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algérie - Page 18

  • Grenoble ce dimanche matin : un Algérien déambule avec deux couteaux de cuisine en criant “Allah Akbar”

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2019

    Par Eric Martin

    Grenoble ce dimanche matin : un Algérien déambule avec deux couteaux de cuisine en criant “Allah Akbar”

    rapporte France Bleu :

    Un homme déambulait avec deux couteaux de cuisine à grandes lames aux abords de la gare de Grenoble vers dix heures ce dimanche matin. Il a crié à plusieurs reprises “Allah Akbar” tout en faisant une prière.

    Alors la brigade anti-criminalité de Grenoble intervient. L’homme refuse de jeter ses couteaux à terre, et menace un policier. Il est finalement interpellé, grâce à des tirs de flash-ball selon les témoins. Il s’agit d’un jeune homme de 19 ans, habitant Grenoble et né en Algérie. La sûreté départementale de Grenoble est saisie de l’enquête sur instruction du parquet.

     

    Source 2 : ndf

  • Tizi Ouzou : le pouvoir fermera la plus grande église d’Algérie mercredi

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2019

    Fermeture d'une église en Kabylie par la gendarmerie algérienne
    Fermeture d'une église en Kabylie par la gendarmerie algérienne

    KABYLIE (TAMURT) – La plus grande église en Kabylie et même en Algérie, à savoir celle de la ville de Tizi Ouzou, sera fermée de force par le pouvoir algérien mercredi prochain, 16 octobre. C’est une décision que vient de prendre le pouvoir algérien après toutes ayant précédé celle-ci et qui ont porté sur la fermeture de nombreux autres lieux de cultes chrétiens à Bgayet et Tizi Ouzou.

    La guerre contre les chrétiens d’Algérie est désormais déclarée et se poursuit de manière implacable. Le pouvoir algérien semble ne reculer devant rien pour mettre l’Algérie dans une prison idéologique où aucune place n’est laissée à une religion autre que l’Islam. L’église dont il s’agit, cette fois-ci, est celle située à la Nouvelle-Ville de Tizi Ouzou et qui reçoit, chaque samedi, des centaines de fidèles pour le culte hebdomadaire. Nous avons appris hier que les responsables de cette église, située en face du lycée technique de la Nouvelle-Ville et non loin de la salle des sports « Said Tazrout », ont appris, hier, l’existence d’un ordre de fermeture de cette église. L’arrêté en question a été signé par le wali de Tizi Ouzou. Ce sont, comme d’habitude les éléments de la gendarmerie nationale qui exécuteront cet ordre sur le terrain et ce, dans la journée de mercredi 16 octobre, a-t-on appris également.

    Cette décision est bien sûr absurde et injuste surtout quand on sait que dans la Constitution algérienne, la liberté de culte est garantie. Mais ce ne sont que des paroles en l’air car dans la réalité, tous les Algériens qui ne sont pas musulmans savent qu’il n’en est rien. Les non-musulmans algériens, qu’ils soient chrétiens, athées, agnostiques ou tout simplement déistes sont persécutés et sont obligés de ce fait de ne pas faire étalage de leurs convictions profondes pour ne pas s’exposer aux foudres de leurs concitoyens musulmans qui n’acceptent pas que quelqu’un ne soit pas musulman. Il s’agit d’un constat qui est plus visible pendant le mois de ramadhan où les Algériens qui n’observent pas le jeune sont persécutés, menacés voire agressés presque mortellement par des personnes qui s’érigent en avocats de Dieu sur terre en l’absence ou plutôt avec la complicité de l’état arabo-islamique.

    Pour l’instant, on ignore si des actions de protestation seront envisagées pour dénoncer l’acte de fermeture de l’église la plus fréquentée par les chrétiens d’Algérie. On y reviendra, bien entendu, s’il y a lieu.

    Tarik Haddouche

     

    Source : tamurt.info

  • Algérie : la situation économique s’aggrave…

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2019

    Dans l’éditorial de sa revue l’Afrique Réelle n°117, Bernard Lugan dresse un rapide bilan de l’économie algérienne. la mèche de cette bombe démographique musulmane, à quelques encablures de nos côtes, se consume doucement. A moins de maintenir le pays sous perfusion à nos frais, des millions d’arabes supplémentaires taperont bientôt à nos portes…

    Trouvé sur le blog de Bernard Lugan : « Avec certains des principaux patrons emprisonnés, des banquiers qui n’accordent plus de crédits et des transferts de fonds problématiques, l’économie algérienne est en détresse.

    Les ¾ des entreprises sont ainsi incapables de verser les acomptes prévisionnels au titre de l’impôt sur les bénéfices pour l’année en cours. Quant aux faillites, elles ont eu pour résultat la mise au chômage de 200 000 travailleurs depuis le 1er janvier 2019… Dans un pays où le taux réel de chômage atteint déjà des records.
     
    Seule source de revenus de l’Etat, le secteur des hydrocarbures décline année après année. Au 1er trimestre 2019, il a ainsi reculé de 7,7% en raison de la baisse de production due à l’épuisement des nappes pétrolières. Nous avons également là, la confirmation de ce que l’Afrique Réelle écrit depuis plusieurs années, à savoir que les réserves de l’Algérie ont été volontairement surestimées.
     
    Résultat, les réserves de change n’étaient plus que de 72,6 milliards de dollars fin avril 2019, soit une baisse de 7,2% par rapport à décembre 2018 (source : Ministère des finances juillet 2019). Cette baisse est d’autant plus dramatique que le pays doit acheter à l’étranger les ¾ des matières premières et des équipements indispensables à ses entreprises, tant publiques que privées. Il doit également importer de quoi habiller, soigner et équiper ses 43 millions d’habitants.
    Avec une priorité qui est de les nourrir. Or, comme l’agriculture algérienne et ses dérivés ne permettant de satisfaire qu’entre 40 et 50% des besoins alimentaires du pays, il est donc nécessaire de faire de colossales importations.
    C’est ainsi que près de la moitié (40%) de la facture de tous les achats faits à l’étranger – soit le quart (!!!) des recettes tirées des hydrocarbures -, est consacrée à l’importation de produits alimentaires de base dont l’Algérie était exportatrice avant l’indépendance de 1962… N’en déplaise à l’ONM (Organisation nationale des Moudjahidine) qui, pour tenter de faire oublier sa colossale responsabilité dans la faillite de l’Algérie, ose demander le vote d’une loi criminalisant la colonisation française… (Voir mes communiqués des 18, 21 et 29 juillet 2019).
     
    Vomis par la rue, les vampires du « Système » gavés de leurs détournements peuvent-ils encore refuser de reconnaître que si l’Algérie est désormais le premier importateur africain de biens alimentaires pour un total annuel moyen de 12 milliards de dollars (Centre national de l’informatique et des statistiques-douanes-CNIS), cela est la conséquence à la fois de leur incompétence et de leurs détournements ?
     
    Les millions de manifestants qui, vendredi après vendredi, battent la chaussée, en sont, eux, parfaitement conscients et ils attendent de pouvoir leur faire rendre gorge.
    Or, c’est précisément parce qu’il sait qu’il est face à une véritable révolution et que la survie de ses membres est en jeu, que le « Système » fait la « sourde oreille ».

    Source : contre-info

  • Algérie : les expulsions de migrants subsahariens se sont intensifiées

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2019

    Par  le 12/08/2019

    En Algérie, les expulsions de migrants subsahariens se poursuivent par la frontière Sud. Ces expulsions, qui ont commencé fin 2016, et se sont intensifiées en 2018, se sont poursuivies cette année. Les migrants, arrêtés dans différentes villes du pays, sont amenés jusqu’à Assamaka, à la frontière avec le Niger où ils sont expulsés.

    Au cours des six premiers mois de 2019, presque 5 000 personnes ont été arrêtées puis expulsées à la frontière entre l’Algérie et le Niger. Parmi elles, plus de 90 % sont des Nigériens ; les autres migrants sont originaires d’Afrique de l’ouest et d’Afrique centrale.

    En 2018, plus de 14 000 personnes dont une majorité de Nigériens avaient été expulsées. […]

    RFI via fdesouche

  • A propos de l'Algérie : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux »

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2019

    lugan.jpg

    Bernard Lugan

    Cette phrase d’Etienne de la Boétie résume la relation franco-algérienne. A chaque fois qu’il est en difficulté, le « Système » algérien sort en effet le joker-martingale de l’accusation de la France, sachant qu’il sera immédiatement relayé par les héritiers des « porteurs de valises », ethno-masochistes buvant goulûment au calice de la repentance et de la contrition.

    Le 15 juillet dernier, montrant en cela qu’il n’est pas encore mentalement décolonisé, Mohand Ouamar Bennelhadj, membre essentiel du « Système » algérien puisqu’il est le secrétaire général par intérim de l’ « Organisation nationale des moudjahidines », les « anciens combattants », a ainsi appelé le parlement algérien à voter une loi criminalisant la colonisation française. Il a en outre demandé que cette loi ouvre la voie à des « compensations », osant écrire que les Français ont « génocidé » les Algériens et que, après avoir pillé le pays, ils « n’ont laissé ici que des broutilles, des choses sans valeur».

    Ces accusations ne relèvent pas de l’anecdote. Ce n’est pas de sa propre initiative que ce pâle apparatchik dont l’association constitue le pivot du « Système » et dévore 6% du budget de l’Etat -plus que ceux des ministères de l’Agriculture (5%) et de la Justice (2%)-, a lancé ces accusations gravissimes. Depuis deux ou trois semaines, acculé par la rue, le général Gaïd Salah a en effet ordonné qu’une offensive anti-française destinée à tenter de faire dévier la contestation populaire soit lancée. Face à cette véritable déclaration de guerre, le président Macron garde un étourdissant silence…

    Alors, puisque, comme ils en ont hélas l’habitude, les « lapins de coursive » qui dirigent la France se tairont, il est donc nécessaire que les « réseaux sociaux » s’emparent de l’affaire, à la fois pour exiger une réponse officielle des autorités françaises, et pour « remettre les pendules à l’heure ».

    En 1962, la France a légué à l’Algérie un héritage exceptionnel et non des « Broutilles » et des « choses sans valeur », à savoir 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres étaient goudronnés, 4300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), 34 phares maritimes, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes (soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer du concentré de tomates, des pois chiches et de la semoule pour le couscous…

    Tout ce que la France légua à l’Algérie avait été construit à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé et dont même son nom lui fut donné par la France. Tout avait été payé par les impôts des Français. Daniel Lefeuvre a montré qu’en 1959, toutes dépenses confondues, l’Algérie engloutissait 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !

    Tous les arguments permettant de réfuter la fausse histoire de l’Algérie écrite par les profiteurs du « Système » se retrouvent dans mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit.

    Source cliquez ici via synthesenationale