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belloubet

  • La hausse du niveau scolaire vue par notre distinguée ministre de l’éducation Belloubet, adepte de la méthode Coué

    Publié par Guy de Laferrière le 25 avril 2024

    La méthode Coué est une méthode

    fondée sur l’autosuggestion et l’autohypnose…

    «Je ne peux pas laisser dire que l’école est en échec … les évaluations en classe de 6ème montre que notre pays a progressé depuis 2017, de six points en français et quatre points en maths ».

    Quelle nouvelle !

    C’est ce qu’a déclaré sans sourciller – ou peut-être en sourcillant…on ne saurait dire – notre distinguée ministre de l’éducation Belloubet, rapporté dans « le Figaro du 13 avril 2024.

    Nous n’aurions pas cru que « faire partager les valeurs de la république », comme préconisé dans les nouveaux programmes revus et corrigés de l’école de la république destiné à nos enfants, en lieu et place du français et des maths, faisait remonter le niveau.

    Il y a sans doute quelque chose qui nous échappe.

    Ce mystère relèverait-il de la même chimère que celle du  secret de la pierre philosophale ?

    En tout état de cause, il  n’est pas sûr que notre  surnommée « fée carabosse » délivre son secret.

    Mais…creusons…creusons….

    Nous ne nous lasserons jamais de répéter que la loi de refondation de l’école du 7 juillet 2013 distingue entre, d’une part,  la scolarité de nos enfants basée sur l’appréhension des valeurs de la république et la disparition progressive des cours au profit d’activités, d’autre part, la scolarité destinée aux populations issues de l’immigration dans les REP et REP+ , scolarité classique basée sur la recherche de l’excellence  des résultats, faisant usage de « méthodes pédagogiques efficaces » (sic) … pour « donner une culture solide » (resic).

    Dans cette perspective, dans les REP et REP+ (1), a été opéré :
    – à la rentrée 2018, le dédoublement des classes de CP et de CE1 pour 60 000 élèves,
    – « 2019, 190 000 élèves,
    – « 2020, 300 000 élèves,

    et, dans la foulée, il a été procédé au dédoublement des classes de CM1 et CM2.

    A cette époque, Blanquer, alors ministre de l’éducation,  avait fait beaucoup de « battage » sur ce dédoublement  dans la mesure où cette disposition était en mesure de recevoir un accueil plutôt favorable du public.

    Mais il s’était bien gardé de faire état de l’application de « méthodes pédagogiques efficaces » et de programmes « pour donner une culture solide » pour accompagner tous ces dédoublements, prétendant même qu’il s’agissait d’une mesure sociale de lutte contre les inégalités alors qu’au contraire, il s’agit d’une mesure éminemment inégalitaire au détriment de nos enfants.

    Serait-ce là, le secret de notre « sorcière » bien aimée ?

     Claude Meunier-Berthelot

    (1) REP : réseaux d’éducation prioritaire / REP+ : réseaux d’éducation prioritaire renforcés

     

    Source : medias-presse.info

  • Emmanuel Macron remet la Légion d’honneur à ses ex-ministres Nicole Belloubet et Agnès Buzyn

    Publié par Guy de Laferrière le 09 mars 2023

    lesmoutonsrebelles

     

    Le chef de l’État va remettre la Légion d’honneur à Nicole Belloubet et Agnès Buzyn ce mercredi. Les deux anciennes ministres ont pourtant été critiquées à de multiples reprises pour leurs actes.

    Au deuxième jour de mobilisation contre la réforme des retraites, et pour la journée internationale du droit des femmes, Emmanuel Macron va décorer deux de ses anciennes ministres ce mercredi 8 mars. En fin de journée dans la salle des fêtes de l’Élysée, le président de la République remettra la Légion d’honneur à l’ancienne garde des Sceaux, Nicole Belloubet, et à l’ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, informe Le Parisien. Nicole Belloubet a été promue au rang de commandeur, tandis qu’Agnès Buzyn a été promue chevalier.

    Des personnalités critiquées

    Leurs noms avaient déjà été publiés dans la liste des récipiendaires du 1er janvier dernier, diffusée par le Journal officiel, rappelle Le Parisien. Et la mention d’Agnès Buzyn avait été particulièrement critiquée. Alors que l’épidémie de Covid-19 commençait à se propager en France, la ministre de la Santé avait démissionné en février 2020 pour être candidate aux élections municipales de Paris. Puis en septembre 2021, elle avait été mise en examen pour « mise en danger de la vie d’autrui » dans sa gestion de la crise du Covid-19. Finalement, en février dernier, sa mise en examen a été annulée.
     
    De son côté, Nicole Belloubet avait notamment été critiquée lors de la pandémie pour avoir fait ordonner la libération de milliers de détenus en raison du confinement. En 2018, elle avait déjà fait face à une crise du personnel pénitentiaire qui dénonçait ses conditions de travail. Ce mouvement était considéré comme le plus important depuis les années 1990.
     
  • «Nous comptons 61.100 détenus, à la date du 23 avril, pour 61.109 places. La population détenue a ainsi diminué de 11.500 personnes depuis le 16 mars»,

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2020

    Par  le 29/04/2020

    Le nombre de détenus dans les prisons françaises a diminué de 11.500 depuis le 16 mars en raison de la crise du coronavirus, faisant chuter le taux de population carcérale en dessous de 100%, a déclaré mercredi 29 avril la ministre de la Justice Nicole Belloubet.

    «Nous comptons 61.100 détenus, à la date du 23 avril, pour 61.109 places. La population détenue a ainsi diminué de 11.500 personnes depuis le 16 mars», a annoncé au Monde la garde des Sceaux, évoquant «une situation sans précédent»«Le taux d’occupation moyen des prisons est désormais inférieur à 100% des capacités», a-t-elle poursuivi. Les établissements pénitentiaires étaient confrontés depuis des années à une surpopulation chronique, ce qui a valu à la France d’être condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) en janvier.

    Pour Nicolas Belloubet, «cette diminution s’explique majoritairement par la réduction de l’activité pénale liée à la baisse de la délinquance dans le contexte du confinement». De plus, 5300 détenus qui étaient «à quelques semaines de la fin de leur peine» ont été libérés.

  • Coronavirus : Belloubet vise la libération de 5000 détenus

    Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2020

    Par  le 24/03/2020

    La garde des Sceaux Nicole Belloubet a annoncé lundi aux organisations syndicales du ministère de la Justice qu’elle visait la libération de 5000 détenus, afin de désengorger les prisons en cas de propagation du coronavirus, a appris l’AFP de sources syndicales.

    «Des ordonnances vont être prises permettant la libération anticipée des détenus en fin de peine. Ce qui permettra la libération d’environ 5000 détenus», a tweeté FO-Pénitentiaire, syndicat majoritaire chez les personnels pénitentiaires.

  • Le match est lancé entre Mélenchon et Belloubet

    Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2019

    Rédigé par notre équipe le 16 septembre 2019.

    Le ministère de la Justice est hanté depuis bien trop longtemps par des politicards qui n’ont rien à y faire. Alors qu’il s’agit de l’un des ministères les plus importants, c’est une ribambelle de nuls qui ont des problèmes avec la justice qui s’y succèdent. Aujourd’hui, c’est au tour de Nicole Belloubet, une figure sombre de la Macronie qui est exposée en plein jour par son nouveau meilleur ennemi, Jean-Luc Mélenchon. Un insoumis qui commence à balancer les dossiers sur ses anciens collègues socialistes… 

    Peu connue du grand public, Nicole Belloubet n’en est pas moins un rouage essentiel de la machine macronienne. Avec son poste de ministre de la Justice, Belloubet est au cœur de tous les nœuds judiciaires à nouer ou à dénouer. Jean-Luc Mélenchon, pense que son avenir est décidé dans le bureau de la ministre et prépare ainsi les esprits à une possible condamnation. Condamné, Mélenchon jurera au procès politique, relaxé, il dira que son innocence ne faisait aucun doute. Mélenchon attend avec inquiétude son procès et tente de déstabiliser avec un certain succès Nicole Belloubet. 

    Une ministre qui ne connaît pas son patrimoine

    L’affaire Cahuzac a fait du mal à la Hollandie. Depuis les politiques font mine de montrer patte blanche et déclarent leur patrimoine à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) mais les ratés sont nombreux. Les ministres oublient qu’ils ont mystérieusement fait fortune dans la politique ou ailleurs… Pour Nicole Belloubet, les « oublis » sont conséquents puisqu’on compte une maison de 184 mètres carrés dans l’Aveyron ainsi que deux appartements de 61 et 32 mètres carrés à Paris. Plus précisément, la ministre possède des parts dans ces trois biens pour une valeur qu’elle estime à 360 000 euros.

    Difficile de croire qu’on puisse oublier autant de biens qui représentent une somme aussi colossale. Mais qu’est-ce que 360 000 euros quand on est ministre ? Du moment qu’il n’y a « aucune intention de fraude » comme le clame Belloubet, il n’y a pas de mal. Juste une faute morale qu’elle a corrigée six mois après son entrée au Gouvernement. Il n’y a pas d’affaire à croire la ministre, mais Mélenchon est d’un avis contraire. « Pour l’instant elle n’a pas eu de signalement. Mais elle sait ce qui est arrivé à ses prédécesseurs ». Urvoas est sous le coup d’une procédure judiciaire et son bref prédécesseur Bayrou est visé par une enquête préliminaire. Le poste de ministre de la Justice serait-il maudit ?

    Pour l’heure Belloubet semble ne pas s’en préoccuper. Elle préfère commenter la situation à Levallois-Perret. Patrick Balkany en prison, c’est sa première-adjointe de femme qui devient maire par intérim. Une promotion obligée qui intrigue, car Isabelle Balkany a aussi été reconnue coupable de fraude fiscale. La ministre s’émeut, mais ses émotions ne valent rien et même moins que rien au regard des lois. Si cette situation ubuesque ne lui plaît pas, elle n’a qu’à changer la loi. N’est-elle pas ministre de la Justice ?

    Une ministre qui se voit bien poursuivre sa mission pour la Macronie, car quand on lui parle de places de prison, elle assure qu’ « il n’y a aucun doute, le président s’était engagé à 15.000 places, elles seront construites. Elles seront construites sans doute pour le second quinquennat, ce qu’on a toujours annoncé d’ailleurs ». Le second quinquennat ? Oui, Belloubet et toute la Macronie sont déjà dans le coup d’après avec une réélection prévue en 2022. Une hypothèse loin d’être irréaliste, car si Macron est détesté, personne ne semble être encore en mesure de le décrocher d’un pouvoir qui lui va si mal.

     

    Source : 24heuresactu