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enfants - Page 9

  • EN FRANCE, AUJOURD’HUI, DES ENFANTS ONT FAIM

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2020

    POSTÉ LE JUIN 02, 2020, 3:23

    Une dame vient de me raconter une petite histoire que je trouve triste et belle. La voici. On peut en tirer des conclusions sur l’actuelle situation de notre pays.

    Cette dame qui « fait le catéchisme », comme on dit, à de jeunes enfants a remarqué que, parmi ses jeunes auditeurs, certains, garçons et filles, se tenaient dans un coin, calmes, silencieux, un peu amorphes, comme s’ils cherchaient à ne pas exister. Elle finit par leur demander s’ils se sentaient bien et les enfants, intimidés, osant à peine répondre, confièrent à cette dame qu’ils avaient faim. Ils étaient un peu honteux de l’avouer. Le matin, ils n’avaient pas de petit-déjeuner. Ils partaient au catéchisme le ventre creux. Par négligence des parents ou indigence. La dame, bien sûr, fit aussitôt en sorte que ces enfants n’aient plus faim et il lui arrive souvent de recommencer. Ces petits, sortant alors de leur mutisme, lui dirent tout simplement : « Merci, Madame », avec un charmant sourire. Cette dame en fut tout heureuse, m’a-t-elle dit. Qu’y a-t-il de plus beau, en effet, que le sourire d’un enfant reconnaissant ?

    Cette anecdote bien simple pose des questions qui vont bien au-delà du catéchisme et de l’anecdote elle-même.

    La France compte maintenant un grand nombre d’enfants, mais aussi d’adultes, qui ont faim, alors que la France officielle et généreuse dépense chaque année, assure-t-on, 750 milliards d’euros dans le social, pour l’essentiel à destination des défavorisés venus d’ailleurs qui désormais se comptent par millions sur notre sol. Ce sont ces migrants que nos responsables politiques ont fait venir par idéologie mondialiste ou socialiste et par démagogie, provoquant de ce fait une fiscalité écrasante. Mais comment cette manne est-elle distribuée ? C’est une question difficile. Pour s’y reconnaître dans cette étonnante complexité, il faut être inspecteur des finances et être en mesure de faire l’inventaire de l’aide au « tiers monde intérieur », à ne pas confondre avec le « tiers monde extérieur » qui, de son côté, absorbe un certain nombre de milliards d’euros – de votre poche.

    On apprend d’abord qu’une partie de cette aide va au distributeur, des fonctionnaires payés qui font penser beaucoup plus à Kafka qu’à saint François d’Assise. L’étude fait apparaître également qu’en France, maintenant, pratiquement la polygamie existe et que le prénom le plus donné dans les mairies est celui de Mohamed. Migrations et naissances expliquent que désormais, les migrants, toutes générations confondues, représentent quelque 25 % de la population dite française.

    Dans certains quartiers des villes allemandes, on est en Turquie. En France, on est au Maghreb. Ces populations font la loi. C’est l’anarchie. Boulangeries, pharmacies, épiceries françaises ont déménagé. Là, les Français n’ont plus leur place en France.

    Le hasard a fait qu’il y a quelques jours, j’ai rencontré à Paris un Paraguayen d’Asuncion, flanqué d’un Colombien qui servait d’interprète : « Que venez-vous faire en France ? lui ai-je demandé. Vous n’avez pas de travail chez vous ? – Il y a du travail, m’a-t-il répondu, mais il y en a peu et il est mal payé. En France, pas de besoin de travailler et on est bien payé. Les amis et les organisations nous disent ce qu’il faut faire pour obtenir des “allocations”. Pas de problème ! » Cet aimable Paraguayen était un Indien guarani. Il manquait à ma collection, qui est déjà fort belle. La rue en France, en effet, c’est le musée de l’Homme ! Inutile d’acheter un billet pour le musée du Trocadéro. Ainsi ai-je croisé des Danakils d’origine hamitique venant d’Abyssinie, à ne pas confondre avec les Hamaras qui sont chrétiens et qui donc sont combattus par les précédents, musulmans. De la sorte, s’ajoutant aux autres, nous pourrions avoir des combats entre coptes et musulmans. L’Afrique, on le voit, se reconstitue chez nous. Mais la collection étant très variée y figurent également des Chinois. À toutes fins utiles, je précise que les prostituées chinoises viennent plutôt de la province du Liao-ning et aussi du Hei Lung Kiang, au nord de la Chine, mais le million de Chinois en France vient d’un peu toutes les provinces, du Kuan Tong, du Kuan Ksi, du Yunan, etc. – plus les nombreux Coréens qu’il ne faut pas oublier.

    Vous pouvez demander à ces Chinois dans leur langue leur origine. Ils vous répondront volontiers en chinois. Il faut noter que ces Chinois ne sont pas à la charge du contribuable. Ils se débrouillent très bien tous seuls, surtout dans l’alimentation. J’en connais un qui était assujetti à l’ISF et j’en connais autre qui tient un grand et excellent restaurant.

    Oui, la France est devenue un musée ethnique et l’idée fait son chemin d’imposer une taxe à ceux qui le visitent. On sait en effet qu’il n’y a pas un seul problème en France qui ne soit résolu par une taxe. Des fonctionnaires, postés à chaque coin de rue, seraient chargés de la percevoir, éventuellement en donnant des explications ethniques : « Vous voyez sur votre gauche : vous avez un Bambara de Sikasso, brachycéphale, c’est-à-dire que le diamètre transverse est presque égal au diamètre antéro-postérieur du crâne. Et, sur votre droite, un Amérindien du Nebraska, également brachycéphale. Un peu plus loin, vous trouvez un groupe de Néo-Papous. » Tout cela me remet en mémoire un souvenir ancien. Débarquant en Amérique latine, je fus accueilli par un groupe d’Indiens patagons qui, habillés en costume local, tapaient sur des calebasses pour soutirer quelques sous aux touristes de passage. Ainsi avaient-ils chaque jour leur bol de riz. C’était pitoyable.

    Un jour viendra, je le crains, où les derniers Français seront regroupés à Roissy pour jouer de la flûte et obtenir des touristes de quoi acheter leur pain. Leur pain ! Que dis-je ? L’assiette de couscous devenue le plat national !

     

    Source : les4verites

  • Emission “Le monde d’en face” du 2 juin sur la PMA/GPA: une honteuse utilisation des enfants

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2020

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    Emission “Le monde d’en face” du 2 juin sur la PMA/GPA: une honteuse utilisation des enfants

    Les Juristes pour l’enfance dénoncent :

    Ce soir, mardi 2 juin, la série « Le monde d’en face » sur France 5 prétend éclairer les débats sur le projet de loi de bioéthique par la parole d’enfants.

    7 enfants issus de PMA ou de GPA ont été filmés en train de répondre à des questions posées sur leur famille. 5 d’entre eux sont de jeunes mineurs âgés de 8 à 13 ans. Seuls 2 sont majeurs (18 et 20 ans).

    Ce documentaire entend montrer que ces enfants sont heureux et que, s’ils ressentent un mal-être, c’est uniquement en raison du « regard pesant » des tiers sur leur histoire et de l’homophobie d’une partie de la société.

    Juristes pour l’enfance dénonce fermement l’utilisation des enfants faite par ce documentaire pour tenter de justifier les atteintes à leurs droits : en vertu de la Convention internationale des droits de l’enfant de l’ONU, l’enfant a le droit, à sa naissance et dans la mesure du possible, de connaître ses parents et d’être élevé par eux. A moins de vider les mots de leur sens, et de vider ce droit de l’enfant de tout contenu, les parents s’entendent du père et de la mère de l’enfant. En témoignent en droit français les actions en recherche de paternité et de maternité qui permettent toute personne dont la filiation paternelle ou maternelle n’est pas établie, de rechercher si elle le souhaite sa filiation dans ces deux branches.

    A moins d’accepter de supprimer ces actions du Code civil, on ne saurait prétendre que la privation de père ou de mère ne méconnait pas les droits de l’enfant. L’utilisation des enfants pour promouvoir cette injustice est choquante : comment des enfants, mis en scène sur un plateau de télévision, pourraient avoir la moindre latitude pour remettre en cause leur venue au monde et leur propre famille ? Cela reviendrait à leur demander d’accuser leurs parents en public, et d’hypothéquer eux-mêmes leur avenir. Il est scandaleux de mettre des enfants face à cette alternative, même si c’est en l’occurrence pour les faire abonder dans le sens de leurs parents.

    Si cette exhibition des enfants est indécente, le problème est surtout d’utiliser leur parole pour tenter de faire croire que leur mode de conception n’est pas un sujet et que la loi pourrait sans dommage l’entériner. Que des situations de fait variées existent est une réalité que chacun vit au mieux : mais l’interdiction légale d’avoir une des branches de sa filiation serait une violence institutionnelle faite aux enfants, et il est particulièrement cynique d’utiliser les enfants pour la banaliser et tenter de la justifier. 

     

    Source : lesalonbeige

  • Lutte conte le coronavirus en Israël : Netanyahu suggère que soient implantées des micro-puces aux enfants

    Publié par Guy Jovelin le 12 mai 2020

    Pour combattre le coronavirus, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu suggère d’implanter des micro-puces aux enfants qui retournent à l’école et à la crèche afin qu’ils respectent la distanciation sociale, relate le Jerusalem Post :

    « Lors d’une conférence de presse lundi, Netanyahu a suggéré au ministère de la Santé d’utiliser une nouvelle technologie pour aider Israël à s’adapter à sa nouvelle routine alors que l’État lève le verrouillage du coronavirus. C’est-à-dire une technologie qui n’a pas été utilisée auparavant et qui est autorisée par la législation que nous allons promulguer, a-t-il précisé. J’ai parlé avec nos responsables de la technologie afin de trouver des mesures dans lesquelles Israël est bon, comme des capteurs. Par exemple, chaque personne, chaque enfant – je le veux d’abord pour les enfants – aurait un capteur qui déclencherait une alarme lorsque vous êtes trop proches, comme ceux des voitures, a déclaré le Premier ministre. »

    L’article souligne que « le bureau du Premier ministre a ajouté qu’il s’agit d’une option volontaire conçue pour aider les enfants à garder leurs distances et que la suggestion du Premier ministre est une idée qui peut aider à maintenir la distanciation sociale, et il n’y aura aucune violation de la vie privée. » Précision qu’il faut croire sur parole, la parole institutionnelle étant devenue en ces temps de coronavirus infaillible et sacro-sainte.

    « C’est fictif et dangereux », a déclaré au Jerusalem Post Einat Meron, experte en cyberrésilience, à Ynet. « Si les informations sur l’emplacement des enfants sont téléchargées sur Internet, un pédophile ayant une certaine connaissance du cyberespace peut envahir le système et les traquer en dehors de leurs écoles, les suivre et diffuser les informations sur d’autres plateformes. L’Etat peut-il en assumer la responsabilité? »

    Entre les différentes applications pour smartphone destinées au  “suivi des contacts” des personnes positives au Covid-19 pour avertir celles qui sont entrées en contact avec elles, via leur téléphone portable, et les micro-puces pour respecter la distanciation sociale, les Etats rivalisent d’idées pour mieux contrôler leur population. Et comme dans tout régime qui marche vers le totalitarisme, les enfants sont les premières victimes à enrôler.

    Le monde Big Brother est arrivé !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Dix-sept enfants de jihadistes français ont été rapatriés, d’autres vont suivre

    Publié par Guy Jovelin le 02 février 2020

    Dix-sept enfants de jihadistes français ont d’ores et déjà été rapatriés en France, a déclaré ce dimanche 2 février le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, ajoutant que la France voulait poursuivre ce mouvement de retour d’enfants “innocents”.

    “Nous avons rapatrié 17 enfants”, a-t-il déclaré lors d’une émission conjointe RTL/LCI/Le Figaro, après avoir dit que la France pourrait en rapatrier d’autres si elle a “l’occasion de le faire”.

    “La volonté de la France est de faire en sorte que ces enfants, qui sont innocents, puissent être rapatriés, sous réserve de l’accord de leur mère”, a-t-il expliqué. Concernant leur âge, “pour l’instant nous sommes limités à moins de 6 ans”.

  • « Ginks » : ils ne veulent pas d’enfants, ça pollue !

    Publié par Guy Jovelin le 02 février 2020

    Par  le 02/02/2020

    On les appelle « Ginks » pour « Green inclinations, no kids ». Pour sauver la planète, ils et elles ont choisi de ne pas faire d’enfants et face à l’explosion démographique, prônent la stérilisation. Paris-Match a rencontré des filles et des garçons, jeunes et déterminés, qui sont passés à l’acte ou prêts à le faire.

    «Un pavillon, un mari, des enfants et un chien. Je préfère me tirer une balle.» Aurélie [le prénom a été modifié] , 26 ans, au caractère bien trempé, rejette ce destin tout tracé. Elle veut bourlinguer, une de ses passions, mais pas n’importe comment. Elle a tout juste 20 ans quand débutent ses années « woofing », un tourisme alternatif permettant de voyager sans avoir beaucoup d’argent. Le concept : travailler pour visiter. Un rêve depuis le lycée. Les rencontres s’accumulent, une semaine dans un refuge pour animaux, deux autres chez un petit maraîcher bio…[…]

    Dans un monde où enfanter reste une norme dominante, celles qui choisissent de ne pas donner la vie doivent constamment se justifier. La pression sociale est telle que certaines femmes en viennent à s’inventer une pathologie pour expliquer leur « stérilité ». Et d’autres à se cacher derrière l’écologie. Aurélie n’a jamais douté de son choix. La jeune femme se moque de la pression sociale. Au point de choisir la stérilisation définitive. […]

    «Il faudrait réorienter l’aide des allocations familiales afin qu’elle devienne dégressive et non progressive, et pourquoi pas la supprimer à partir du troisième enfant.» estime Jean-Loup Bertaux, directeur de recherche au CNRS «Beaucoup de gens trouvent ça épouvantable, mais nous sommes en fait sur la bonne voie», poursuit le scientifique. La démographie demeure une problématique internationale. En 2100, nous serons 11,2 milliards d’habitants, dont un tiers en Afrique. […]

    Paris-Match via fdesouche