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  • À Avignon, des Africaines obèses et hystériques embrochent des bébés blancs sur scène !

    Publié par Guy de Laferrière le 27 juillet 2023

    26 Juillet 2023, 10:30am | Publié par Thomas Joly

    On se souvient, évidemment, des paroles magnifiques de l'artiste Nick Conrad qui, dans sa chanson « PLB » (« Pendez les Blancs »), disait : « Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs/Attrapez-les vite et pendez leurs parents. » Face à Charlotte d'Ornellas puis à la justice de notre pays, il avait invoqué le second degré, la liberté artistique et toutes ces sortes de choses. Il avait d'ailleurs été condamné à une amende symbolique, avant de récidiver avec « Doux Pays », avec des paroles tout aussi explicites : « J'ai baisé la France, brûlé la France/Doux pays de mon enfance. » Paroles qui lui avaient, cette fois, valu un classement sans suite.

    Au festival d'Avignon, on a pris l'habitude de la subversion subventionnée, de la rébellion à la mode. Les « mutins de Panurge » moqués par le grand Philippe Muray n'ont jamais eu pignon sur rue à ce point. Quel courage de dénoncer le colonialisme, le sexisme ou le racisme, en France, en 2023 ! Quel courage, en ouverture du festival et dans la cour du palais des Papes, que de faire une minute de silence pour Nahel ! Si vous vous pensez rebelle ou subversif, mais que le pouvoir vous subventionne par millions, il est peut-être temps de vous poser les bonnes questions. Ainsi du spectacle Carte noire nommée désir, dans lequel huit artistes noires alternent les acrobaties et la danse - dont l'incontournable twerk, évidemment - pour faire « voler en éclats l'imaginaire colonial et son cortège de clichés » afin de « faire sororité ». Derrière ce charabia bien-pensant et à la mode, il s'agit, comme toujours, de faire honte à l'Occident et aux méchants Blancs.

    Parmi les choix de mise en scène audacieux de Rebecca Chaillon, on relève une femme qui se déplace sur scène avec une longue brochette de poupées, de la taille d'un bébé - des bébés blancs, évidemment. Embrocher symboliquement des bébés blancs, en voilà une idée originale ! Personne ne dira rien, car non seulement les Blancs sont méchants, mais en plus, ils sont lâches. On peut s'essuyer les pieds dessus : ce n'est pas l'électeur moyen qui fera brûler la France quand on tue un Blanc. Il semble que cette fois, le 24 juillet au soir précisément, les « performeuses » aient été « agressées » (peut-être pas physiquement, car on aurait eu les photos) par des Blancs, si l'on en croit une certaine « Doctorante, membre #MeTooTheatre, Torquemada en jupon, inquisitrice, procureure autoproclamée sectaire en chef, intermittente sans capital askip » qui nous rapporte ça sur Twitter. Cette fois, on a le droit de connaître la couleur de peau des agresseurs, ce n'est pas raciste. Mettre en scène des massacres de bébés en raison de leur seule couleur de peau non plus, apparemment.

    Il faudra peut-être, un jour, s'interroger sur ce que de tels spectacles apportent au monde de la culture, désormais totalement hermétique au souhait initial de Jean Vilar pour Avignon, celui de rendre le théâtre vraiment populaire. Laideur, haine, violence, bêtise ne sont pas les armes les plus efficaces, quel que soit le message que l'on porte. Privilégier le discours - quel qu'il soit d'ailleurs - à la forme, préférer l'idée à l'objet, c'est la définition du non-art. Gavés de subventions étatiques, encensés par la presse mais boudés par les spectateurs, ces « œuvres » qui ne savent que propager la haine de la France, la haine des Blancs, la haine de l'Occident, ont encore de beaux jours devant elles. Même si l'on considère - à tort - que le seul rôle de l'art est de dénoncer on ne sait quoi, on peut se demander en quoi il est original, audacieux, inédit, artistique, de hurler avec les loups et de toujours taper sur les mêmes : ceux qui baissent la tête en silence. Jusqu'à quand, d'ailleurs ?

    Arnaud Florac

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Incidents, affrontements, tirs de mortiers, lynchages à Montpellier, Nice, Lens, Lyon, Avignon, Cannes, Grenoble…

    Publié par Guy de Laferrière le 16 décembre 2022

    Incidents, affrontements, tirs de mortiers, lynchages à Montpellier, Nice, Lens, Lyon, Avignon, Cannes, Grenoble…

    Que le Maroc gagne ou perde, tout est bon pour que les supporters marocains se comportent comme des émeutiers. Gerald Darmanin nous racontera-t-il encore que seulement 3 vitres ont été brisées ? Il y a eu un mort à MontpellierDes images sont ici.

    167 personnes ont été interpellées hier en région parisienne, dont 145 à Paris.

     

    Source : lesalonbeige

  • Avignon (84) : il « offre » son appartement à des sans-abri qui « bredouillent un français érodé », les autres copropriétaires à bout : agressions, menaces, tentatives d’effractions, bagarres

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2022

    Photo : Deux des occupant de l’appartement

    Depuis près d’un an, des SDF ont investi un immeuble rénové, en plein cœur d’Avignon… avec la bénédiction d’un des copropriétaires. Transformant la charmante bâtisse en lieu de villégiature pour quiconque est en mesure de fournir deux cigarettes ou une canette de bière.

    […]

     

    Un geste louable, à première vue, mais aux conséquences peu appréciées par les locataires et propriétaires des autres appartements de cet immeuble dominant la place des Carmes. Agressions, menaces, tentatives d’effractions, bagarres, tapages nocturnes, squat et détériorations des communs… la liste des préjudices qu’ils dressent est déjà longue. Et le résultat sans appel : en l’espace de 10 mois, tous les locataires, présents à cette période, ont fui l’immeuble. « La police est intervenue une bonne vingtaine de fois. Nous en sommes à trois plaintes et quatre mains courantes », soupire Jean-Yves, retraité et propriétaire d’un logement sur le même palier.

    Plusieurs des copropriétaires rassemblés devant l’immeuble. Alors que deux des occupants de l’appartement « loué en sous-main entre sans-abri » les regardent depuis le troisième étage.  Photo Le DL /Christophe AGOSTINIS
    Unis, des copropriétaires envisagent des poursuites en justice. Photo Le DL/Christophe AGOSTINIS

    Pour les questions… il faudra cependant attendre. Noureddine, le « teneur des clefs » comme le surnomment plusieurs riverains du quartier, entendez par là le locataire “officiel”, ne semble d’abord pas enclin à parler. Tout comme un autre homme, qui sans un mot, récupère l’une des portes de l’appartement pour l’appuyer sur celle de l’entrée. En guise de serrure…

    […]

     

    Deux des occupants, qui à l’instar du troisième se disent « sans abri et de passage depuis moins d’un mois », bredouillent un français érodé. Noureddine assure également être en possession d’un bail signé, mais confirme ne pas payer le moindre loyer. « Je pense que le propriétaire est fou», répète en boucle, hilare, celui qui entend désormais rester dans l’appartement. « Pour nous, c’est un miracle, c’est comme gagner au loto. » 

    […]

     

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Qui a fait plier les autorités d’Avignon pour recouvrir la fresque de Lekto représentant Attali en marionnettiste ?

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2022

    C’est une histoire en trois temps.

    Premier acte : à Avignon, au parking des Italiens, surgit il y a une quinzaine de jours sur un bâtiment de gestion d’eau une gigantesque fresque signée Lekto, qui s’est déjà fait connaître dans le domaine de l’art urbain « street art »). La fresque, d’un réalisme saisissant, représente Jacques Attali en marionnettiste, manipulant une marionnette qui a les traits d’Emmanuel Macron.

    Deuxième acte : plusieurs associations juives entrent en scène et hurlent à l’antisémitisme, réclamant l’effacement de la fresque en question. Interrogées par les médias, les autorités politiques d’Avignon affirment qu’au nom de « la liberté d’expression » elles ne feront pas procéder à l’effacement de la fresque (voir l’article de France Bleu, 23 juin 2022). « Chacun peut interpréter l’image comme il veut puisqu’il n’y a pas de mot sur ce mur » avait ainsi expliqué le Grand Avignon.

    Troisième acte : le concert des pleureuses s’intensifie et le journal La Dépêche publie une photo montrant des ouvriers en plein recouvrement de la fresque, les autorités d’Avignon ayant renié leurs propos sur la liberté d’expression. Mais qui donc a bien pu exercer une telle influence pour contraindre les autorités d’Avignon à manger leur chapeau, oui qui, on se le demande ?

    Petit tour d’horizon des gazouillis sur les réseaux sociaux :

    Ci-dessus, le tweet de l’American Jewish Comitee

    Ci-dessus, le commentaire de Frédéric Haziza

    Ci-dessus, le tweet de l’Union des étudiants juifs de France

    Certains soulignent tout de même les incohérences de notre temps

    Rappelons à toutes fins utiles ce message de M. Darmanin en 2014. Aujourd’hui, qui y verrait de l’antisémitisme ?

     

  • Avignon : ils perçoivent 80.000 euros d’aides sociales alors que la famille vit en Algérie

    Publié par Guy Jovelin le 16 février 2022

    Avignon : ils perçoivent 80 000 euros d’aides sociales alors que la famille vit en Algérie

    Un couple comparaissait devant la justice correctionnelle à Avignon ce mardi 15 février pour une importante fraude aux prestations de la Caisse d’allocations familiales (Caf) et au Revenu de solidarité active (RSA).

    Entre fin 2015 et fin 2021, le couple et ses quatre enfants ont perçu plus de 80 000 euros de prestations des deux organismes. Sauf que durant ces six années

    […]

    Le Dauphiné via fdesouche