Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

corruption

  • Le tribunal de Liège va examiner si Ursula von der Leyen bénéficie de l’immunité juridique contre les accusations de corruption lors de l’achat de vaccins contre le Covid-19

    Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2025

    Le tribunal de Liège va examiner si Ursula von der Leyen bénéficie de l'immunité juridique contre les accusations de corruption lors de l'achat de vaccins contre le Covid-19

    Le tribunal de la ville belge de Liège tiendra une audience pour déterminer si la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen bénéficie ou non de l’immunité juridique en ce qui concerne les accusations de corruption qui la visent dans le cadre de l’achat de vaccins contre le Covid-19 pour un montant de plus de 35 milliards d’euros. Le plaignant se nomme Frédéric Baldan.

    « Des vaccins COVID-19 qui n’ont pas passé les essais cliniques »

    « L’audience du 6 janvier aura lieu à la suite d’une requête du parquet européen qui devrait enquêter sur les actes de corruption au sein des institutions européennes mais qui agit de facto pour défendre von der Leyen à présent. Le parquet européen a envoyé une requête au tribunal, déclarant que von der Leyen bénéficie de l’immunité contre les poursuites judiciaires pour corruption lors de l’achat de vaccins COVID-19 qui n’ont pas passé les essais cliniques », a déclaré Frédéric Baldan.

    Il s’est dit convaincu que la présidente de la Commission européenne ne pouvait pas bénéficier d’une telle immunité car elle était « bien au-delà de son autorité ».

    Ursula von der Leyen est accusée d’avoir conclu un contrat d’achat de vaccins dont les essais n’étaient pas encore terminés, par le biais d’une correspondance par SMS avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, sans accord préalable avec les pays de l’UE.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Corruption endémique, agressions de moines et d'évêques, l'Ukraine s'enferme dans la folie décadente.

    Publié par Guy de Laferrière le 13 novembre 2024

    466954145_8588157801292402_2530600280140770097_n.jpg

    Corruption endémique, agressions de moines et d'évêques, l'Ukraine s'enferme dans la folie décadente.
    En face, Poutine ne lâche pas sur sa ridicule rhétorique antifasciste.
    Et au milieu de ce cirque, des frères slaves qui meurent.
    Le rôle de la France dans ce conflit devrait être d'appeler à et d'œuvrer pour la sécurité des chrétiens. C'est la seule cause juste, et le meilleur moyen d'œuvrer pour la paix.
  • La corruption en Ukraine, une histoire sans fin

    Publié par Guy de Laferrière le 15 février 2023

    La corruption en Ukraine, une histoire sans fin

    La corruption en Ukraine, une histoire sans fin

    Peut-on continuer à dépenser des milliards aux frais des contribuables européens pour un pays notoirement corrompu ? Pour éviter que trop d’Européens ne se posent la question, le régime ukrainien s’est tout à coup lancé dans une spectaculaire opération « mains propres ».

    A la veille du sommet européen du 3 février à Kiev, des perquisitions ont eu lieu, surtout dans la capitale. A grands renforts de publicité, les équipes du SBU, le célèbre service de sécurité ukrainien, sont descendues aux domiciles de l’oligarque Ihor Kolomoïsky et de l’ex-ministre de l’intérieur Arsen Avakov. Ce dernier avait démissionné de ses fonctions le 13 juillet 2021 pour des raisons restées obscures. Quant à l’oligarque Kolomoïsky, qui fut un soutien décisif de Zelensky lors de l’élection présidentielle de 2019, les raisons de sa disgrâce sont également inconnues. Il était le Monsieur pétrole de l’Ukraine et est accusé d’un modeste détournement de 1 milliards de dollars. Détournées au détriment de qui ? L’histoire ne le dit pas encore.

    Plusieurs responsables importants du ministère de l’intérieur ont également été visés ainsi que les services des impôts et son chef accusé « d’enrichissement à hauteur de plusieurs millions de dollars » a déclaré le chef du SBU, devenu tout puissant sous le régime de Zelensky. Il s’appelle Vassil Maliouk, dirige le service par interim depuis juillet 2022 et a été officiellement nommé le 6 février 2023, juste après ces perquisitions.

    Cette vaste opération (de communication ?) fait suite aux démissions, le 24 janvier, du chef-adjoint du bureau de Zelensky et du vice-ministre de la défense. Le même jour le procureur général adjoint était démis de ses fonctions ainsi que le vice-ministre des infrastructures, arrêté avec 400 000 dollars en liquide affirme le SBU. Pourquoi pas ?

    Oserait-on relier cet enchaînement impressionnant avec la mort du ministre de l’intérieur dans son hélicoptère dont il ne fait guère de doutes qu’il été abattu par un missile ukrainien le 18 janvier? Une sorte de signal.

    Il est bien dommage que les grands médias français, lancés dans une croisade ukrainienne ahurissante (Le Figaro pulvérise son précédent score syrien pourtant très brillant), ne s’intéressent pas beaucoup à tout cela. Ils découvriraient peut-être que derrière la nouvelle couche de la façade ukrainienne se cache une féroce lutte pour le pouvoir.

    L’armée ukrainienne est en grande difficulté et le Mossad, généralement bien renseigné, a donné un bilan des pertes de cette guerre impressionnant avec 150 000 morts et 230 000 blessés côté ukrainien contre 18 000 morts et 44 000 blessés côté russe. Aucun démenti n’est intervenu depuis le camp de l’OTAN. Il y a maintenant entre 400 000 et 500 000 soldats russes en ligne. Combien d’Ukrainiens ? Beaucoup moins maintenant malgré les enrôlements forcés dont les vidéos spectaculaires circulent (prises par des Ukrainiens).

    Alors malgré les chars, les canons Caesar et tous les obusiers de l’occident qui vide son garde-meuble, on ne voit pas bien comment l’Ukraine peut gagner cette guerre, n’en déplaise à nos dirigeants et à nos pitoyables généraux de plateau.

    Il faudra bien, un jour, s’assoir autour d’une table et négocier, n’en déplaise à l’OTAN, donc à l’Amérique.

    En attendant, les Ukrainiens règlent leurs comptes.

    Antoine de Lacoste 13 février 2023

     

    Source : lesalonbeige

  • Corruption à la prison de Fresnes : quatre ans de prison pour Khalid El-Kahl, l’ancien directeur pénitentiaire

    Publié par Guy de Laferrière le 12 janvier 2023

    De l’autre côté des barreaux. Ce mercredi 11 janvier 2023, le tribunal de Créteil a rendu son jugement concernant Khalid El-Kahl, ancien directeur divisionnaire de la prison de Fresnes dans le Val-de-Marne. Jugé pour corruption, le prévenu a été reconnu coupable et condamné à une peine de quatre ans de prison, avec mandat de dépôt différé.

    Une interdiction d’exercer dans la fonction publique

    Le prévenu était jugé pour avoir permis à plusieurs détenus de bénéficier d’un régime de faveur dans la prison, octroyant des parloirs de charme ou encore des douches plus fréquentes en échange de menue monnaie. Suivant les réquisitions du parquet pour la peine, le tribunal a également interdit définitivement à Khalid El-Kahl d’exercer dans la fonction publique.

    Parmi les détenus corrupteurs, Arnaud Mimran. Ce dernier est notamment connu pour ses arnaques à la taxe carbone et son implication dans des affaires d’assassinat. Il a aussi été reconnu coupable et condamné à deux ans de prison et 100 000 euros d’amende. (…)

    Actu Val-de-Marne via fdesouche

  • Qatargate et Marocogate : le compagnon de la vice-présidente du Parlement européen Eva Kaili passe aux aveux

    Publié par Guy de Laferrière le 15 décembre 2022

    Auteur : 

    Francesco Giorgi, compagnon d’Eva Kaili, vice-présidente du Parlement européen au moment des faits reprochés, est en aveux de corruption et d’ingérence au service du Maroc et du Qatar, rapporte le quotidien belge Le Soir, ce jeudi.

    Francesco Giorgi est l’un des personnages centraux de l’enquête menée pour corruption et ingérence au Parlement européen. Il a reconnu devant la police, puis le juge Michel Claise, avoir fait partie d’une organisation utilisée à la fois par le Maroc et par le Qatar dans le but d’intervenir dans les affaires européennes, explique Le Soir.

    Le mandat d’arrêt de Francesco Giorgi a été confirmé mercredi par la chambre du conseil de Bruxelles. Francesco Giorgi a avoué que son rôle dans « l’organisation » était de gérer l’argent liquide. Durant ses aveux, Francesco Giorgi a cité deux députés européens socialistes qui auraient perçu de l’argent via M. Panzeri : l’eurodéputé italien Andrea Cozzolino et l’eurodéputé belge Marc Tarabella.

    Il est maintenant que le Qatar n’est pas le seul pays corrupteur dans ce dossier. Le Maroc est également impliqué via son service de renseignements extérieurs, la DGED – Direction générale des études et de la documentation. Selon les sources auxquelles les journaux Le Soir et La Repubblica ont eu accès, Antonio Panzeri, l’eurodéputé Andrea Cozzolino et l’assistant Francesco Giorgi auraient été en contact avec la DGED et avec Abderrahim Atmoun, ambassadeur du Maroc en Pologne. Outre cet ambassadeur marocain, deux agents du service de renseignement marocain sont cités dans ces documents.

     

    Source : medias-presse.info