ceux qui ne sont plus là», déclare le président du syndicat Bernard Lannes. Selon les chiffres les plus récents de la sécurité sociale agricole MSA, 372 suicides d’exploitants agricoles ont été recensés en 2015, soit plus d’un par jour. Mais ce nombre est largement minoré, selon le syndicat, pour lequel on dénombre plutôt deux suicides chaque jour et 1500 dépôts de bilan par an, faute de prix rémunérateurs.

    «On nous a mis sur l’échafaud de la mondialisation», dénonce au mégaphone le maraîcher Sébastien Héraud, également vice-président de la Coordination rurale, qui refuse de «se laisser faire par les écolos bobos urbains qui nous méprisent et veulent nous dicter notre conduite». […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Campements sauvages de Gitans : les gendarmes ont peur, les agriculteurs résistent (video)

    Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2020

    Les Gitans n’ont pas peur des gendarmes.
    Il est notoire en province que c’est même le contraire : par peur des représailles, les gendarmes évitent toute confrontation avec les « gens du voyage », mais savent être fermes quand il faut coller des prunes aux Français qui ont le double tort de n’être défendus par aucune communauté et d’être solvables.
    Un ami nous confiait avoir vu près de chez lui un Gitan déambuler sur un parking devant des gendarmes avec un fusil, sans que ceux-ci ne sortent de leur voiture.

    Ce petit reportage illustre bien ce scandaleux phénomène : on y voit des Gitans vouloir s’installer de force sur un terrain privé avec leurs caravanes et leurs belles voitures. La France est pourtant truffée (toutes les communes de + de 5000 habitants et beaucoup de communes plus petites) d’aires d’accueil qui leur sont réservées (!) et où l’on fournit souvent eau et électricité « gratuitement »…

    Dans le petit reportage ci-dessous, on voit que les gendarmes ne s’opposent pas à une installation sauvage chez quelqu’un, ils râlent mais se laissent marcher dessus, peu importe le respect de la loi.
    Ce sont des agriculteurs du coin qui doivent intervenir pour empêcher cette invasion et toutes les nuisances écologiques et sécuritaires qui en découleraient !
    Les gendarmes ne retrouvent toujours pas leur courage et se contentent d’essayer d’éviter un affrontement violent entre Gitans et agriculteurs…
    On notera que le chef de ce groupe de Gitan, « Milo », homme grossier et violent qui n’hésite pas à hurler et menacer devant les gendarmes alors qu’il viole une propriété privé est « médiateur pour les Gens du voyage auprès du Conseil de l’Europe »… C’est donc l’un des plus diplomates de la tribu…

    Bref, ce problème qui se répète chaque jour en France est emblématique de l’attitude du Régime vis-à-vis des Français, citoyens de seconde zone sur leur terre.

    ► A lire, sur le même thème :
    Un paysan incarcéré pour avoir tiré sur des Gitans qui le volaient encore

  • Macron ne veut pas revaloriser les retraites des agriculteurs (pour 1,1 milliard d’€), mais consacre 2 milliards aux clandestins « mineurs isolés »

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2020

    Rencontre mémorable entre deux […]

    « Emmanuel Macron a jugé samedi [au salon de l’agriculture] qu’il était « impossible » de revaloriser les pensions de retraite actuelles des agriculteurs à 85 % du Smic, une mesure prévue dans le futur système mais qui coûterait trop cher  à appliquer aux agriculteurs déjà à la retraite.  […] « C’est impossible. C’est impossible, parce que c’est 1,1 milliard ». (source 20 Minutes)

    En revanche, cela ne lui pose pas de problème de consacrer 2 milliards par an aux clandestins prétendument « mineurs isolés » ou de verser 8 milliards d’aide à l’Afrique.

     

    Source : contre-info

  • « Des dizaines de milliers d’agriculteurs crèvent car on n’a pas d’argent pour eux. En revanche, on ouvre la bourse pour les centaines de milliers de migrants … L’immigration coûte des milliards. »

    Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2019

    Par  le 17/09/2019

    "Des dizaines de milliers d'agriculteurs crèvent car on n'a pas d'argent pour eux.
    En revanche, on ouvre la bourse pour les centaines de milliers de migrants ...
    L'immigration coûte des milliards." - @andrebercoff

     
     
    Source : fdesouche