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arabe - Page 3

  • “Tu vois ce que ça donne de tromper un Arabe, un musulman, un Tunisien…”

    Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2020

    “Tu vois ce que ça donne de tromper un Arabe, un musulman, un Tunisien…”

    Exotique culture… mais ça se passe en France :

    Hassine a été condamné le 13 décembre à 30 ans de réclusion criminelle pour avoir tué sa femme qui venait de le quitter. La victime avait reçu 33 coups de couteau à la sortie d’une école, à Avon.

    C’est à un voyage au bout de l’horreur que les jurés de Seine-et-Marne ont été confrontés durant quatre jours, aux assises de Melun. Toute l’horreur d’un crime perpétré au couteau par un mari éconduit et jaloux, devant des témoins effarés en pleine rue à Avon, face à une sortie d’école. C’était le 3 janvier 2017, vers 11 h 30, rue des Chênes, une voie en impasse qui conduit à l’école de la Butte-Montceau.

    Sandra Perdreau avait été arrachée de sa voiture percutée par l’assassin, puis massacrée de 33 coups de couteau alors que son fils de 8 ans venait de se sauver de l’habitacle. Un féminicide de plus sur fond de différend familial et de rupture, avec pour facteurs amplifiants, des écarts culturels provenant de conceptions antagonistes de la famille et du mariage.

    « Tu vois ce que ça donne de tromper un Arabe, un musulman, un Tunisien Même si tu nes pas morte, je reviendrai te finir quand je sortirai…

     

    Source : lesalonbeige

  • Villejuif : « Une personne de confession musulmane a été épargnée par l’assaillant quand celui-ci lui a demandé de réciter une prière en arabe. »

    Publié par Guy Jovelin le 05 janvier 2020

    Par  le 04/01/2020

    BFMTV @BFMTV

    Villejuif: "Le mis en cause a d'abord accosté de manière menaçante une première personne aux cris d'Allahu Akbar" (procureure)

  • Paris : Jack Lang célèbre « L’arabe, une langue de France » à l’IMA

    Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2019

    Par  le 11/12/2019

    Pour cette édition placée sous le signe du plurilinguisme en France, Jack Lang, président de l’IMA, souhaite rappeler combien l’arabe est, aujourd’hui, pleinement une langue de notre pays. « L’arabe, une langue de France », car elle est quotidiennement pratiquée à l’oral comme à l’écrit dans l’hexagone.

    Malheureusement, elle souffre encore d’une image ambivalente et ne bénéficie pas de l’enseignement qu’elle mérite à l’école. C’est pourquoi l’IMA propose tout au long de l’année, avec son Centre de langue, un enseignement moderne et laïque, loin de toute considération religieuse ou ethnique, ouvert à tous les âges et tous les niveaux. […]

    IMA via fdesouche

  • France : Armé de plusieurs couteaux, il crie « Allah Akbar », menace de faire sauter une supérette et de tuer la gérante

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2019

    « Il m’a dit qu’il allait me tuer et faire sauter le magasin »

    « Il m’a demandé ce que je pensais des attentats. Je lui ai dit que je n’avais pas à parler de ça ni à lui donner mon avis. Il m’a alors dit plusieurs fois qu’il viendrait me retrouver, qu’il allait me tuer et faire sauter le magasin« , déclare-t-elle encore sous le choc. Gardant son sang-froid, elle lui a aussitôt demandé de partir sinon elle appellerait « la police ».

    Un grand couteau à la ceinture

    Ce qui a littéralement mis hors de lui cet homme déjà connu pour des faits de violence : « Il m’a montré son grand couteau à la ceinture qui au départ était sous un vêtement. Au départ, je ne savais pas qu’il avait un couteau, je croyais qu’il se tenait le ventre. Je sais juste qu’il a toujours eu la main sur son couteau dès les premiers échanges avec notre client dans les rayons. »

    « Il a crié Allah Akbar »

    A maintes reprises aussi, il a crié « Allah Akbar » et plusieurs mots en arabe. « Il avait comme une crise de démence et j’ai eu peur qu’il soit radicalisé », lâche la gérante qui a su malgré tout rester calme… « en apparence »Si j’avais dit un mot de travers, il m’aurait plantée », estime-t-elle aujourd’hui, au regard du manque de discernement de son agresseur.

     

    […]

    Pas un mais plusieurs couteaux sur lui

    Sur lui, les gendarmes ont retrouvé pas un mais au moins trois couteaux. Il a donc été placé en garde à vue à la suite de ses propos "très inquiétants", a déclaré le procureur de la République Cyril Lacombe. [...]

    La Manche Libre via lesobservateurs

  • Racisme anti-blanc : “L’homme blanc ne peut avoir raison contre une noire et une arabe”, déclare Maboula Soumahoro

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2019

    Voici les derniers propos maboules de Maboula Soumahoro :

    « L’homme blanc (…) ne peut pas avoir raison contre une noire et une arabe. Il va vraiment falloir que la France s’en rende compte. »

    (déclaration diffusée dans l’émission de Lauren Bastide sur France Inter)

     

     

    Qui est Maboula Soumahoro ?

    Née dans une famille d’origine ivoirienne, elle a grandi en France, dans un quartier populaire du Kremlin-Bicêtre.

    Après des études supérieures dans les universités de Créteil et de Jussieu en France, elle part, grâce à une bourse, étudier aux États-Unis à l’université Columbia à New York.

    De retour en France, elle s’inscrit à l’université François-Rabelais de Tours en doctorat et y soutient en 2008 une thèse intitulée « La couleur de Dieu ? Regards croisés sur la Nation d’Islam et le Rastafarisme, 1930-1950 ». Elle y est aujourd’hui maître de conférence dans le département de langues et littératures anglaises et anglo-saxonnes.

    Dans les années 2010, elle est propulsée sur les plateaux de télévision, de LCI à France 2, pour culpabiliser les Blancs concernant le racisme ou l’histoire de l’esclavage. De 2013 à 2016, elle fut membre du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage.

    En partenariat avec le Parti des Indigènes de la République, elle organise en 2014 une formation sur « L’invention de la race blanche » avec Félix Boggio Ewanjé-Epée, co-auteur — avec Houria Bouteldja et Sadri Khiari — de l’ouvrage Nous sommes les indigènes de la république .

    Elle se réclame aussi de l’afroféminisme.

    En 2012, elle co-fonde l’association Black History Month — dont elle est présidente —, qui organise les Journées Africana dont le but est de promouvoir « la connaissance et la passion pour les “mondes noirs” » et prétend qu’il y a nécessité de valoriser l’histoire des Noirs en France et de « mettre la République française face à la réalité de son histoire ».

    Régulièrement, elle nie l’existence du « racisme anti-blanc ».

    En novembre 2017, Maboula Soumahoro participe, sur LCI, à un débat télévisé qui porte sur un « atelier en non-mixité racisée ».
    Elle affirme également que le camp d’été décolonial organisé pendant l’été 2016 n’était pas « interdit aux Blancs », indiquant que des « femmes blanches » y ont participé, mais, note Le Figaro, « à condition de porter le voile »…

     

    Source : medias-presse.info