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enfants - Page 8

  • Suède : des drag-queens initient les enfants de 3 à 7 ans aux contes de fées pour les sensibiliser aux rôles de genre

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2020

    Les enfants avec et sans paillettes ont été captivés par Henrik Johansson, quand il a lu “La licorne et le caca arc-en-ciel” à Norrköping et Linköping.

    L’auteur et artiste Petter Wallenberg veut changer les choses pour que les enfants apprennent tôt les rôles de genre à travers la performance “Parmi les dragons et les drag queens”, où les artistes suédois “dragons-queens” Robert Fux, Carnita Molida, Inga Tvivel, Henrik Johansson et Per Öhagen interprètent des contes de fées pour enfants.

    – Nous sommes de petits personnages fantastiques auxquels les enfants croient simplement, dit Henrik Johansson qui invite à jouer et à entrer dans le monde enchanteur des contes de fées.

    C’est la troisième année après la première saison entièrement réservée à la bibliothèque de la ville de Stockholm. Le spectacle est destiné aux enfants de 3 à 7 ans.

    Dimanche, c’était au tour de Norrköping, tout comme le 11 octobre à la CNEMA. A Linköping, ils sont au Stora Teatern les 29 novembre et 6 décembre.

    SVT (Radio-télévision publique de Suède) – Vidéo

     

  • Cuties, le film de Netflix sexualisant les enfants, a été récompensé par un pédophile

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2020

    La campagne promotionnelle de Netflix, géant du streaming, pour le film Cuties a déclenché un tollé mondial. De l’Amérique latine à l’Inde, en passant par les Etats-Unis et l’Europe, dans toutes les langues, les réseaux sociaux ont grouillé de messages scandalisés dénonçant la sexualisation des enfants véhiculée par ce film.

    Le film Cuties (en France, le film est intitulé Mignonnes) qui bénéficie d’une énorme campagne de promotion par Netflix montre des fillettes de 11 ans dans des attitudes sexualisées, notamment au cours de danses comme le «twerk».

    Le film est “français” et co-produit par France 3 ! Il raconte l’histoire de Amy, 11 ans, une jeune musulmane sénégalaise qui vit dans un quartier pauvre de France et qui rejoint un groupe d’autres fillettes qui passent leur temps à des danse sexualisées dans des tenues indécentes.

    La description originale du film par Netflix disait : «Amy, 11 ans, est fascinée par une équipe de danse twerk. Dans l’espoir de les rejoindre, elle commence à explorer sa féminité, défiant les traditions de sa famille

    «Ce film est dégoûtant car il sexualise un enfant de ONZE ans pour le plaisir visuel des pédophiles et influence négativement nos enfants! Il n’y a pas besoin de ce type de contenu dans ce groupe d’âge, surtout lorsque le trafic sexuel et la pédophilie sont si répandus ! Il n’y a pas d’excuse, c’est un contenu dangereux », a réagi une pétition signée par des centaines de milliers de personnes.

    La réalisatrice du film, Maimouna Doucouré, dit avoir été incitée à faire le film après avoir assisté à une fête locale et avoir vu «un groupe de jeunes filles âgées d’environ 11 ans, monter sur scène et danser de manière très sensuelle en portant des vêtements très révélateurs».

    Réfléchissant à cet événement dans une interview à Cineuropa, Maïmouna Doucouré déclare: «(…) je me suis demandé si elles étaient conscientes de l’image de disponibilité sexuelle qu’elles projetaient».

    La réalisatrice se défend contre les critiques en déclarant que le film faisait partie de ses efforts pour susciter un débat sur la tendance croissante des jeunes filles à attirer un grand nombre d’adeptes des médias sociaux en publiant des photos sexualisées d’elles-mêmes en ligne.

    «J’ai vu que certaines très jeunes filles étaient suivies par 400 000 personnes sur les réseaux sociaux et j’ai essayé de comprendre pourquoi. Il n’y avait pas de raisons particulières, à part le fait qu’elles avaient posté des photos sexy ou du moins révélatrices : c’est ce qui leur avait valu cette «renommée» », déclare Doucouré.

    Mais faut-il, pour lancer un débat, en produire un film sexualisant de jeunes enfants ? Au contraire, beaucoup voient en ce film une banalisation de la sexualisation des enfants. Quantité d’enfants de par le monde, voyant ces images, seront incités à faire de même.

    Sur les réseaux sociaux, des messages du monde entier ont dénoncé le rôle de normalisation de la pédophilie joué par ce film. Sur Twitter, des hashtag très en vogue associent depuis plusieurs jours dans toutes les langues Netflix à la pédophilie.

    Devant l’ampleur des critiques, Netflix a tenté de sauver la face en modifiant sa description du film.

    La description mise à jour est en fait beaucoup plus trompeuse : «Amy, onze ans, commence à se rebeller contre les traditions de sa famille conservatrice lorsqu’elle est fascinée par une équipe de danse à l’esprit libre».

    Quelques lignes sur les réseaux sociaux ont aussi fait office de simulacre d’excuses de la part de Netflix pour tenter d’apaiser l’opinion publique.

    Et Netflix n’a aucune intention d’annuler la diffusion de ce film scandaleux.

    Netflix refuse de condamner la pédophilie

    Plus inquiétant encore, cet échange sur le Netflix Customer Service. Un utilisateur demande si Netflix soutient la pédophilie. Réponse de Netflix : «Nous ne pouvons pas vraiment commenter cela, mais alors que nous croyons en la liberté créative, chez Netflix nous respectons toutes les religions et leurs cultures, traditions et valeurs».

    Film récompensé par un pédophile

    Il faut ajouter un fait extrêmement révélateur. Le film Cuties / Mignonnes a été récompensé d’un prix décerné par le Sundance Film Festival dont le co-fondateur Sterling Van Wangenen a été condamné à six ans de prison pour pédophilie !

    Terminons par une «coïncidence» troublante. Le minable communiqué faisant office de simulacre d’excuses de Netflix était suivi sur Twitter d’un message de promotion pour la saison 5 de la série Lucifer.

     

  • La révolution sexuelle mange ses enfants

    Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2020

    La révolution sexuelle mange ses enfants

    Christophe Girard, adjoint à la culture du maire de Paris Anne Hidalgo, a annoncé avoir remis sa démission, jeudi 23 juillet, à la suite de son audition dans l’enquête pour viols sur mineurs visant l’écrivain Gabriel Matzneff. Il avait été secrétaire général de la maison Yves Saint Laurent entre 1986 et 1987. C’est par l’entremise de cette structure que le couturier aurait réglé des nuits d’hôtel permettant à M. Matzneff d’habiter avec une mineure.

    Depuis plusieurs jours, des élus écologistes et des manifestantes féministes demandaient sa suspension et l’ouverture d’une enquête interne à la Ville de Paris.

    Christophe Girard est un farouche militant homosexualiste. En 2012, il déclarait :

    Je pense que les prochaines revendications viendront des hommes et des femmes homosexuels qui ont une religion, qui ont une foi et qui demanderont à leur église ou à leur temple, en tout cas à leur communauté religieuse, de célébrer des mariages religieux. Je pense que ce sera le prochain combat.

    Les déconstructeurs sont à leur tour déconstruits.

     

    Source : lesalonbeige

  • La voiture électrique et l’esclavage des enfants

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2020

    La voiture électrique et l’esclavage des enfants

    La Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement prévoit que 23 millions de voitures électriques seront vendus au cours de la prochaine décennie et que le marché des batteries rechargeables pour voitures, actuellement estimé à 7 milliards de dollars, devrait atteindre 58 milliards de dollars d’ici 2024. Mais l’organisme s’inquiète dans un rapport d’une soixantaine de pages.

    Mais les matières premières utilisées dans les batteries des voitures électriques sont fortement concentrée dans un petit nombre de pays. Les deux tiers de toute la production de cobalt ont lieu en République démocratique du Congo (RDC). Selon le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), environ 20% du cobalt fourni par la RDC provient de mines artisanales, où des violations des droits de l’homme ont été signalées, et jusqu’à 40 000 enfants travaillent dans des conditions extrêmement dangereuses dans les mines pour de maigres revenus.

    Et au Chili, l’extraction du lithium utilise près de 65% de l’eau dans la région du Salar de Atamaca, l’une des zones désertiques les plus sèches du monde. Cela a contraint les agriculteurs locaux et les éleveurs à migrer. Il a également contribué à la dégradation de l’environnement, aux dommages au paysage et à la contamination des sols, à l’épuisement des eaux souterraines et à la pollution.

    Le respect de l’environnement pour les bobos occidentaux n’a pas de prix…

     

    Source : lesalonbeige

  • Priver des enfants de leur père : une préoccupation essentielle du gouvernement actuel

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2020

    Priver des enfants de leur père : une préoccupation essentielle du gouvernement actuel

    Le 3 juin, Emmanuel Macron écrivait au président de l’Assemblée Nationale pour lui demander de déterminer les “priorités essentielles… au premier rang des préoccupations de nos compatriotes “:

    Après deux mois de confinement, une économie en récession, l’école en souffrance, l’hôpital au bord de l’implosion… la réponse ne s’est pas longtemps fait attendre : l’examen en seconde lecture du projet de loi bioéthique au Parlement sera programmé courant juillet.

    Brigitte Bourguignon @BrigBourguignon

    Le @gouvernementFR s’est montré à l’écoute des députés de la majorité : l’examen en seconde lecture du projet de loi au Parlement sera programmé courant juillet.
    Cette loi porte de nombreuses, belles et réelles avancées sociétales, dont la

    Voir l'image sur Twitter

    Et c’est pratique, puisque les rassemblements de plus de 10 personnes sur la voie publique sont toujours interdits !

     

    Source : lesalonbeige