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europe - Page 9

  • Merkel, présidente de la section Europe de l'Empire.

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2020

    Merkel, présidente de la section Europe de l'Empire.

    À compter de ce mercredi 1er juillet, l'Allemagne prend, pour six mois, la tête de l'Union européenne.

    Nul doute que la chancelière Merkel assurera cette présidence avec la volonté ferme et pleine de servir la conception qui est la sienne de l'intérêt allemand.

    Non pas de l'Allemagne identitaire qu'elle a mis en péril en 2015 en ouvrant les digues à la déferlante migratoire. Non pas de l'Allemagne historique et nationale qu'elle a déshonorée en se soumettant — et en soumettant l'Europe toute entière — aux diktats turcs et au chantage du sultan Erdogan. Non pas de l'Allemagne nation centrale d'une possible et nécessaire Europe de l'indépendance et de la puissance, mais l'Allemagne américaine.

    Depuis des décennies, tous les chanceliers fédéraux se sont servis de l'Europe, de ses institutions et de sa monnaie pour affirmer et renforcer le rôle de l'Allemagne dans la construction planétariste de la nation globale au service exclusif de la finance et de la techno-structure.

    Berlin capitale de l'Europe pour six mois? Non! Berlin, capitale européenne de l'empire mondialiste.

    Et comme toujours, la France de Macron s'efforcera d'en être une supplétive zélée.

    Jean-François Touzé.
    Délégué général du Parti de la France.

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  • Phase 3 du déconfinement, boom de l’invasion en Europe

    Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2020

    Les données de Frontex, l’agence de l’Union européenne pour la protection des frontières, montrent l’augmentation exponentielle des flux migratoires vers l’Europe après le confinement qui avait fermé les frontières : en mai, les arrivées de migrants ont triplé par rapport à la même période en 2019.

    L’Agence européenne de protection des frontières, Frontex, photographie l’augmentation exponentielle des débarquements. En mai, les arrivées clandestines ont triplé avec plus de 4 300 entrées illégales. La plupart de la Turquie vers la Grèce : 1 250 cas en mai, huit fois plus que le mois précédent, 12 700 depuis le début de l’année. Ce sont pour la plupart des « réfugiés » afghans.

    Ce qui inquiète le directeur de l’agence, Fabrice Leggeri, c’est l’attitude d’Ankara. « Ces derniers mois, la police des frontières turques a ouvert le feu sur la Grèce à au moins cinq reprises, mais personne n’a été blessé », a-t- il déclaré dans une interview au groupe allemand Funke. « Si la Turquie devait créer une situation similaire à celle de mars, a-t-il ajouté, Frontex augmenterait considérablement ses effectifs en Grèce. » On parle de 1 500 personnes, soit près de trois fois les 600 unités de personnel actuellement déployées en Grèce, à Evros et dans les îles de la mer Égée.

    Sur la route de la Méditerranée centrale, il y a eu plus d’un millier d’arrivées en mai, presque le double du mois précédent. Les migrants quittent principalement la Libye et la Tunisie pour rejoindre les côtes italiennes ou maltaises. Les chiffres de 2020 témoignent d’une nette reprise des départs. Il y a ceux qui voient dans les régularisations annoncées par l’actuel gouvernement socialo-libéral italien l’un des « facteurs d’attraction » qui ont poussé les migrants à se rendre en Italie dès la fin de l’urgence sanitaire.

    Le fait est que de janvier à mai, Frontex a déjà enregistré 5 500 entrées illégales par cette voie méditerranéenne. Le triple de celles calculées au cours de la même période de 2019. La plupart des personnes embarquées viennent du Bangladesh, du Soudan et de la Côte d’Ivoire. Cependant, des nombres plus faibles sont enregistrés également sur la route de la Méditerranée occidentale. Du Maroc à l’Espagne, il y en avait 650, presque tous des Algériens. Et même dans ce cas, le chiffre est trois fois plus élevé que celui d’avril.

    Les passages illégaux sur la route des Balkans augmentent également. Il y en a eu 900 en mai, dix fois plus que le mois précédent. Une situation qui inquiète le Nord-Est et qui, ces dernières semaines, a incité le premier citoyen de Trieste, Roberto Di Piazza, à accuser les autres pays de « fermer les yeux » :

    « Beaucoup sont originaires du Pakistan, traversent la Turquie, la Croatie et la Slovénie sans trouver d’obstacles, et nous les trouvons ici, dit-il. Ils savent qu’en Italie il y a une politique plus tolérante. »

    De janvier à mai, Frontex a dénombré près de 7 000 cas sur la route des Balkans, le double par rapport à la même période l’an dernier. Des chiffres qui reflètent ceux fournis par le ministère de l’Intérieur italien, qui parle d’une augmentation de plus du double du nombre d’étrangers arrivant en Italie par rapport à la même période de 2019 : 5472 contre 2144. Une tendance qui s’est confirmée également le mois dernier : 1654 admissions contre 782 l’année dernière.

    Dans l’interview avec les médias allemands, Leggeri s’est dit favorable à une révision de la législation européenne sur le droit d’asile. Les demandes de protection internationale, selon le directeur de Frontex, devraient être « déjà vérifiées aux frontières extérieures » de l’Union européenne.

    « Les demandeurs d’asile, a-t-il expliqué, devraient être informés dès que possible s’ils se verront accorder ou non le statut de réfugié ».

    Et si la réponse était négative, a-t-il précisé, « les migrants doivent être expulsés immédiatement ».

    Cette étude de Frontex a un grand mérite, plus grand que celui de révéler les chiffres officiels de l’invasion : elle démontre que la fermeture des frontières européennes dues à la crise sanitaire a notablement fait baisser les entrées illégales en Europe. Pour stopper l’invasion de l’Europe, fermer les frontières est donc non seulement possible techniquement mais aussi efficace pratiquement !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Tribune. En pleine crise sanitaire, l’Europe offre 3 milliards à des pays non-membres de l’UE : Kosovo, Albanie, Macédoine du Nord…

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2020

    Un sommet virtuel est organisé aujourd’hui : les dirigeants de l’Union européenne vont s’entretenir avec les représentants des six pays des Balkans occidentaux non-membres de l’Union. En dépit des conséquences de la crise du Coronavirus et l’expression d’un retour des Nations, dogmatiques, ils poursuivent, leur folle volonté d’élargissement et persistent dans cette politique scandaleuse et injuste d’aide préférentielle à des pays non-européens. Ces pays des Balkans, Albanie, Macédoine du Nord, Bosnie-Herzegovine, Monténégro, Kosovo et Serbie non-membres de l’Union européenne se voient attribuer, en pleine crise économique au sein de l’UE, 3,3 milliards d’euros pour soutenir leurs économies.

    Après avoir abandonné les Italiens, Bruxelles vole au secours des Balkans

    La Présidente Ursula Von der Leyen parle de « solidarité » avec ces pays et le Commissaire européen à l’élargissement, Olivier Varhélyi ajoute : « Nous aiderons nos partenaires à couvrir leurs besoins immédiats pour leurs systèmes de santé. » Ces prises de position zone sont totalement décalées dans cette période tragique où la solidarité entre les Nations membres de l’UE n’a pas fonctionnée.

    [...]

    Valeursactuelles.com via lesobservateurs

  • Immigration : 650 000 Africains attendent sur les côtes libyennes de pouvoir rejoindre l’Europe

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2020

    Si la crise sanitaire actuelle bouleverse l’économie et exacerbe la violence des populations allogènes en banlieue, elle n’empêche pas des millions d’Africains de vouloir quitter leur continent pour le notre dans les prochaines semaines…

     « Le chiffre paraît démesuré : 650.000 personnes attendent sur les côtes libyennes de pouvoir rejoindre l’Europe. Essentiellement des gens venus d’Afrique sub-saharienne et qui se retrouvent coincés dans ce pays, entassés dans des camps dans des conditions souvent effroyables, parfois réduits même à l’esclavage. Juste en face de la Libye, la première côte européenne, c’est Malte. Et Evarist Bartolo, son ministre des Affaires étrangères, est très inquiet. Il voit s’accumuler les migrants et les dangers qui les guettent Händel à la guerre civile et le coronavirus.

    Ils sont en effet des centaines de milliers à voir la mer Méditerranée et l’Europe comme leur unique issue de secours. »

     

    Source : contre-info

  • L’Europe, vieille dame indigne de son passé ?

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2020 

    L’Union européenne est une vielle dame un peu gâteuse envahie par une foule de commissaires, d’élus et de fonctionnaires inutiles qui vivent à ses crochets. Veuve depuis très longtemps d’un homme entreprenant et courageux, l’Européen, dont le moule semble cassé, elle se contente de se mettre en scène et de compenser par une générosité aveugle son impotence. Deux images de ce triste tableau se télescopent : pendant que la Turquie exerce un odieux chantage aux migrants sur l’Europe, la commission européenne reçoit une gamine de 17 ans venue donner une leçon d’écologie à des commissaires européens qui poussent la démagogie jusqu’à la traiter comme une personnalité alors qu’elle n’est qu’une créature médiatique inventée par le groupe de pression écologiste. Que cette idéologie soit le faux-nez du mondialisme et de son aspiration à un gouvernement mondial, il n’est qu’à voir l’empressement des « machins » qui jalonnent le chemin vers cette utopie, l’ONU, l’Union Européenne, à la mettre en valeur, au-delà de toute proportion, pour s’en convaincre.

    Son discours de quelques minutes pouvait-il apprendre quoi que ce soit à ses auditeurs ? On peut le résumer en quelques mots : La loi climat est une capitulation. Il faut atteindre la neutralité carbone au plus vite. On reconnaît là l’idéologie écologiste qui culpabilise l’Europe, laquelle, par rapport à d’autres, comme la Chine, les Etats-Unis, et l’Inde, est plutôt sage. Mais cette idéologie fait partie de toutes celles qui se fédèrent pour abattre « l’homme européen » porteur de tous les vices et malheurs du monde. Ensuite, vient la Science, unique et implacable, comme le sont celles auxquelles se réfèrent les idéologies. Quelle est cette « science » dont parle cette écolière qui a abandonné ses études ? Curieusement, elle ne contient pas le critère de toute science véritable qui est de pouvoir être mise en cause et de devoir prouver sa véracité. Doit-on souffler à la donzelle que ceux qui ont écrit son texte semblent ignorer que la réponse des sciences aux grands défis de l’humanité a toujours consisté non à renoncer, mais au contraire à surmonter ? L’énergie nucléaire ne produit pas de carbone. Enfin, il y a la démagogie : elle est une enfant d’apparence fragile et elle interpelle les Européens sur le tort qu’ils infligent à leurs enfants. Et chacun de battre sa coulpe. Mais leur plus grand tort, c’est sans doute de ne plus faire d’enfants, de condamner l’Europe à s’effacer, et à être remplacée par l’immigration de populations qui n’auront pas la même civilisation : la maison ne brûle pas, mais elle se dépeuple et elle est envahie. Voilà le vrai danger bien plus perceptible au quotidien ! Même en Suède ! Si les Européens « trahissent leurs enfants », c’est bien en n’en faisant plus, et en ne garantissant pas à ceux qui naissent d’être encore chez eux dans une génération. Les traîtres, ce sont ceux qui détournent l’attention de ce danger immédiat et massif, au profit d’un risque virtuel contre lequel les Européens ne peuvent pas grand chose. Le sommet de cette colossale bêtise qui submerge l’occident est atteint lorsqu’un illuminé jure de sauver la planète en ne donnant pas naissance à de nouveaux « pollueurs atmosphériques », bref à des enfants. Yves Cochet a atteint cette altitude !

    Pendant ce temps, la Turquie dont la démographie est positive comme tout pays islamique, et qui se soucie peu d’écologie, furieuse d’avoir manqué son coup d’imposer les Frères Musulmans à son voisin syrien, réclame le soutien de l’Europe contre celui-ci. Son argument ? Le chantage : « si vous ne m’aidez-pas, je déverse des flots de migrants sur votre continent, et en particulier sur ce petit pays que j’ai passé une bonne partie de l’histoire à martyriser : la Grèce. » Les Turcs conduisent donc les migrants jusqu’à la frontière afin de déborder la résistance grecque, et même elle oppose à celle-ci un millier de policiers qui doivent empêcher les Grecs de repousser les migrants illégaux. La souveraineté et le droit international comptent peu dans l’esprit de M. Erdogan. A ses yeux ne compte que la force. C’est d’ailleurs pour ça que le seul homme à savoir le manoeuvrer est Vladimir Poutine. Mais les Européens n’aiment ni la force ni la ruse, et préfèrent tempérer. Tout en reconnaissant les « efforts importants » réalisés par la Turquie, l’UE « rejette fermement l’usage de la pression migratoire à des fins politiques ». S’il faut traduire : nous ne pouvons accepter de nous soumettre au chantage, mais nous acceptons de partager le fardeau. Cela va se traduire par une aide financière accrue à la Turquie, et par des moyens pour accélérer les procédures de demandes d’asile. Cette bonne Mme Von der Leyen a déjà promis 700 millions d’Euros. La France va envoyer dix experts. On ne laissera pas entrer les foules devant les caméras, mais on fera passer d’abord les fameux enfants isolés, puis des quotas par pays. La France a déjà promis d’accueillir 400 demandeurs d’asile… Si le franchissement illégal ne sera pas toléré, le franchissement légal sera accéléré… Là aussi les ONG se bousculent pour accuser les Européens de tous les maux !

    Si l’Europe n’était pas cette vieille dame indigne et désespérante, qu’on accuse de tout et qui l’accepte, si elle voulait bien se souvenir qu’elle a conquis le monde en lui apportant son progrès scientifique et technique, elle dirait aux Turcs de garder leurs Afghans et de cesser d’alimenter une guerre en Syrie, elle dirait à Erdogan que s’il continue à jouer les sultans ottomans, il devra garder chez lui les produits d’une économie en difficulté et ne plus compter sur le moindre euro. Il y a des Grecs qui se battent contre la mollesse européenne. La Grèce est la mère de l’Europe. Il faut encourager et soutenir sa fermeté face à l’invasion !