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arabes - Page 4

  • 25 octobre 732 : Charles Martel arrête les Arabes à Poitiers

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2020

    En 711, soit à peine 80 ans après la mort de Mahomet, les musulmans atteignent l’Espagne, qu’ils traversent en 8 ans, et occupent en 719 le Languedoc actuel. Cette province, entre les Pyrénées et le Rhône, s’appelle alors Gothie, en souvenir des Wisigoths, ou Septimanie, d’après ses sept villes principales (sa capitale Narbonne, Agde, Béziers, Nîmes, Maguelone, Lodève et Elne). Arrêtés à Toulouse, en 721, par le duc Eudes d’Aquitaine, ils tournent alors leurs regards vers l’Est et prennent Nîmes, Arles et Autun en 725.

    En 732, ils s’approchent de Tours, la ville de Saint Martin.
    A la demande de l’Eglise, le Duc des Francs, Charles Martel, vient au secours d’Eudes, Duc d’Aquitaine. Après avoir rassemblé une armée à la hâte, Charles Martel rejoint les troupes musulmanes, à Moussais, à proximité d’une voie romaine reliant Châtellerault à Poitiers. Le samedi 25 octobre 732, 1er jour du ramadan, les envahisseurs musulmans se décident à engager la bataille, au nord de Poitiers. Leur chef, Abd al-Rahman, est tué pendant la bataille. Sa cavalerie, légère et désordonnée, se heurte au « mur infranchissable » que forment les guerriers francs, à pied, mais disciplinés et bardés de fer. De son côté, Charles Martel attribue sa victoire à l’intercession de la Vierge Marie et parle des anges combattant aux côtés des Francs.

    C’est son fils, le roi Pépin le Bref, qui va libérer Narbonne et chasser définitivement les musulmans de Septimanie en 759, trois ou quatre décennies après leur arrivée.

     

    Source : contre-info

  • A Dijon, affrontements entre Arabes et Tchétchènes. Armes automatiques brandies (video)

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2020

    Auteur : Rédaction

    Des images atterrantes mais qui deviendront banales dans les prochaines années.

    Toutes les prévisions des nationalistes depuis 50 ans se réalisent une à une, puisqu’ils n’ont pas été écoutés.

    A Dijon, capitale de la Bourgogne et il y a peu l’une des villes les plus agréables de France, dans le quartier colonisé des Grésilles, on a vu ces derniers jours des affrontements violents entre populations immigrées, mais « Français comme-vouzémoi » bien sûr, selon la République en tout cas.
    Tout a démarré après qu’un adolescent tchétchène a été frappé par des Arabes sur fond de trafic de drogue.
    Les Tchétchènes, de plus en plus nombreux en France – ce qui est normal, puisqu’elle est ouverte à tous désormais –, sont plus discrets que les Arabes par exemple ; mais, pour rester dans le cadre de la loi, disons que souvent ils ne s’embarrassent pas de celui-ci justement. Réputés pour leur violence, ils ont voulu venger leur jeune congénère.

    Sur ces images de Dijon, des armes à feu – dont des armes automatiques – sont brandies et filmées en toute quiétude par ces immigrés. On tire en l’air, en ville, sans souci.
    L’Etat, il est vrai pitoyable et si complaisant, est méprisé. Il n’y a plus que les Gaulois pour le respecter tout en étant brimés et tondus par lui… Et castrés par les médias et cinéastes gauchistes et leur haine du mâle blanc.

    Ici on se promène avec ses armes automatiques et à côté de cela, les Français n’ont jamais été aussi désarmés, la législation été aussi liberticide envers les honnêtes gens, et a fortiori envers les patriotes…

  • Marxloh (All.) : des clans arabes exigent sous peine de mort que la police quitte leur quartier

    Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2020

     

    « Marxloh est notre quartier »

    Environ 2700 membres de clans d’origine arabe vivent à Duisbourg [Rhénanie-du-Nord-Westphalie] selon un rapport de police; ces dernières années, quelque 600 d’entre eux ont commis des délits, certains à plusieurs reprises. Ces clans se concentrent dans un petit nombre de quartiers, en particulier à Marxloh [20 000 habitants].

    […]

    Depuis l’arrestation de S. [auteur de 75 délits, arrêté dans une cage d’escalier malgré la présence d’une foule bruyante et agressive], « il semble que Marxloh et ses environs soient à nouveau en ébullition », dit-on du côté des enquêteurs. Pourtant, la tactique policière de la tolérance zéro porte ses fruits […] De 24 jours de désordres en 2017, on est tombé à 11 en 2018 et à 4 l’an passé […] Mais dans les jours qui ont suivi l’arrestation dans la cage d’escalier, il y a eu 2 jours de désordres […] le 19 mai et le 28 mai.

    Le 22 mai […], la direction de la police de Duisbourg reçoit un courriel contenant une menace d’attentat et l’avertissement de se retirer de Marxloh. « Objet : Allah Akbar, Marxloh est notre quartier. […] Nous interdisons à tous les mécréants d’entrer dans notre quartier. Nous chasserons par la force des armes ou nous tuerons tous les policiers, journalistes et autres mécréants. Chez nous, c’est la charia radicale qui est en vigueur », peut-on lire dans cet écrit. « Nous nous sommes procuré en Turquie et en Russie 2000 fusils d’assaut AK-47 avec suffisamment de munitions. Allah Akbar, tuez tous les mécréants. » […] Les autorités chargées de l’enquête prennent manifestement ces menaces au sérieux. […]

    (Traduction Fdesouche)

    RP-Online via fdesouche

  • 9 juin 721 : Quand Eudes d’Aquitaine arrêtait la conquête musulmane à Toulouse

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2020

    Représentation de la Bataille de Toulouse, le 9 juin 721.

    Le 9 juin est une date méconnue bien que victorieuse pour la ville de Toulouse. En effet, c’est à cette date qu’en 721, les troupes d’Eudes d’Aquitaine stoppèrent l’invasion arabo-musulmane dans le sud-ouest de la France.

    Suite à la conquête de l’Espagne et du Portugal, formant le califat d’Al-Andalus, les Sarrasins prennent le parti de remonter dans le Sud de la France. Ainsi, Narbonne est conquise en 718, de même qu’Agde, Béziers et Nîmes, mais Eudes d’Aquitaine se mettra en travers de leur chemin à Toulouse…

    Lire aussi : L’occupation musulmane en Languedoc au VIIIe siècle

    Le cas de Toulouse est très particulier dans cette période : une fois ces villes tombées, Toulouse demeurait le dernier rempart contre l’invasion de l’Aquitaine et, au delà, du royaume franc. L’année 721 sera décisive : le siège de Toulouse et la défaite de l’Émir Al-Samh ibn Malik devant ses remparts vont entraîner la chute de l’occupation sarrasine sur notre sol.

    Lire aussi : Eudes d’Aquitaine, celui qui sauva Toulouse de la conquête musulmane

    Le rôle décisif d’Eudes d’Aquitaine

    La bataille de Toulouse n’aurait jamais été remportée sans Eudes d’Aquitaine : fils du duc de Gascogne Bodogisel et de Sainte Ode de Francie, son autorité s’étend de la Loire aux Pyrénées, jusqu’au Rhône à l’est. Alors que l’armée de l’Al-Andalus entame sa conquête, les royaumes francs d’Austrasie, dirigé par Charles Martel, et de Neustrie, dont le maire du palais est Rainfroi, se livrent une guerre sans merci dans laquelle intervient Eudes en 717. Cette lutte de pouvoir facilite grandement l’avancée musulmane sur les terres franques.

    Eudes d'Aquitaine

    Lorsque débute le siège de Toulouse par 5 000 musulmans en novembre 720, la cité s’épuise rapidement. Eudes planifie une sortie héroïque le 9 juin 721 : en sous-nombre mais profitant d’un effet de surprise absolu, il met en fuite l’armée de l’émir Al-Samh ibn Malik par une charge de 2 000 hommes sur ces paroles légendaire : « Sur mon honneur, je vous le dis, jamais on ne parlera l’arabe ici ! ». L’émir, bien qu’il ait rapidement fui devant le courage des Francs, est rattrapé et tué. Inspirés par cette victoire, les Wisigoths d’Espagne se soulèvent à leur tour, appuyés par Eudes qui poursuit le général maure Ambiza. En 726, il parvient à massacrer entièrement cette armée entre Toulouse et Narbonne.

    Lire aussi : Boisson Divine : ils ont chanté la bataille de Toulouse
    « Longue est la plainte des arabes car leur cœur est bien lourd. Les Francs chantent leur petite victoire à Poitiers, mais nous, nous pleurons notre immense défaite devant Toulouse. Et nous implorons Allah d’accueillir au paradis, nos morts restés sur la chaussée des martyrs. »

    Ibn Hayyan ben Abou Djebbala (fakys du khalife Omar au VIIIe siècle), cité par l’historien El Maqqari El Tlemcani (1591-1632)

    Malgré leurs rivalités politiques, Charles Martel et Eudes s’allient en 731, pour consolider leur pouvoir et bâtir une armée afin de vaincre et déjouer les prochaines invasions. Devant l’avancée des armées de Charles Martel et d’Eudes de Gascogne réunies, Abd el-Rahmann, émir de Cordoue arrête sa progression entre Poitiers et Tours le 17 octobre 732. C’est à Moussais, sur la commune de Vouneuil-sur-Vienne, que se font face les ennemis. Le 25 octobre 732, qui est aussi le premier jour du mois de Ramadan, les musulmans se décident à engager la bataille. Abd-er-Rahman meurt au combat et la nuit suivante, ses hommes se retirent. L’armée musulmane est ainsi définitivement stoppée.

    Eudes d'Aquitaine

     

    Source : infos-toulouse

  • 25 octobre 732 : Charles Martel arrête les Arabes à Poitiers

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2019

    En 711, soit à peine 80 ans après la mort de Mahomet, les musulmans atteignent l’Espagne, qu’ils traversent en 8 ans, et occupent en 719 le Languedoc actuel. Cette province, entre les Pyrénées et le Rhône, s’appelle alors Gothie, en souvenir des Wisigoths, ou Septimanie, d’après ses sept villes principales (sa capitale Narbonne, Agde, Béziers, Nîmes, Maguelone, Lodève et Elne). Arrêtés à Toulouse, en 721, par le duc Eudes d’Aquitaine, ils tournent alors leurs regards vers l’Est et prennent Nîmes, Arles et Autun en 725.

    En 732, ils s’approchent de Tours, la ville de Saint Martin.
    A la demande de l’Eglise, le Duc des Francs, Charles Martel, vient au secours d’Eudes, Duc d’Aquitaine. Après avoir rassemblé une armée à la hâte, Charles Martel rejoint les troupes musulmanes, à Moussais, à proximité d’une voie romaine reliant Châtellerault à Poitiers. Le samedi 25 octobre 732, 1er jour du ramadan, les envahisseurs musulmans se décident à engager la bataille, au nord de Poitiers. Leur chef, Abd al-Rahman, est tué pendant la bataille. Sa cavalerie, légère et désordonnée, se heurte au « mur infranchissable » que forment les guerriers francs, à pied, mais disciplinés et bardés de fer. De son côté, Charles Martel attribue sa victoire à l’intercession de la Vierge Marie et parle des anges combattant aux côtés des Francs.

    C’est son fils, le roi Pépin le Bref, qui va libérer Narbonne et chasser définitivement les musulmans de Septimanie en 759, trois ou quatre décennies après leur arrivée.

     

    Source : contre-info