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enfants - Page 7

  • L’État britannique veut demander aux enfants d’espionner leurs parents et de les dénoncer en cas d’islamophobie, homophobie ou transphobie

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2021

     

    Le Premier ministre britannique Boris Johnson voudrait faire passer une loi permettant de recruter des enfants pour espionner leurs parents – ce que le rédacteur en chef de Spiked Online, Brendan O'Neill, qualifie de "tout à fait orwellien".

    Le projet de loi sur les agents secrets (Covert Human Intelligence Source bill) est actuellement en débat au Parlement britannique. Il repassera devant la Chambre des Communes après que la Chambre des Lords ait ajouté un amendement visant à réduire l'utilisation d'enfants comme espions.

    Boris Johnson a soulevé un tollé dans son propre parti avec ce projet de loi.

    Brendan O'Neill, rédacteur en chef de Spiked Online,  trouve le projet "assez choquant" et "vraiment, vraiment délicat".

    "Tout le monde accepte la nécessité d'agents secrets, nous avons besoin d'espions pour démanteler les groupes terroristes. Mais recruter des enfants pour surveiller et espionner leur famille, il y a là quelque chose de tout à fait orwellien."

    "Ce que nous avons maintenant, c’est que la droite et la gauche, chacune à sa manière, veulent toutes deux que les enfants espionnent leur propre famille."

    Vidéo en anglais 7:38 (traduction automatique disponible) :

     

    Source : lesobservateurs

  • La presse locale signale que des enfants tombent littéralement de fatigue à cause du masque imposé à l’école

    Publié par Guy Jovelin le 07 février 2021

    Les effets nuisibles du port du masque reviennent à l’actualité. A Pernes-les-Fontaines, l’école Jean Moulin est fermée jusqu’au 15 février en raison d’un grand nombre de cas d’enfants souffrant de fatigue et d’endormissement subit.

    Des parents signalent que des enfants sont tombés de fatigue dans la cour de récréation. En cause, les effets du port du masque obligatoire à l’école…

  • Le gouvernement des Pays-Bas veut légaliser l’euthanasie des enfants

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2020

    Le gouvernement des Pays-Bas a annoncé mardi son intention de légaliser l’euthanasie pour les enfants malades en phase terminale âgés de un à douze ans.

    Le ministre de la Santé Hugo de Jonge a indiqué qu’il allait rédiger une réglementation sur le sujet, en se basant sur une étude rédigée par des “experts” affirmant que des enfants malades souffraient “désespérément”.

    L’euthanasie est déjà légale aux Pays-Bas pour les plus de 12 ans qui peuvent donner leur consentement, ainsi que… pour les bébés de moins d’un an avec le consentement des parents.

    Par contre, à ce stade il n’existe pas de clauses légales permettant d’euthanasier les enfants d’un à 12 ans, car les autorités néerlandaises n’avaient jusqu’ici pas pu se mette d’accord sur le fait de savoir si des enfants de cet âge sont capables ou non de prendre pareille décision.

    Les ministres du gouvernement de coalition du Premier ministre Mark Rutte sont finalement tombés d’accord sur le sujet mardi après des mois de désaccords.

    Les lois existantes ne seront pas modifiées, mais les médecins seront protégés de toute poursuite pour avoir procédé à une euthanasie autorisée sur un enfant qui souffre, a précisé le ministre de Jonge.

    Le parlement néerlandais devrait encore débattre du sujet jeudi, mais sauf miracle cette réglementation mortifère devrait entrer en vigueur dans les prochains mois.

    Les Pays-Bas et la Belgique voisine furent les premiers pays au monde à légaliser l’euthanasie en 2002.

    La Belgique devint ensuite le premier pays à autoriser l’euthanasie volontaire d’enfants en 2014, suivie rapidement par les Pays-Bas.

     

    Source : medias-presse.info

  • Suède : des drag-queens initient les enfants de 3 à 7 ans aux contes de fées pour les sensibiliser aux rôles de genre

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2020

    Les enfants avec et sans paillettes ont été captivés par Henrik Johansson, quand il a lu “La licorne et le caca arc-en-ciel” à Norrköping et Linköping.

    L’auteur et artiste Petter Wallenberg veut changer les choses pour que les enfants apprennent tôt les rôles de genre à travers la performance “Parmi les dragons et les drag queens”, où les artistes suédois “dragons-queens” Robert Fux, Carnita Molida, Inga Tvivel, Henrik Johansson et Per Öhagen interprètent des contes de fées pour enfants.

    – Nous sommes de petits personnages fantastiques auxquels les enfants croient simplement, dit Henrik Johansson qui invite à jouer et à entrer dans le monde enchanteur des contes de fées.

    C’est la troisième année après la première saison entièrement réservée à la bibliothèque de la ville de Stockholm. Le spectacle est destiné aux enfants de 3 à 7 ans.

    Dimanche, c’était au tour de Norrköping, tout comme le 11 octobre à la CNEMA. A Linköping, ils sont au Stora Teatern les 29 novembre et 6 décembre.

    SVT (Radio-télévision publique de Suède) – Vidéo

     

  • Cuties, le film de Netflix sexualisant les enfants, a été récompensé par un pédophile

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2020

    La campagne promotionnelle de Netflix, géant du streaming, pour le film Cuties a déclenché un tollé mondial. De l’Amérique latine à l’Inde, en passant par les Etats-Unis et l’Europe, dans toutes les langues, les réseaux sociaux ont grouillé de messages scandalisés dénonçant la sexualisation des enfants véhiculée par ce film.

    Le film Cuties (en France, le film est intitulé Mignonnes) qui bénéficie d’une énorme campagne de promotion par Netflix montre des fillettes de 11 ans dans des attitudes sexualisées, notamment au cours de danses comme le «twerk».

    Le film est “français” et co-produit par France 3 ! Il raconte l’histoire de Amy, 11 ans, une jeune musulmane sénégalaise qui vit dans un quartier pauvre de France et qui rejoint un groupe d’autres fillettes qui passent leur temps à des danse sexualisées dans des tenues indécentes.

    La description originale du film par Netflix disait : «Amy, 11 ans, est fascinée par une équipe de danse twerk. Dans l’espoir de les rejoindre, elle commence à explorer sa féminité, défiant les traditions de sa famille

    «Ce film est dégoûtant car il sexualise un enfant de ONZE ans pour le plaisir visuel des pédophiles et influence négativement nos enfants! Il n’y a pas besoin de ce type de contenu dans ce groupe d’âge, surtout lorsque le trafic sexuel et la pédophilie sont si répandus ! Il n’y a pas d’excuse, c’est un contenu dangereux », a réagi une pétition signée par des centaines de milliers de personnes.

    La réalisatrice du film, Maimouna Doucouré, dit avoir été incitée à faire le film après avoir assisté à une fête locale et avoir vu «un groupe de jeunes filles âgées d’environ 11 ans, monter sur scène et danser de manière très sensuelle en portant des vêtements très révélateurs».

    Réfléchissant à cet événement dans une interview à Cineuropa, Maïmouna Doucouré déclare: «(…) je me suis demandé si elles étaient conscientes de l’image de disponibilité sexuelle qu’elles projetaient».

    La réalisatrice se défend contre les critiques en déclarant que le film faisait partie de ses efforts pour susciter un débat sur la tendance croissante des jeunes filles à attirer un grand nombre d’adeptes des médias sociaux en publiant des photos sexualisées d’elles-mêmes en ligne.

    «J’ai vu que certaines très jeunes filles étaient suivies par 400 000 personnes sur les réseaux sociaux et j’ai essayé de comprendre pourquoi. Il n’y avait pas de raisons particulières, à part le fait qu’elles avaient posté des photos sexy ou du moins révélatrices : c’est ce qui leur avait valu cette «renommée» », déclare Doucouré.

    Mais faut-il, pour lancer un débat, en produire un film sexualisant de jeunes enfants ? Au contraire, beaucoup voient en ce film une banalisation de la sexualisation des enfants. Quantité d’enfants de par le monde, voyant ces images, seront incités à faire de même.

    Sur les réseaux sociaux, des messages du monde entier ont dénoncé le rôle de normalisation de la pédophilie joué par ce film. Sur Twitter, des hashtag très en vogue associent depuis plusieurs jours dans toutes les langues Netflix à la pédophilie.

    Devant l’ampleur des critiques, Netflix a tenté de sauver la face en modifiant sa description du film.

    La description mise à jour est en fait beaucoup plus trompeuse : «Amy, onze ans, commence à se rebeller contre les traditions de sa famille conservatrice lorsqu’elle est fascinée par une équipe de danse à l’esprit libre».

    Quelques lignes sur les réseaux sociaux ont aussi fait office de simulacre d’excuses de la part de Netflix pour tenter d’apaiser l’opinion publique.

    Et Netflix n’a aucune intention d’annuler la diffusion de ce film scandaleux.

    Netflix refuse de condamner la pédophilie

    Plus inquiétant encore, cet échange sur le Netflix Customer Service. Un utilisateur demande si Netflix soutient la pédophilie. Réponse de Netflix : «Nous ne pouvons pas vraiment commenter cela, mais alors que nous croyons en la liberté créative, chez Netflix nous respectons toutes les religions et leurs cultures, traditions et valeurs».

    Film récompensé par un pédophile

    Il faut ajouter un fait extrêmement révélateur. Le film Cuties / Mignonnes a été récompensé d’un prix décerné par le Sundance Film Festival dont le co-fondateur Sterling Van Wangenen a été condamné à six ans de prison pour pédophilie !

    Terminons par une «coïncidence» troublante. Le minable communiqué faisant office de simulacre d’excuses de Netflix était suivi sur Twitter d’un message de promotion pour la saison 5 de la série Lucifer.