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enfants - Page 8

  • Cuties, le film de Netflix sexualisant les enfants, a été récompensé par un pédophile

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2020

    La campagne promotionnelle de Netflix, géant du streaming, pour le film Cuties a déclenché un tollé mondial. De l’Amérique latine à l’Inde, en passant par les Etats-Unis et l’Europe, dans toutes les langues, les réseaux sociaux ont grouillé de messages scandalisés dénonçant la sexualisation des enfants véhiculée par ce film.

    Le film Cuties (en France, le film est intitulé Mignonnes) qui bénéficie d’une énorme campagne de promotion par Netflix montre des fillettes de 11 ans dans des attitudes sexualisées, notamment au cours de danses comme le «twerk».

    Le film est “français” et co-produit par France 3 ! Il raconte l’histoire de Amy, 11 ans, une jeune musulmane sénégalaise qui vit dans un quartier pauvre de France et qui rejoint un groupe d’autres fillettes qui passent leur temps à des danse sexualisées dans des tenues indécentes.

    La description originale du film par Netflix disait : «Amy, 11 ans, est fascinée par une équipe de danse twerk. Dans l’espoir de les rejoindre, elle commence à explorer sa féminité, défiant les traditions de sa famille

    «Ce film est dégoûtant car il sexualise un enfant de ONZE ans pour le plaisir visuel des pédophiles et influence négativement nos enfants! Il n’y a pas besoin de ce type de contenu dans ce groupe d’âge, surtout lorsque le trafic sexuel et la pédophilie sont si répandus ! Il n’y a pas d’excuse, c’est un contenu dangereux », a réagi une pétition signée par des centaines de milliers de personnes.

    La réalisatrice du film, Maimouna Doucouré, dit avoir été incitée à faire le film après avoir assisté à une fête locale et avoir vu «un groupe de jeunes filles âgées d’environ 11 ans, monter sur scène et danser de manière très sensuelle en portant des vêtements très révélateurs».

    Réfléchissant à cet événement dans une interview à Cineuropa, Maïmouna Doucouré déclare: «(…) je me suis demandé si elles étaient conscientes de l’image de disponibilité sexuelle qu’elles projetaient».

    La réalisatrice se défend contre les critiques en déclarant que le film faisait partie de ses efforts pour susciter un débat sur la tendance croissante des jeunes filles à attirer un grand nombre d’adeptes des médias sociaux en publiant des photos sexualisées d’elles-mêmes en ligne.

    «J’ai vu que certaines très jeunes filles étaient suivies par 400 000 personnes sur les réseaux sociaux et j’ai essayé de comprendre pourquoi. Il n’y avait pas de raisons particulières, à part le fait qu’elles avaient posté des photos sexy ou du moins révélatrices : c’est ce qui leur avait valu cette «renommée» », déclare Doucouré.

    Mais faut-il, pour lancer un débat, en produire un film sexualisant de jeunes enfants ? Au contraire, beaucoup voient en ce film une banalisation de la sexualisation des enfants. Quantité d’enfants de par le monde, voyant ces images, seront incités à faire de même.

    Sur les réseaux sociaux, des messages du monde entier ont dénoncé le rôle de normalisation de la pédophilie joué par ce film. Sur Twitter, des hashtag très en vogue associent depuis plusieurs jours dans toutes les langues Netflix à la pédophilie.

    Devant l’ampleur des critiques, Netflix a tenté de sauver la face en modifiant sa description du film.

    La description mise à jour est en fait beaucoup plus trompeuse : «Amy, onze ans, commence à se rebeller contre les traditions de sa famille conservatrice lorsqu’elle est fascinée par une équipe de danse à l’esprit libre».

    Quelques lignes sur les réseaux sociaux ont aussi fait office de simulacre d’excuses de la part de Netflix pour tenter d’apaiser l’opinion publique.

    Et Netflix n’a aucune intention d’annuler la diffusion de ce film scandaleux.

    Netflix refuse de condamner la pédophilie

    Plus inquiétant encore, cet échange sur le Netflix Customer Service. Un utilisateur demande si Netflix soutient la pédophilie. Réponse de Netflix : «Nous ne pouvons pas vraiment commenter cela, mais alors que nous croyons en la liberté créative, chez Netflix nous respectons toutes les religions et leurs cultures, traditions et valeurs».

    Film récompensé par un pédophile

    Il faut ajouter un fait extrêmement révélateur. Le film Cuties / Mignonnes a été récompensé d’un prix décerné par le Sundance Film Festival dont le co-fondateur Sterling Van Wangenen a été condamné à six ans de prison pour pédophilie !

    Terminons par une «coïncidence» troublante. Le minable communiqué faisant office de simulacre d’excuses de Netflix était suivi sur Twitter d’un message de promotion pour la saison 5 de la série Lucifer.

     

  • La révolution sexuelle mange ses enfants

    Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2020

    La révolution sexuelle mange ses enfants

    Christophe Girard, adjoint à la culture du maire de Paris Anne Hidalgo, a annoncé avoir remis sa démission, jeudi 23 juillet, à la suite de son audition dans l’enquête pour viols sur mineurs visant l’écrivain Gabriel Matzneff. Il avait été secrétaire général de la maison Yves Saint Laurent entre 1986 et 1987. C’est par l’entremise de cette structure que le couturier aurait réglé des nuits d’hôtel permettant à M. Matzneff d’habiter avec une mineure.

    Depuis plusieurs jours, des élus écologistes et des manifestantes féministes demandaient sa suspension et l’ouverture d’une enquête interne à la Ville de Paris.

    Christophe Girard est un farouche militant homosexualiste. En 2012, il déclarait :

    Je pense que les prochaines revendications viendront des hommes et des femmes homosexuels qui ont une religion, qui ont une foi et qui demanderont à leur église ou à leur temple, en tout cas à leur communauté religieuse, de célébrer des mariages religieux. Je pense que ce sera le prochain combat.

    Les déconstructeurs sont à leur tour déconstruits.

     

    Source : lesalonbeige

  • La voiture électrique et l’esclavage des enfants

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2020

    La voiture électrique et l’esclavage des enfants

    La Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement prévoit que 23 millions de voitures électriques seront vendus au cours de la prochaine décennie et que le marché des batteries rechargeables pour voitures, actuellement estimé à 7 milliards de dollars, devrait atteindre 58 milliards de dollars d’ici 2024. Mais l’organisme s’inquiète dans un rapport d’une soixantaine de pages.

    Mais les matières premières utilisées dans les batteries des voitures électriques sont fortement concentrée dans un petit nombre de pays. Les deux tiers de toute la production de cobalt ont lieu en République démocratique du Congo (RDC). Selon le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), environ 20% du cobalt fourni par la RDC provient de mines artisanales, où des violations des droits de l’homme ont été signalées, et jusqu’à 40 000 enfants travaillent dans des conditions extrêmement dangereuses dans les mines pour de maigres revenus.

    Et au Chili, l’extraction du lithium utilise près de 65% de l’eau dans la région du Salar de Atamaca, l’une des zones désertiques les plus sèches du monde. Cela a contraint les agriculteurs locaux et les éleveurs à migrer. Il a également contribué à la dégradation de l’environnement, aux dommages au paysage et à la contamination des sols, à l’épuisement des eaux souterraines et à la pollution.

    Le respect de l’environnement pour les bobos occidentaux n’a pas de prix…

     

    Source : lesalonbeige

  • Priver des enfants de leur père : une préoccupation essentielle du gouvernement actuel

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2020

    Priver des enfants de leur père : une préoccupation essentielle du gouvernement actuel

    Le 3 juin, Emmanuel Macron écrivait au président de l’Assemblée Nationale pour lui demander de déterminer les “priorités essentielles… au premier rang des préoccupations de nos compatriotes “:

    Après deux mois de confinement, une économie en récession, l’école en souffrance, l’hôpital au bord de l’implosion… la réponse ne s’est pas longtemps fait attendre : l’examen en seconde lecture du projet de loi bioéthique au Parlement sera programmé courant juillet.

    Brigitte Bourguignon @BrigBourguignon

    Le @gouvernementFR s’est montré à l’écoute des députés de la majorité : l’examen en seconde lecture du projet de loi au Parlement sera programmé courant juillet.
    Cette loi porte de nombreuses, belles et réelles avancées sociétales, dont la

    Voir l'image sur Twitter

    Et c’est pratique, puisque les rassemblements de plus de 10 personnes sur la voie publique sont toujours interdits !

     

    Source : lesalonbeige

  • EN FRANCE, AUJOURD’HUI, DES ENFANTS ONT FAIM

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2020

    POSTÉ LE JUIN 02, 2020, 3:23

    Une dame vient de me raconter une petite histoire que je trouve triste et belle. La voici. On peut en tirer des conclusions sur l’actuelle situation de notre pays.

    Cette dame qui « fait le catéchisme », comme on dit, à de jeunes enfants a remarqué que, parmi ses jeunes auditeurs, certains, garçons et filles, se tenaient dans un coin, calmes, silencieux, un peu amorphes, comme s’ils cherchaient à ne pas exister. Elle finit par leur demander s’ils se sentaient bien et les enfants, intimidés, osant à peine répondre, confièrent à cette dame qu’ils avaient faim. Ils étaient un peu honteux de l’avouer. Le matin, ils n’avaient pas de petit-déjeuner. Ils partaient au catéchisme le ventre creux. Par négligence des parents ou indigence. La dame, bien sûr, fit aussitôt en sorte que ces enfants n’aient plus faim et il lui arrive souvent de recommencer. Ces petits, sortant alors de leur mutisme, lui dirent tout simplement : « Merci, Madame », avec un charmant sourire. Cette dame en fut tout heureuse, m’a-t-elle dit. Qu’y a-t-il de plus beau, en effet, que le sourire d’un enfant reconnaissant ?

    Cette anecdote bien simple pose des questions qui vont bien au-delà du catéchisme et de l’anecdote elle-même.

    La France compte maintenant un grand nombre d’enfants, mais aussi d’adultes, qui ont faim, alors que la France officielle et généreuse dépense chaque année, assure-t-on, 750 milliards d’euros dans le social, pour l’essentiel à destination des défavorisés venus d’ailleurs qui désormais se comptent par millions sur notre sol. Ce sont ces migrants que nos responsables politiques ont fait venir par idéologie mondialiste ou socialiste et par démagogie, provoquant de ce fait une fiscalité écrasante. Mais comment cette manne est-elle distribuée ? C’est une question difficile. Pour s’y reconnaître dans cette étonnante complexité, il faut être inspecteur des finances et être en mesure de faire l’inventaire de l’aide au « tiers monde intérieur », à ne pas confondre avec le « tiers monde extérieur » qui, de son côté, absorbe un certain nombre de milliards d’euros – de votre poche.

    On apprend d’abord qu’une partie de cette aide va au distributeur, des fonctionnaires payés qui font penser beaucoup plus à Kafka qu’à saint François d’Assise. L’étude fait apparaître également qu’en France, maintenant, pratiquement la polygamie existe et que le prénom le plus donné dans les mairies est celui de Mohamed. Migrations et naissances expliquent que désormais, les migrants, toutes générations confondues, représentent quelque 25 % de la population dite française.

    Dans certains quartiers des villes allemandes, on est en Turquie. En France, on est au Maghreb. Ces populations font la loi. C’est l’anarchie. Boulangeries, pharmacies, épiceries françaises ont déménagé. Là, les Français n’ont plus leur place en France.

    Le hasard a fait qu’il y a quelques jours, j’ai rencontré à Paris un Paraguayen d’Asuncion, flanqué d’un Colombien qui servait d’interprète : « Que venez-vous faire en France ? lui ai-je demandé. Vous n’avez pas de travail chez vous ? – Il y a du travail, m’a-t-il répondu, mais il y en a peu et il est mal payé. En France, pas de besoin de travailler et on est bien payé. Les amis et les organisations nous disent ce qu’il faut faire pour obtenir des “allocations”. Pas de problème ! » Cet aimable Paraguayen était un Indien guarani. Il manquait à ma collection, qui est déjà fort belle. La rue en France, en effet, c’est le musée de l’Homme ! Inutile d’acheter un billet pour le musée du Trocadéro. Ainsi ai-je croisé des Danakils d’origine hamitique venant d’Abyssinie, à ne pas confondre avec les Hamaras qui sont chrétiens et qui donc sont combattus par les précédents, musulmans. De la sorte, s’ajoutant aux autres, nous pourrions avoir des combats entre coptes et musulmans. L’Afrique, on le voit, se reconstitue chez nous. Mais la collection étant très variée y figurent également des Chinois. À toutes fins utiles, je précise que les prostituées chinoises viennent plutôt de la province du Liao-ning et aussi du Hei Lung Kiang, au nord de la Chine, mais le million de Chinois en France vient d’un peu toutes les provinces, du Kuan Tong, du Kuan Ksi, du Yunan, etc. – plus les nombreux Coréens qu’il ne faut pas oublier.

    Vous pouvez demander à ces Chinois dans leur langue leur origine. Ils vous répondront volontiers en chinois. Il faut noter que ces Chinois ne sont pas à la charge du contribuable. Ils se débrouillent très bien tous seuls, surtout dans l’alimentation. J’en connais un qui était assujetti à l’ISF et j’en connais autre qui tient un grand et excellent restaurant.

    Oui, la France est devenue un musée ethnique et l’idée fait son chemin d’imposer une taxe à ceux qui le visitent. On sait en effet qu’il n’y a pas un seul problème en France qui ne soit résolu par une taxe. Des fonctionnaires, postés à chaque coin de rue, seraient chargés de la percevoir, éventuellement en donnant des explications ethniques : « Vous voyez sur votre gauche : vous avez un Bambara de Sikasso, brachycéphale, c’est-à-dire que le diamètre transverse est presque égal au diamètre antéro-postérieur du crâne. Et, sur votre droite, un Amérindien du Nebraska, également brachycéphale. Un peu plus loin, vous trouvez un groupe de Néo-Papous. » Tout cela me remet en mémoire un souvenir ancien. Débarquant en Amérique latine, je fus accueilli par un groupe d’Indiens patagons qui, habillés en costume local, tapaient sur des calebasses pour soutirer quelques sous aux touristes de passage. Ainsi avaient-ils chaque jour leur bol de riz. C’était pitoyable.

    Un jour viendra, je le crains, où les derniers Français seront regroupés à Roissy pour jouer de la flûte et obtenir des touristes de quoi acheter leur pain. Leur pain ! Que dis-je ? L’assiette de couscous devenue le plat national !

     

    Source : les4verites