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europe - Page 10

  • Immigration : 650 000 Africains attendent sur les côtes libyennes de pouvoir rejoindre l’Europe

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2020

    Si la crise sanitaire actuelle bouleverse l’économie et exacerbe la violence des populations allogènes en banlieue, elle n’empêche pas des millions d’Africains de vouloir quitter leur continent pour le notre dans les prochaines semaines…

     « Le chiffre paraît démesuré : 650.000 personnes attendent sur les côtes libyennes de pouvoir rejoindre l’Europe. Essentiellement des gens venus d’Afrique sub-saharienne et qui se retrouvent coincés dans ce pays, entassés dans des camps dans des conditions souvent effroyables, parfois réduits même à l’esclavage. Juste en face de la Libye, la première côte européenne, c’est Malte. Et Evarist Bartolo, son ministre des Affaires étrangères, est très inquiet. Il voit s’accumuler les migrants et les dangers qui les guettent Händel à la guerre civile et le coronavirus.

    Ils sont en effet des centaines de milliers à voir la mer Méditerranée et l’Europe comme leur unique issue de secours. »

     

    Source : contre-info

  • L’Europe, vieille dame indigne de son passé ?

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2020 

    L’Union européenne est une vielle dame un peu gâteuse envahie par une foule de commissaires, d’élus et de fonctionnaires inutiles qui vivent à ses crochets. Veuve depuis très longtemps d’un homme entreprenant et courageux, l’Européen, dont le moule semble cassé, elle se contente de se mettre en scène et de compenser par une générosité aveugle son impotence. Deux images de ce triste tableau se télescopent : pendant que la Turquie exerce un odieux chantage aux migrants sur l’Europe, la commission européenne reçoit une gamine de 17 ans venue donner une leçon d’écologie à des commissaires européens qui poussent la démagogie jusqu’à la traiter comme une personnalité alors qu’elle n’est qu’une créature médiatique inventée par le groupe de pression écologiste. Que cette idéologie soit le faux-nez du mondialisme et de son aspiration à un gouvernement mondial, il n’est qu’à voir l’empressement des « machins » qui jalonnent le chemin vers cette utopie, l’ONU, l’Union Européenne, à la mettre en valeur, au-delà de toute proportion, pour s’en convaincre.

    Son discours de quelques minutes pouvait-il apprendre quoi que ce soit à ses auditeurs ? On peut le résumer en quelques mots : La loi climat est une capitulation. Il faut atteindre la neutralité carbone au plus vite. On reconnaît là l’idéologie écologiste qui culpabilise l’Europe, laquelle, par rapport à d’autres, comme la Chine, les Etats-Unis, et l’Inde, est plutôt sage. Mais cette idéologie fait partie de toutes celles qui se fédèrent pour abattre « l’homme européen » porteur de tous les vices et malheurs du monde. Ensuite, vient la Science, unique et implacable, comme le sont celles auxquelles se réfèrent les idéologies. Quelle est cette « science » dont parle cette écolière qui a abandonné ses études ? Curieusement, elle ne contient pas le critère de toute science véritable qui est de pouvoir être mise en cause et de devoir prouver sa véracité. Doit-on souffler à la donzelle que ceux qui ont écrit son texte semblent ignorer que la réponse des sciences aux grands défis de l’humanité a toujours consisté non à renoncer, mais au contraire à surmonter ? L’énergie nucléaire ne produit pas de carbone. Enfin, il y a la démagogie : elle est une enfant d’apparence fragile et elle interpelle les Européens sur le tort qu’ils infligent à leurs enfants. Et chacun de battre sa coulpe. Mais leur plus grand tort, c’est sans doute de ne plus faire d’enfants, de condamner l’Europe à s’effacer, et à être remplacée par l’immigration de populations qui n’auront pas la même civilisation : la maison ne brûle pas, mais elle se dépeuple et elle est envahie. Voilà le vrai danger bien plus perceptible au quotidien ! Même en Suède ! Si les Européens « trahissent leurs enfants », c’est bien en n’en faisant plus, et en ne garantissant pas à ceux qui naissent d’être encore chez eux dans une génération. Les traîtres, ce sont ceux qui détournent l’attention de ce danger immédiat et massif, au profit d’un risque virtuel contre lequel les Européens ne peuvent pas grand chose. Le sommet de cette colossale bêtise qui submerge l’occident est atteint lorsqu’un illuminé jure de sauver la planète en ne donnant pas naissance à de nouveaux « pollueurs atmosphériques », bref à des enfants. Yves Cochet a atteint cette altitude !

    Pendant ce temps, la Turquie dont la démographie est positive comme tout pays islamique, et qui se soucie peu d’écologie, furieuse d’avoir manqué son coup d’imposer les Frères Musulmans à son voisin syrien, réclame le soutien de l’Europe contre celui-ci. Son argument ? Le chantage : « si vous ne m’aidez-pas, je déverse des flots de migrants sur votre continent, et en particulier sur ce petit pays que j’ai passé une bonne partie de l’histoire à martyriser : la Grèce. » Les Turcs conduisent donc les migrants jusqu’à la frontière afin de déborder la résistance grecque, et même elle oppose à celle-ci un millier de policiers qui doivent empêcher les Grecs de repousser les migrants illégaux. La souveraineté et le droit international comptent peu dans l’esprit de M. Erdogan. A ses yeux ne compte que la force. C’est d’ailleurs pour ça que le seul homme à savoir le manoeuvrer est Vladimir Poutine. Mais les Européens n’aiment ni la force ni la ruse, et préfèrent tempérer. Tout en reconnaissant les « efforts importants » réalisés par la Turquie, l’UE « rejette fermement l’usage de la pression migratoire à des fins politiques ». S’il faut traduire : nous ne pouvons accepter de nous soumettre au chantage, mais nous acceptons de partager le fardeau. Cela va se traduire par une aide financière accrue à la Turquie, et par des moyens pour accélérer les procédures de demandes d’asile. Cette bonne Mme Von der Leyen a déjà promis 700 millions d’Euros. La France va envoyer dix experts. On ne laissera pas entrer les foules devant les caméras, mais on fera passer d’abord les fameux enfants isolés, puis des quotas par pays. La France a déjà promis d’accueillir 400 demandeurs d’asile… Si le franchissement illégal ne sera pas toléré, le franchissement légal sera accéléré… Là aussi les ONG se bousculent pour accuser les Européens de tous les maux !

    Si l’Europe n’était pas cette vieille dame indigne et désespérante, qu’on accuse de tout et qui l’accepte, si elle voulait bien se souvenir qu’elle a conquis le monde en lui apportant son progrès scientifique et technique, elle dirait aux Turcs de garder leurs Afghans et de cesser d’alimenter une guerre en Syrie, elle dirait à Erdogan que s’il continue à jouer les sultans ottomans, il devra garder chez lui les produits d’une économie en difficulté et ne plus compter sur le moindre euro. Il y a des Grecs qui se battent contre la mollesse européenne. La Grèce est la mère de l’Europe. Il faut encourager et soutenir sa fermeté face à l’invasion !

  • Face à la Turquie, l’Europe doit choisir entre la force et la faiblesse

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2020

    Rédigé par notre équipe le 06 mars 2020

    Il est des crises qui se font le révélateur d’une décadence assumée ou d’un réveil annoncé. La crise migratoire opérée par la Turquie contre l’Europe en est une. Elle diffère largement des autres crises migratoires de ces dernières années. En effet, les immigrés cherchant à pénétrer en Europe ne le faisaient, jusqu’ici, que de manière désordonnée et en s’organisant par eux-mêmes. Si des passeurs structuraient ces entrées illégales, il était toutefois question d’acteurs privés œuvrant illégalement au sein d’Etats en décompositions (aidés, toutefois, par des ONG occidentales, qui avaient finis par se reconvertir en taxis des mers, avant que leurs manœuvres ne soient mises au grand jour par l’action du C-Star, le bateau européen financé par le réseau Génération Identitaire).

    Aujourd’hui, l’immigration illégale est devenue la politique étrangère officielle d’un Etat voisin de l’Europe : la Turquie. Il ne s’agit donc plus de combattre un phénomène, mais un Etat. Et si l’Europe pouvait se permettre (aux yeux des plus naïfs) de se laisser attendrir par des flux d’immigrés incontrôlés, elle ne doit pas laisser impuni cet affront que lui fait la Turquie à la face du monde. Laisser un Etat voisin comme la Turquie la déstabiliser impunément serait envoyer un message dramatique à l’international. Cela signifierait que l’Europe ne pèse plus rien (et nous ne parlons pas ici de l’Union européenne, mais bien de l’Europe, car une action concertée des nations européennes suffirait à surmonter cette crise).

    C’est la crédibilité de tout Européen à l’international qui est en jeu. La crédibilité de nos entreprises (comme l’a montré l’exemple de Frédéric Pierucci et de Carlos Ghosn, on n’hésite déjà plus à rudoyer nos chefs économiques à l’étranger), celle de notre politique internationale (du moins ce qu’il en reste), mais aussi notre crédibilité militaire. Si de simples vagues de migrants peuvent déstabiliser nos nations, que vont penser les Turcs ou encore les Chinois de notre capacité à gérer les crises sécuritaires, et donc militaires ? Car il est bien loin le temps où les pays européens faisaient la guerre contre des puissances égales ; de nos jours, nous ne nous engageons que dans des combats asymétriques de faible intensité.

    Des pays comme la Turquie (mais il en va de même de la Russie, de la Chine et des Etats-Unis) ne respectent que la force. Et Ankara n’hésite pas à l’employer : elle a envoyé un millier de policiers appartenant à ses forces spéciales aux frontières gréco-turques, afin d’empêcher la Grèce de refouler les immigrés tentant de forcer ses portes. La Turquie distribue des pinces afin que les arrivants puissent découper les fils barbelés. Les masses déployées par la Turquie sont acheminées en bus par l’Etat afin de gagner rapidement la frontière européenne.

    L’heure n’est donc plus à l’hésitation. Si les Européens souhaitent conserver le peu d’estime qu’il leur reste à l’étranger, ils doivent réagir. Bloquer entièrement la frontière européenne avec la Turquie est une nécessité vitale, qui mériterait le déploiement de milliers d’agents européens en Grèce et en Bulgarie. De fortes sanctions économiques devraient de même mettre à mal l’économie turque et obliger Ankara à revoir sa position. Enfin, la présence européenne en mer Egée devrait être renforcée : si la France et la Grèce ont fait savoir qu’elles allaient renforcer leur coopération maritime dans la région, des pays comme l’Italie, l’Espagne, voire l’Angleterre, pourraient être associés à une croissance de la présence maritime européenne dans les eaux grecques.

    La Turquie a passé une ligne rouge, celle de la déstabilisation de l’Europe. Ne pas réagir serait pousser les ennemis de notre continent à augmenter leurs nuisances contre nous.

    Au XIXe siècle, nombreux ont été les auteurs européens à soutenir la Grèce face à la Turquie : Lamartine, Victor Hugo, Lord Byron… Parce que la Grèce n’est pas un pays comme les autres en Europe : elle est la matrice de notre civilisation. Ne pas venir en aide à la Grèce serait suicidaire pour l’Europe. A l’inverse, à travers cette crise, les Européens ont l’occasion de se tirer de leur torpeur et de renaitre là même où leur âme fut forgée !

     

    Source : 24heuresactu

  • Face à l'expansionnisme turc, la Russie réagit, l'UE se couche.

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    Prête à intervenir en Libye, de plus en plus présente auprès du régime algérien et du gouvernement tunisien, maniant le chantage et l'intimidation sur les questions migratoires, se substituant allègrement aux pays arabes pour maintenir un soutien actif au terrorisme islamique, la Turquie lance une nouvelle offensive contre le régime syrien.
     
    Une offensive que Vladimir Poutine pour qui la Syrie demeure une priorité stratégique et qui, malgré ses tentatives diplomatiques vers Erdogan, sait la dangerosité des ambitions proche-orientales, balkaniques, maghrébines et européennes d'Ankara, n'a évidemment pas l'intention de laisser se développer sans réagir. Panique des pleutres de Bruxelles que n'inquiète pas la perspective d'un nouveau Califat mais qu'angoisse celle d'une possible intervention armée d'endiguement.
     
    Tremblante devant le moindre froncement de sourcils d'Erdogan et en état de pré-dhimmitude vis à vis de l'Empire ottoman en reconstruction, l'Union européenne met donc en garde Moscou contre le risque d'affrontement en Syrie entre les armées russes et turques, les premières étant, dans le délabrement européen, les seules à pouvoir stopper l'offensive politique, économique et militaire tous azimuts que mène Ankara contre nos intérêts et notre civilisation. 
     
    La position de Bruxelles est claire : surtout ne rien faire et tout accepter du Grand Turc avant de se prosterner devant lui.
     
  • Europe : bientôt une taxe sur la viande ?

    Publié par Guy Jovelin le 09 février 2020

    Par  le 08/02/2020

    L’augmentation pourrait représenter jusqu’à 47 centimes pour 100 grammes de boeuf. L’objectif est de couvrir les coûts environnementaux.

    (…) Les projections pourraient ainsi faire grimper le prix de certaines viandes de 25 %. A partir de 2021, le surcoût envisagé serait de 10 centimes pour 100 grammes, peu importe la viande. Mais, à terme, c’est le boeuf qui serait le plus fortement touché avec 47 centimes, suivi du porc avec 36 centimes et de la viande de poulet avec 17 centimes.

    (…) Le Point via fdesouche