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djihadistes - Page 3

  • Sorti de prison pour avoir recruté des djihadistes, le leader de sharia4belgium étudie dans une école fréquentée par des enfants de victimes d’attentats

    Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2020

    Par  le 18/01/2020

    Après avoir purgé 5 ans de prison pour avoir recruté des djihadistes, Jean-Louis Denis a suivi des cours de néerlandais en banlieue bruxelloise, à Strombeek-Bever. Selon des informations communiquées par Life4Brussels, l’association qui accompagnement les victimes d’attentats, des élèves de primaire se trouvent dans l’établissement fréquenté par Jean-Louis Denis.

    Membre de l’association Life4Brussels, Sylvie Ingels est une victime des attentats de Bruxelles. Elle est mère de deux enfants qui sont scolarisés sur le site où Jean-Louis Denis pratique ses cours de néerlandais. Elle ne comprend pas que sa présence soit acceptée au sein d’un établissement qui accueille des enfants.

    « J’étais terrifiée. Je suis rentrée immédiatement dans l’école quand je l’ai vu rentrer. J’ai été voir la direction qui savait très bien pourquoi je venais. L’école m’a simplement dit qu’ils ne savaient rien faire. Les locaux dans lesquels ils faisaient les cours étaient dans l’école mais appartenaient au CVO, où il suivait des cours de néerlandais. Pour moi, c’est comme si tous les jours, j’emmenais mes enfants à la mort. Pour moi ça a été un choc, je revivais les attentats à nouveau. Comment peut-on le faire suivre des cours dans une école où se situent des enfants », nous confie-t-elle. Actuellement, Jean-Louis Denis n’est plus scolarisé dans les murs de l’école.

    RTL.be via fdesouche

  • Thibault de Montbrial : « Des cours d’assises spéciales ont rendu des peines extrêmement légères car ‘le repentir des djihadistes avait l’air sincère' »

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

    Par  le 15/01/2020
    Tancrède ن@Tancrede_Crptrs
     

    "Il y a des décisions de justice qui sont d'une naïveté confondante.
    Des cours d'assises spéciales ont rendu des peines extrêmement légères car 'le repentir des djihadistes avait l'air sincère'.
    Nous sommes extrêmement naïfs et nous allons le payer cher ... !" - @MontbrialAvocat

     
     
    Source : fdesouche
  • Rapatriement des djihadistes : « La prison, c’est l’ENA du djihad » selon Hugo Micheron

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2020

    Par  le 11/01/2020

    Le chercheur à l’Ecole Normale Supérieure Hugo Micheron a enquêté sur les réseaux djihadistes en France. Il s’étonne au micro d’Europe 1 de l’annonce par Nicole Belloubet, la Garde des Sceaux, du rapatriement des djihadistes français et explique que la prison est le terreau du radicalisme en France.

    « Quand on voit la difficulté de gestion d’un djihadiste en prison en France, déjà la réponse est plutôt négative« , affirme le chercheur, manifestement défavorable à la position de la ministre de la justice. « Les djihadistes exploitent les prisons pour se consolider, se reconfigurer. Ils ont acté leur défaite sur le terrain au Moyen-Orient, donc l’espace de recomposition de la mouvance djihadiste, c’est les prisons« , explique Hugo Micheron, qui détaille ses recherches et ses entretiens dans un ouvrage publié aux éditions Gallimard, « Le djihadisme français ». […]

    Le chercheur alerte aussi sur la création de nombreuses écoles privées hors contrat dans lesquelles des enfants sont radicalisés. « Un djihadiste m’explique que le but est d’étendre les rangs en éduquant leurs enfants dans la doctrine djihadiste. C’était aussi le projet de Daesh. » […]
    « Ils n’ont jamais été aussi nombreux. Les djihadistes sont cent fois plus nombreux en 2015 qu’en 1990. On ne pourra résoudre ce problème que si l’on arrive à comprendre ce qu’ils font. On a du temps. On est seulement à l’an 5 de la prise de conscience, la France a les moyens de répondre à cet enjeu« , espère l’auteur.

    msn via fdesouche

  • Aussonne (31) : en conflit pour l’héritage, il tente de recruter des djihadistes pour éliminer ses frères et sœurs

    Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2019

    […] Prêt au pire pour toucher un héritage. […] En conflit depuis 2015 pour l’héritage paternel, cet habitant d’Aussonne, au nord-ouest de la Ville rose, s’est mis en tête de recruter des tueurs pour éliminer ses frères et sœurs. Et, prenant en pensée de curieux raccourcis, il a décrété que des djihadistes feraient l’affaire pour cette basse besogne.

    Du coup, l’homme a attiré l’attention en surfant sur des sites très surveillés par l’antiterrorisme et a réellement envoyé un mail de recrutement à une dizaine de mosquées de France, celles qui, selon ses recherches, avaient la réputation la plus sulfureuse. Toujours selon le quotidien régional, l’homme a été arrêté samedi matin par les gendarmes de la compagnie Toulouse-Saint-Michel. L’enquête se poursuit pendant sa détention provisoire. Elle comprendra notamment une expertise psychiatrique.

    20 Minutes via fdesouche

  • Toulouse : peines réduites en appel pour deux djihadistes partis en Syrie, qui posaient avec des kalachnikovs et une tête coupée

    Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2019

    Par  le 06/12/2019

    Deux jeunes Toulousains partis combattre en Syrie dans les rangs djihadistes ont été condamnés en appel jeudi soir à Paris à dix ans de réclusion criminelle, des peines inférieures à celles prononcées en première instance, a appris l’AFP vendredi de source judiciaire.

    (…) En avril 2018, lors de leur premier procès, Mounir Diawara, alors âgé de 23 ans, et Rodrigue Quenum, 22 ans, avaient été condamnés à quinze ans de réclusion. Tous deux venus de quartiers populaires de Toulouse, ils étaient rejugés pour s’être rendus du 28 mai au 12 août 2013 en Syrie où ils avaient rejoint les rangs de groupes djihadistes, d’abord le Jabhat al-Nosra puis l’organisation État islamique (EI).

    Ils apparaissaient sur des photos en tenue de combat, kalachnikov en main et, pour l’un d’eux, brandissant une tête coupée.

    Outre la participation à des actions militaires et à des exactions en Syrie, la justice leur reprochait d’avoir à leur retour en France fait du prosélytisme auprès d’individus fréquentant un appartement toulousain pour les convaincre de partir combattre. Comme en première instance, vingt ans de réclusion criminelle avaient été requis à leur encontre.

    Le Figaro via fdesouche