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dealers - Page 3

  • Marseille : à la Paternelle, les dealers louent un camion grue pour libérer leur plan stups

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Un 19-tonnes s’est discrètement frayé un chemin par le nord de la cité jusqu’à l’entrée sud, où depuis le début de l’été, un lourd problème se pose aux trafiquants

    “À chaque fois qu’on vient ici, on est encore surpris”, se marre un CRS au pied d’une longue fresque colorée qui annonce “Bienvenue chez Yoda”. Ce mardi après-midi, le policier est déployé à la hâte avec sa compagnie pour sécuriser la cité de la Paternelle (14e) où un nouvel épisode du chat et de la souris avec les trafiquants parvient même à étonner les fonctionnaires les plus rodés à l’exercice. Quelques instants plus tôt, vers 16h, une patrouille a remarqué un étrange manège aux abords du plan stups. Un 19-tonnes s’est discrètement frayé un chemin par le nord de la cité jusqu’à l’entrée sud, où depuis le début de l’été, un lourd problème se pose aux trafiquants.

    À l’initiative du bailleur social et de la police, l’accès par le rond-point du Min des Arnavaux, qui dessert surtout le “drive” du point de deal, a été condamné au moyen de blocs de béton armé. Et si le plan stups, l’un des rares à rester ouvert 24h/24, fonctionne toujours, la mesure commence à sérieusement plomber le chiffre d’affaires du réseau.

    […]

     

    C’était sans compter sur l’arrivée de la patrouille, qui a interpellé en flagrant délit une personne en pleine manœuvre. Surprise, le conducteur de l’engin était en fait une conductrice âgée d’une quarantaine d’années. Son camion n’était même pas volé. Vraisemblablement payée par le réseau, elle a utilisé le véhicule de son employeur le temps de la gâche, prenant grand soin de masquer les plaques et tous les marquages de l’entreprise à l’aide d’adhésif blanc. Elle est désormais poursuivie pour complicité de trafic de stupéfiants et dégradations.

    La Provence via fdesouche

  • Savigny-le-Temple (77). Les dealers promettent des primes pour tuer ou violer des policiers

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2021

    « Tableau de prime ». Sur un mur blanc, sous deux affichettes du bailleur demandant notamment de ne pas encombrer les paliers, une liste de sévices à faire endurer aux fonctionnaires de police qui peuvent donner lieu à une rémunération. Exemple : « Couper la tête d’un policier » pour 500 000 euros ou encore « jet de boule de pétanque sur la police » pour 200 euros. On trouve aussi « violer une policière » ou « raffaller à coup de kalashnikov la police » (sic !) Ces inscriptions ont été découvertes vendredi soir par une patrouille intervenant dans un hall qui est connu pour être un point de deal.

    Le PArisien via fdesouche

  • Un agent de police marseillais : « On a ordre de laisser les dealers tranquilles, sinon, ils vont mettre le feu aux cités et dépouiller les supermarchés »

    Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2020

    Par  le 03/04/2020

    Paris Match du 2 au 8 avril, page 59

    A Marseille, des centaines de fumeurs paniqués se pressaient pour acheter leurs barrettes de shit, collés les uns aux autres dans une longue file d’attente.
    «150000 euros de chiffre d’affaires pendant les trois premiers jours de confinement aux Oliviers… C’est exceptionnel ! » confie un policier étonné.

    Comment éviter que les quartiers ne s’embrasent ?

    Ce même agent révèle le mode opératoire, simple : « On a ordre de laisser tranquilles les dealers et de chasser les clients. Si on s’attaque aux réseaux, les trafiquants vont mettre le feu aux cités, dépouiller les supermarchés, attaquer les camions alimentaires. On ferme les yeux. D’ici un mois, ils vont commencer à souffrir, avec la fermeture des frontières entre l’Espagne et le Maroc ».

    Le temps peut sembler épais, long, y compris pour les « experts » en privation de liberté, tous ces prisonniers dorénavant dispensés de parloir et de ravitaillement. Situation tendue qu’un détenu des Baumettes synthétise : « Le shit manque. On devient fou. Je ne sais pas comment on va tenir ».

    Paris Match via fdesouche

  • Paris : toxicomanes et dealers affluent dans le quartier de la salle de shoot

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2020

    Par  le 29/03/2020

    Depuis le début du confinement et la fermeture de certaines structures d’accueil, toxicomanes et dealers se retrouvent aux abords de la salle de shoot, rue Ambroise-Paré (Xe). Attroupements, scènes d’injection… Les riverains craignent pour leur santé.

     
  • Toulouse. Masques dernier cri sur le nez, munis de gants et gels hydroalcooliques, les dealers se diversifient

    Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2020

    Par  le 18/03/2020

    Depuis peu, les dealers toulousains sont équipés de masques, gants et gels hydroalcooliques pour accueillir la clientèle. Certains profitent de la pénurie de masque de protection pour en proposer à la vente…

    Masques dernier cri, gants en latex et gels hydroalcooliques dans les poches, les dealers sont prêts à accueillir les clients.

    (…) La Dépêche via fdesouche